Qu'il est loin le ciel étincelant de la Grèce, où le soleil d'un trait féroce cerne les contours, sculpte les reliefs, ruisselle et ricoche sur les pierres, les feuilles, les visages ! Je hais les asphodèles. Je hais la froide lumière diffuse qui abolit les formes. Je hais ce séjour où je suis vouée à errer, ombre parmi mes ombres, et où je m'ennuie à mourir...
Pardon, j'oubliais : je suis déjà morte.