Est-ce si dur à comprendre que, lorsque vous avez perdu un être cher, son impossible absence est une chose qui ne vous rentre pas dans la tête ? Je suis sûre que nous parlons tous avec nos morts. (...)
Non, Marie s'adresse à Pierre parce qu'elle n'a pas pu lui dire au revoir, parce qu'elle n'a pas pu lui dire tout ce qu'elle aurait dû lui dire, parce qu'elle n'a pas pu achever la narration de leur vie commune. (p.101)