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3.63/5 (sur 356 notes)

Nationalité : Colombie
Né(e) à : Bogota
Biographie :

Santiago Gamboa est un écrivain, essayiste et journaliste colombien, auteur de roman historiques, réalistes, policiers et d'essais.

Santiago Gamboa a étudié la littérature à l'Université nationale de la Colombie, puis la philologie hispanique à l'Université de Madrid.

Après avoir été journaliste au service en langue espagnole de Radio France internationale et correspondant du quotidien El Tiempo, il est actuellement attaché culturel de l'ambassade de Colombie à l'UNESCO.

En 1997, il publie un premier roman policier intitulé "Perdre est une question de méthode" ("Perder es cuestión de método"). En 2007, il est finaliste au prix Rómulo Gallegos pour "Le syndrome d'Ulysse" ("El síndrome de Ulises", 2005).

Il remporte le Premio La Otra Orilla pour "Nécropolis 1209" ("Necrópolis") en 2009.
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29 mai 2019 Interviews de romanciers, d'éditeurs et de professeurs de creative writing traduite en français : http://www.artisansdelafiction.com/bl... L'auteur de romans noirs colombien Santiago Gomboa détaille sa manière de construire des romans noirs.

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Citations et extraits (122) Voir plus Ajouter une citation
-Ce qu’on est reste en nous, c’est la somme de tout ce qu’on ne dit pas.C’est pour cela que les sages parlent peu.
Johann la regarda, intriguée,
-Mais si les sages n’enseignent pas ce qu’ils savent dit Johana, à quoi ils servent ?À quoi sert leur sagesse ?
Ma médium haussa les sourcils.
-C’est la question clé, petite,à quoi sert le savoir ? Je crois que c’est une des grandes questions de la vie. J’ai lu des traités de philosophie, je ne suis pas experte mais je vous assure que la chose n’est pas très claire, même pour les grands philosophes.
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Le problème est de n’avoir qu’une seule vie dont il faut simultanément écrire le brouillon et la copie sans ratures .
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Le bureau de Nancy était très décoré: sur le mur, des balcons de Boyacà en céramique de Raquirà , des photos des enfants et une affiche qui disait : »Mon Dieu, si tu ne peux pas réussir à me faire maigrir , fait que mes amies grossissent . »
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En Chine, il le savait, tout était grand... tout, sauf les Chinois.
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…un véritable écrivain a toujours été un crève-la-faim. C’est la place que cette société libre et démocratique lui a assignée: celle du fou , du vagabond ou du bouffon depuis le roi Lear. Et vous savez pourquoi ? Parce que la Littérature compte de moins en moins pour les gens qui ont le pouvoir de diriger les masses et c’est pourquoi , lorsque les masses voient un livre , elles s’éloignent en courant .
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Una mujer se ha perdido
Conocer el delirio y el polvo
Se ha perdido esta bella locura
Su breve cintura debajo de mí
Se ha perdido mi forma de amar
Se ha perdido mi huella en su mar
Veo una luz que vacila
Y promete dejarnos a oscuras
Veo un perro ladrando a la luna
Con otra figura que recuerda a mí
Veo más, veo que no me halló
Veo más, veo que se perdió….



Si une femme est perdue
Connaît le délire et la poussière
Si a perdu cette belle folie
Sa petite taille sous moi
Si a perdu mon empreinte dans sa mer
Je vois une lumière vacillante
Et promet de nous laisser dans le noir
Je vois un chien aboyer à la lune
Autre signe qui me rappelle
Je vois plus, je vois qu'elle ne me trouve plus
Je vois plus, je vois qu’elle s’est perdue..

(Oléo di mujer con sombrero- Silvio Rodriguez)
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Le hasard, le hasard est l'encrier dans lequel Dieu trempe sa plume pour tracer les destins.
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Pour eux, il n'y pas de grande différence entre le jour et la nuit, un jour de la semaine et un autre. Ici, par comparaison, "Les Misérables" de Victor Hugo pourrait passer pour un portrait de la bourgeoisie française.
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Mais de quel ciel est tombé cet ange?
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Quand j'ai objecté que j'aimerais conserver ses journaux intimes, elle a refusé tout net et à eu une sorte de crise de nerfs.Elle m'a expliqué qu'un journal intime est strictement privé, un dialogue avec soi au fil du temps (...)
Mais elle avait le sens de la contradiction.
" Mon journal intime me répugne, mais pas ceux des autres me dit,-elle un jour. Car,en vérité, s'il y a quelque chose qui m'intéresse, c'est bien de lire celui des autres, de fourrer le nez dans leurs vies, connaitre leur intimité, tout en sachant que loin d 'être sincères,ils sont secrètement obsédés par l'envie d'être lus".
Parmi ses préférés, il y avait bien sûr les diaristes français : les frères Goncourt, Amiel, Rostand et surtout Jules Barbey d'Aurevilly.
Toute prohibition inspire le désir de la transgression, attire la main qui gratte et ouvre subrepticement ce qui devrait rester caché. (p.83)
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