Un petit tintement de cuiller et de porcelaine dans le couloir m'avertit qu'on va monter chez Marcel la tasse de tilleul qu'il boit à dix heures, et je serre tout à coup les mâchoires, prête à me lever, à balayer la lampe et la table, et Annie, et Marcel, en criant : " Fichez-moi le camp ! J'ai besoin d'être seule et de ne pas entendre vivre sottement à côté de moi ! "