« Oui, Monsieur. C’était une toute petite femme.Blonde, frêle, maquillée, elle se promenait dans la brousse en fumant des cigarettes américaines et, au début, nul au monde ne l’aurait empêchée de changer de robe deux fois par jour. […]
Et c’est ainsi que la petite femme nous arriva avec un nombre prodigieux de malles et un pékinois. Car elle avait emporté son pékinois avec elle ! »