"The Young Rapture Choir", la chorale du collège/lycée Saint Paul d'Angoulême était à la librairie Cosmopolite à l'occasion de la Fête de la Musique 2017. Voici un exemple de leur prestation !
Si quelqu'un s'imagine connaître quelque chose, il ne connaît pas encore comme il faut connaître.
Première épitre aux Corinthiens.
Oui, je vais vous dire un mystère : nous ne mourrons pas tous, mais tous nous serons transformés.
Première Épître Aux Corinthiens, III, 15 : 51.
{Tiens, tiens... et on se demande encore pourquoi il y a des disparités Hommes-Femmes après 2000 ans de christianisme ? C'est vraiment très surprenant ! Le discours de l'église n'étant pas misogyne pour deux sous, comme vous pouvez le constater ci-dessous...}
L'origine de la femme, c'est l'homme ; [...] L'homme, lui, ne doit pas se couvrir la tête, parce qu'il est l'image de la gloire de Dieu ; quant à la femme, elle est la gloire de l'homme. Ce n'est pas l'homme en effet qui a été tiré de la femme, mais la femme de l'homme ; et ce n'est pas l'homme bien sûr, qui a été créé pour la femme, mais la femme pour l'homme. Voilà pourquoi la femme doit se coiffer convenablement.
Première Épître Aux Corinthiens.
L'homme psychique n'accueille pas ce qui est l'Esprit de Dieu : c'est folie pour lui et il ne peut le connaître, car c'est spirituellement qu'on en juge.
Première épître aux Corinthiens, I. 2 - 14.
La charité ne passe jamais. Les prophéties ? elle disparaîtront. Les langues ? elles se tairont. La science ? elle disparaîtra. Car partielle est notre science, partielle aussi notre prophétie. Mais quand viendra ce qui est parfait, ce qui est partiel disparaîtra. Lorsque j'étais enfant, je parlais en enfant, je pensais en enfant, je raisonnais en enfant ; une fois devenu homme, j'ai fait disparaître ce qui était de l'enfant. Car nous voyons, à présent, dans un miroir, en énigme, mais alors ce sera face à face. À présent, je connais d'une manière partielle ; mais alors je connaîtrai comme je suis connu.
Maintenant donc demeurent foi, espérance, charité, ces trois choses, mais la plus grande d'entre elles, c'est la charité.
II, 13 (8-13).
Il n'y a pas beaucoup de sages selon la chair, pas beaucoup de puissants, pas beaucoup de gens bien nés. Mais ce qu'il y a de fou dans le monde, voilà ce que Dieu a choisi pour confondre les sages ; ce qu'il y a de faible dans le monde, voilà ce que Dieu a choisi pour confondre ce qui est fort ; ce qui dans le monde est sans naissance et ce que l'on méprise, voilà ce que Dieu a choisi.
PREMIÈRE ÉPÎTRE AUX CORINTHIENS.
{N. B. : voici un bel exemple de syllogisme doublé d'une invitation à l'ignorance et à l'obscurantisme. On aurait tort de s'en priver ! Et vive TF1 !}
Il est écrit : " Je détruirai la sagesse des sages, et l'intelligence des intelligents je la rejetterai. Où est-il, le sage ? Où est-il, l'homme cultivé ? " Où est-il le raisonneur de ce siècle ? Dieu n'a-t-il pas frappé de folie la sagesse du monde ? Puisqu'en effet le monde, par le moyen de la sagesse, n'a pas reconnu Dieu dans la sagesse de Dieu, c'est par la folie du message qu'il a plu à Dieu de sauver les croyants. Alors que les Juifs demandent des signes et que les Grecs sont en quête de sagesse, nous proclamons, nous, un Christ crucifié, scandale pour les Juifs et folie pour les païens, mais pour ceux qui sont appelés, Juifs et Grecs, c'est le Christ, puissance de Dieu et sagesse de Dieu. Car ce qui est folie de Dieu est plus sage que les hommes, et ce qui est faiblesse de Dieu est plus fort que les hommes.
Si nous nous examinions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés.
Bien qu'il y ait, soit au ciel, soit sur la terre, de prétendus dieux — et de fait il y a quantité de dieux et quantité de seigneurs —, pour nous en tout cas, il n'y a qu'un seul Dieu.
(N. B. : vive la religion chrétienne et l'idée qu'elle a de la femme !)
Que les femmes se taisent dans les assemblées, car il ne leur est pas permis de prendre la parole ; qu'elles se tiennent dans la soumission, selon que la Loi même le dit. Si elles veulent s'instruire sur quelque point, qu'elles interrogent leur mari à la maison ; car il est inconvenant pour une femme de parler dans une assemblée.
II. 14, 34-35.