"On a tendance à persévérer. On continue à colporter des ragots, à admirer d'autres hommes et d'autres femmes, à tomber dans les affres somptueuses, même temporaires, de l'amour, ne serait-ce que pour la sensation, pour le frisson que l'on sent courir en soi, l'ivresse, l'épuisement, la perfection innée et délectable du premier baiser, le plongeon dans l'abîme sublime.
Même s'il nous arrive du mauvais."