Nationalité : France
Biographie :
Sophie Archambault de Beaune (ou Sophie A. de Beaune) est une préhistorienne française.
Elle travaille principalement sur l’évolution de l’outillage, des gestes techniques et des activités humaines. Elle s’intéresse aussi à l’évolution des aptitudes cognitives, des premiers homininés aux hommes modernes.
Elle a introduit en France l'analyse croisée de la neuropsychologie et de l'archéologie. Ses travaux les plus récents portent sur l’épistémologie de la discipline.
Professeure à l’Université Jean Moulin Lyon 3, Sophie A. de Beaune mène ses recherches au sein de l’UMR 7041 "Archéologies et Sciences de l’Antiquité" (Nanterre) et a été également membre associé du Centre d’Histoire des Techniques et de l’Environnement (CNAM, Paris) (2007-2010).
Outre ses activités d’enseignement à Lyon, elle a animé plusieurs séminaires de recherche à l’EHESS, l'un avec François Sigaut et Hara Procopiou de 2007 à 2012 sur les techniques dans les sociétés préindustrielles, l'autre avec Liliane Hilaire-Pérez et Koen Vermeir de 2008 à 2012 sur l'analogie dans les techniques.
De 2014 à 2016, elle a co-organisé le séminaire "Collections techniques et techniques des collections" à l'EHESS.
Elle a été directrice scientifique adjointe à l’Institut des Sciences Humaines et Sociales au CNRS en 2009 et 2010. Elle dirige une collection d'ouvrages à CNRS Éditions intitulée "Le Passé recomposé" qu'elle a créée en 2008.
+ Voir plusSophie Archambault de Beaune (ou Sophie A. de Beaune) est une préhistorienne française.
Elle travaille principalement sur l’évolution de l’outillage, des gestes techniques et des activités humaines. Elle s’intéresse aussi à l’évolution des aptitudes cognitives, des premiers homininés aux hommes modernes.
Elle a introduit en France l'analyse croisée de la neuropsychologie et de l'archéologie. Ses travaux les plus récents portent sur l’épistémologie de la discipline.
Professeure à l’Université Jean Moulin Lyon 3, Sophie A. de Beaune mène ses recherches au sein de l’UMR 7041 "Archéologies et Sciences de l’Antiquité" (Nanterre) et a été également membre associé du Centre d’Histoire des Techniques et de l’Environnement (CNAM, Paris) (2007-2010).
Outre ses activités d’enseignement à Lyon, elle a animé plusieurs séminaires de recherche à l’EHESS, l'un avec François Sigaut et Hara Procopiou de 2007 à 2012 sur les techniques dans les sociétés préindustrielles, l'autre avec Liliane Hilaire-Pérez et Koen Vermeir de 2008 à 2012 sur l'analogie dans les techniques.
De 2014 à 2016, elle a co-organisé le séminaire "Collections techniques et techniques des collections" à l'EHESS.
Elle a été directrice scientifique adjointe à l’Institut des Sciences Humaines et Sociales au CNRS en 2009 et 2010. Elle dirige une collection d'ouvrages à CNRS Éditions intitulée "Le Passé recomposé" qu'elle a créée en 2008.
Source : Wikipédia
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Ils étaient grands ,même très grands ,avec une taille moyenne de 1,80 mètre pour les hommes.
On doit conclure de ces quelques exemples qu'il ne semble pas y avoir de différences significatives de mobilier entre les tombes masculines et féminines au paléolithique supérieur.
Les aiguilles à chas en os ou bois de cervidé,aussi fines que nos aiguilles en acier,font leur apparition en Europe de l'Ouest il y a environ 20000 ans et témoignent de l'assemblage des peaux grâce à la couture au moins à partir de cette époque.
La seule chose que l'on peut retenir est que,pour les quelques grottes concernées, tant Guthrie que Snow saccordent à reconnaître que les mains d'hommes addultes ne représentent qu'environ 10% du total de l'ensemble des mains figurées.
Le nucléus presente à la fin un aspect cannelé. Il est possible de le réutiliser en créant un nouveau plan de frappe,ce qui a pour effet de racourcire sa longueur.
Leur haute stature était peut-être liée à une adaptation à un environnement chaud, car elle permet de mieux évacuer la chaleur par la transpiration.
Ainsi les termes « colère, peur, jalousie », etc., voire le mot « émotion » lui-même, n'ont pas la même signification selon les sociétés, et rien ne dit que les sentiments ou les sensations qui se cachent derrière ces derniers mots - même s'ils paraissent vaguement équivalents - sont les mêmes. Certains des pathos cités par Aristote ne seraient pas considérés comme des émotions aujourd'hui. C'est dire à quel point les émotions et leur expression sont culturellement situées.
Les détails anatomiques sont si précis qu'ils permettent d'identifier le sexe et la classe d'âge des individus,la figuration de vieillards avec leurs rides bien marquées et d'enfants aux joues rebondies étant bien identiables.
(Le site de La Marche en Poitou)
(Le site de La Marche en Poitou)
Pour les Homo Sapiens du paléolithique supérieur eurasiatiques.il a été remarqué que le taux de personnes inhumées affectées de diverses pathologies est très élevé.
...]nous avons vu que les empreintes de pas conservées montrent que les cavernes étaient visitées aussi bien par les hommes que par les femmes et les enfants.
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