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3.92/5 (sur 114 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Cherbourg , 1976
Biographie :

Née en 1976 à Cherbourg, j'ai passé ma jeunesse à Tourlaville dans la Manche. Je travaille dans la communication. Je suis mariée et maman de deux enfants. Passionnée par le monde animal, nos amis à quatre pattes apparaissent dans mes romans et parfois sont gratifiés d'un petit coup de baguette magique...

L'imaginaire est très présent dans ma vie, notamment dans mes lectures mais je suis aussi une passionnée de cinéma et séries TV.

Site de l'auteur : http://stephanielagalle.jimdo.com/
Facebook : https://www.facebook.com/slagalle/
Twitter : @slagalle
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Source : auteur
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Bibliographie de Stéphanie Lagalle   (15)Voir plus

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Citations et extraits (29) Voir plus Ajouter une citation
- Thibault ! Cria Camille de sa chambre.
- Oui, qu'est-ce que tu veux ? Répondit le garçon qui grignotait tranquillement dans la cuisine.
- Viens !
Thibault n'était pas très motivé à l'idée de rejoindre sa sœur. Que pouvait-elle bien lui vouloir encore ?
- Ça peut pas attendre ? Tenta-t-il.
- C'est pour Halloween, allez viens s'il te plaît !
- Ok, j'arrive dans deux minutes. Il se leva, termina son petit sandwich improvisé et se dirigea vers les escaliers qui menaient aux chambres.
- Ah te voilà enfin ! S'exclama Camille ravie de voir son frère.
- Qu'est-ce qui t'arrive soeurette ?
Il ne lui fallut qu'une seconde pour voir à quel point la situation était grave. Il y avait des vêtements éparpillés partout dans la chambre.
- Oh non qu'est-ce que tu as encore fait, maman va te tuer ! Tu le sais non ?
- Oh ça c'est rien !
- Comment ça, t'es aveugle ma parole !
- Bon, arrête de faire ton père-fouettard et aide-moi plutôt à choisir une tenue pour ce soir.
- Mais je ne suis pas une fille, comment veux-tu que je sache ce qu'il faut que tu mettes ?
- Alors, bouge pas je te montre.
Camille se hâta de prendre un déguisement de fée avec des dents de vampires.
- Ouh la la, Thibault fit la moue.
Elle les plaqua contre elle pour faire illusion.
- Alors qu'est-ce que tu en penses ?
- Beurk vraiment...
- Attends, j'ai une autre idée le coupa-t-elle avant de faire virvolter les vêtements dans tous les sens et de trouver ce qu'elle cherchait.
- Et ça ?
Elle avait entre les mains un vêtement de pirate pour fille avec un chapeau noir assorti.
- Ouais c'est mieux, dit Thibault sérieusement.
- Ah je savais que tu me serais d'une aide précieuse mon p'tit frère chéri !
- Arrête de m'appeler comme ça, tu sais bien que ça m'énerve !
- Bon ok ! Se désola Camille.
- Vas-y essaie ton déguisement.
- Bonne idée. Camille se dépêcha d'enfiler son costume par dessus son legging et son tee-shirt.
- Alors ? Questionna-t-elle tout en tournant sur elle-même.
- Je trouve ça bien.
- Vraiment ?
- Puisque je te le dis ! Insista Thibault.
- Et toi ?
- Quoi moi ?
- Eh bien en quoi vas-tu te déguiser ?
- Euh...en squelette, peut-être ! lâcha-t-il sans y avoir réellement réfléchi.
- Comme l'année dernière ? s'étonna Camille devant son peu d'originalité.
- Oui, j'aime bien ce costume.
- Enfin, tu pourrais te casser un peu la tête et changer.
- Et qu'est-ce que tu penses que je pourrais mettre à la place ? demanda Thibault gentiment.
- Accorde-moi deux petites secondes que je te trouve LE costume de tes rêves !
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Pendant que l’un remuait la potion magique, les autres remirent de l’ordre dans la pièce. Tout en s’activant, mamie chantonnait quelques mots extraits du livre magique :
– Dans la nuit noire tu es née, le mal tu répands, disparaître tu dois, dans le néant tu iras pour l’éternité.
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Tourmenté par le vol de l'Indomptable, Grégoire eut envie après son copieux déjeuner de retourner à la demeure des Warrington. Son plan était simple, reconstituer tout ou partie de la scène de vol, seul, pour réfléchir à son aise. Ainsi, il se leva de table et se dirigea vers le grand hall de l'hôtel et demanda à la réceptionniste de lui commander un taxi puis il alla l'attendre sur le trottoir bien fleuri. À peine dix minutes plus tard, le détective fut emmené en berline sombre. Grégoire avait profité du trajet pour prévenir Matthew de son arrivée à l'aide de son téléphone portable. Arrivé au manoir des Warrington et très concentré sur sa tâche, le détective se présenta devant Georges qui l'introduisit dans le manoir et le mena auprès du maître des lieux dans le salon. Ce dernier lisait dans son fauteuil les nouvelles sportives du moment. Matthew se leva pour saluer son invité avec enthousiasme puis Grégoire lui expliqua les raisons de sa venue.
- Si cela ne te dérange pas, j'aimerais procéder à une reconstitution ?
- Bien sûr, pas de soucis fais comme chez toi.
- Je te remercie, j'y vais sans plus tarder, je commence par l'étage...
- Très bien à tout à l'heure.
Grégoire monta les escaliers qui menaient à la salle d'exposition des gemmes et tenta de trouver par où le voleur était entré. Il n'y avait pas de fenêtre, aucune issue apparente, le voleur était donc passé par la porte tout simplement cela ne faisait aucun doute possible. Il fallait donc chercher ailleurs, il décida d'inspecter la chambre voisine de gauche à la recherche d'une fenêtre. La chambre n'était autre que celle de Bella et comme il avait carte blanche, le détective se mit à inspecter minutieusement la pièce et ses recoins. Cette chambre d'une belle taille tapissée d'un rose pâle élégant était ornée de moulures blanches et d'une moquette blanc cassé impeccable ainsi que de rideaux fleuris qui relevaient le tout. Aussitôt, l'œil rusé du professionnel se dirigea vers la fenêtre qui était encombrée par un joli meuble blanc lui aussi où Bella rangeait sa collection de parfums. Et juste devant le meuble, on pouvait admirer un long tapis qui menait jusqu'au lit de Bella. Grégoire eut une intuition, il se baissa et roula le tapis ce qui fit briller ses yeux de succès.
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Pendant les cours Noémie qui était toujours assise à côté de moi tenta d’en savoir davantage.
- Bon alors c’est du sérieux avec Fred ?
- Oui je crois qu’on peut dire ça… je la faisais mijoter volontairement car je savais où elle voulait en venir.
- Mai vous l’avez fait ou pas ?
- Faire quoi ? J’étais limite d’éclater de rire en plein milieu du cours.
- Tu fais exprès de ne pas comprendre, t’es vache !
- Oui, je le fais exprès ma vieille, t’es bien curieuse dis-donc ?
- Attends… en tant que meilleure amie, j’ai l’exclusivité de ce genre de détail !
- Ah bon et depuis quand ?
- Surtout depuis que Fred est devenu TON Fred tu ne m’as pas appelée du week-end, même pas un tout p’tit sms pour me raconter… elle faisait semblant d’être attristée.
- Tu ne vas pas me faire la gueule ma cocotte, tu sais bien que je t’aime. J’essayais de l’attendrir pour m’excuser car il est vrai que je l’avais un peu délaissée, chose à laquelle elle n’était pas habituée du tout.
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Papy Pierrot et Stéphane étaient partis choisir de quoi lire au kiosque à journaux. Stéphane prit sa revue sportive favorite et papy le journal local. Tout en plaisantant avec son gendre, Pierre s’installa à une table et déplia son journal avec curiosité.

Il commença par les gros titres :

– Mystère à Magicville...

Interloqué par ces mots, il se mit à lire l’article s’y rapportant et, rapidement, ponctua sa lecture de « Oh ! » puis de « Non ! », pour conclure par :

– C’est impossible ! Qu’a-t-il bien pu se passer là-bas ?

Stéphane interrompit sa lecture et vint aux nouvelles :

– Quelque chose d’ennuyeux, Pierre ?

– C’est le moins qu’on puisse dire ! Regarde-moi ça…

Il lui tendit le journal. Après quelques instants,

Stéphane commenta à son tour :

– Comment expliquer une telle disparition ? Un grand magasin comme la caverne d’Ali Baba, en plus ! Ça ne passe pas inaperçu !

– Volatilisé ! Il ne reste plus rien et personne n’a rien vu… Bizarre. Il faut que je réfléchisse à tout ça en tant que président du Conseil des protecteurs de la ville.

– Peut-être faudrait-il interroger monsieur Colasse, le propriétaire du magasin d’articles de magie ?

– Oui, je crois que j’irai le voir dès demain, car je ne vais pas gâcher cette belle journée. Les enfants s’amusent tellement bien…

– Je t’accompagnerai, si tu veux ?
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À votre place, je me dépêcherais d’aller prendre le petit déjeuner. Papy vous attend déjà dans le jardin pour votre première leçon de magie.
Ces seules paroles suffirent pour les faire bondir du lit. Ils se hâtèrent de manger et de se laver et, trente minutes plus tard, retrouvèrent leur grand-père dans le jardin. La mine réjouie, papy commença :
- Bonjour, Camille, bonjour, Thibault, bien dormi ?
- Très bien, merci, répondirent-ils en l’embrassant.
- Bon, écoutez-moi attentivement, s’il vous plaît… Si vous êtes d’accord, je peux vous apprendre tout ce que je sais concernant la maîtrise de la magie.
- Bien sûr qu’on est d’accord ! s’exclama Thibault.
- Oh oui, bien sûr ! Ça va être grandiose ! appuya sa sœur. Papy ne put retenir un sourire…
- Êtes-vous prêts pour votre première leçon ?
Le sourire ravi qui éclaira leur visage remplaçait toute autre réponse.
- Bien… Vous allez d’abord me regarder faire. Nous allons utiliser pour cela la piscine. Éloignez-vous de quelques pas, s’il vous plaît, et soyez attentifs.
Papy se plaça devant la piscine et leva les bras à mi-hauteur, les paumes des mains tournées vers le ciel.
- En haut ! cria-t-il soudain. L’eau de la piscine se concentra aussitôt en un jet de près de cinq mètres.
- Dragon ! ordonna Papy en exécutant un geste en demi-cercle. Sous les yeux ébahis des jumeaux, le jet d’eau prit la forme d’un magnifique dragon. En quelques mouvements rapides, papy mit fin à ce tour. Le dragon disparut instantanément tandis que l’eau retombait lourdement dans la piscine. Les enfants, bluffés, mirent quelques instants à réagir.
- Mais on ne pourra jamais faire un truc pareil ! On ne sait même pas lever un verre ! souffla Thibault, impressionné par l’envergure de ce que l’on attendait de lui.
- Mais si, tu vas voir, ce n’est pas si difficile !… Commençons par toi, viens près de moi ! Thibault, embarrassé, s’avança.
- Tu regardes la piscine en te concentrant très fort sur ce que tu veux réaliser, puis tu lèves tes bras, tu tournes les paumes vers le ciel… Thibault inspira profondément pour forcer sa concentration, et fit ce que papy lui dictait.
- Tu lèves les mains vers le ciel… Et tu répètes après moi : « en haut ! »
- En haut !
Un jet d’eau peu conséquent se forma alors. Il ne ressemblait malheureusement pas du tout au précédent. Cependant quelque chose s’était produit, ce qui était plutôt bien pour une première fois.
- Ouais ! T’as vu ça, Mimi ?! jubila Thibault, surpris malgré tout de ce petit succès inattendu.
- C’est génial, tu as réussi ! félicita Camille. Tu as des pouvoirs magiques !
- Oui, tu as bien des pouvoirs magiques, comme tu peux le constater, approuva papy. Mais il va falloir t’entraîner pour réussir complètement ce tour. À Camille, maintenant. On va voir ce que tu es capable de faire… Je vais te guider.
L’opération se renouvela avec la fillette.
- En haut ! prononça-t-elle distinctement. L’eau de la piscine se dressa en un superbe jet. Cependant Camille fut tellement surprise qu’elle stoppa net son effort. Elle se mit à rire :
- Vous avez vu ! Moi aussi, j’ai des pouvoirs !
Heureux, les deux enfants s’élancèrent l’un vers l’autre et entamèrent une danse.
- On a des pouvoirs ! On a des pouvoirs ! chantaient-ils en sautant. »
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La planète Terre en vue, je ressentis une certaine nervosité, cela ne me ressemblait pas et pourtant, c’était bien réel. L’amour est un sentiment nouveau pour moi, si étrange, il a déjà des répercussions sur mon corps et sur mon cœur alors que je n’ai même pas encore rencontré Léna. C’est un pouvoir d’attraction énorme qui me subjugue complètement. Dans quel état serais-je quand je lui parlerai pour la première fois ? Tout cela commençait à m’inquiéter sérieusement. Je passais en mode furtif pour ne pas être détecté par les satellites mis en orbite.
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Les deux jours qui précédèrent le retour de mon père furent étranges. Tout d'abord, ma mère se mit en quatre pour me faire des petits plats, il fallait que je reprenne des forces, mais je ne leur trouvais aucune saveur et pire j'avais toujours cette faim de plus en plus tenace. Que ce soit les tartines recouvertes de pâte à tartiner chocolatées que Fred nous prépara dès mon retour de l'hôpital ou la merveilleuse purée de ma mère, rien n'y faisait... peut-être que l'entrecôte saignante fut la seule chose qui m'apaisa un temps soit peu. Les deux nuits suivantes, j'essayai de dormir sans succès dans les bras de mon homme qui me tenait serrée contre lui, comme s'il craignait que je m'échappe. Cette idée me fit sourire.
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Au milieu de la nuit, Wil se leva pour aller aux toilettes, et quand il revint, il s'autorisa comme il aimait le penser, une « petite pause étoiles ». En jetant un coup d'œil par la fenêtre il eut la chance de contempler un ciel noir bien dégagé parsemé de milliers de minuscules tâches argentées. Il se rappela la promesse qu'il avait faite plus tôt à Alex, alors il se dirigea vers son lit. Cela ne lui plaisait pas de le réveiller au beau milieu d'un rêve, mais bon, chose promise chose due.
Alex, souffla t-il tout d'abord.
Son ami resta hermétique à cette tentative alors il insista en posant sa main sur son dos et le secouant un petit peu.
Alex viens, y'a plein d'étoiles, faut que tu vois ça ! Le garçon commença à émerger.
J'y retourne, fais comme tu veux mais ça vaut le coup je t'assure, toutes les nuits ne sont pas aussi belles !
Ok, ok je me lève. Merci.
En effet, le temps que Wil retourne à son spectacle et Alex arriva. Quand il leva les yeux en l'air, il ne put s'empêcher de lâcher.
Waouh, c'est magnifique.
C'est vrai que c'est presque magique ce soir. Regarde la grande ours est juste là. Il la dessina à l'aide de son index.
Ah oui, on dirait une grande casserole ! Il pouffa de rire. Pourquoi ne l'ont-ils pas appelée la grande casserole tout simplement ça aurait été plus simple, non ?
Peut-être bien, mais là franchement j'en sais rien, rétorqua t-il en pensant que son ami n'avait pas tort.
Ils échangèrent peu de mots le temps de ce spectacle dont ils ne se lassaient pas quand Wil tenta :
Dis, on ferait bien de retourner se coucher, sinon demain on va le payer toute la journée, ce serait dommage !
Ouais tu as raison...mais bon c'est les vacances allez encore cinq minutes ok ?
Ok !
Ils sourirent en braquant leurs yeux sur les étoiles quelques minutes de plus, quand soudain une traînée de poussière dorée transperça le ciel l'espace d'une seconde.
Tu as vu ?
Fais un vœu vite.
Ils fermèrent les yeux et secrètement firent un vœu chacun.
Génial !
Ça tu peux le dire, on a eu une chance insolente cette nuit.
Ils se tapèrent dans les mains en signe de victoire et retournèrent se glisser dans leur lit des étoiles plein les yeux.
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Chapitre 1 :
« ...Mon cœur se mit à battre la chamade pourtant le suspense fut quasi inexistant, l’écran géant situé devant moi afficha sans plus tarder le visage magnifique d’une jeune fille à la chevelure longue et dorée avec des yeux bleus limpides à la forme féline.
— Waouh ! Comment se prénomme-t-elle professeur ? Elle est là, j’imagine ? Je me retournai à sa recherche. J’étais ravi, elle me plaisait déjà.
— Ah, doucement Illan, un instant ! C’est la première fois que j’ai ce cas... s’estomaqua le scientifique tout à coup. Son visage sérieux était en proie au doute, ses sourcils le trahirent. Mon enthousiasme alla tout de suite se cacher pour laisser place à une certaine angoisse.
— Qu’y a-t-il professeur, la machine s’est trompée ?
— Euh, non... elle ne peut pas se tromper même si cela aurait été préférable. L’air songeur, il baissa la tête et se remit à la tâche, de plus en plus contrarié.
— Mais alors que se passe-t-il ? Il ne me regardait plus, il se retourna même.
— Un instant Illan, un instant...
À l’aide d’une oreillette, il appela un de ses collègues qui arriva quelques minutes plus tard. L’attente était interminable.
— Pouvez-vous me dire ce qui se passe Professeur ? demandai-je poliment, en me faisant violence pour garder mon calme apparent.
— Un instant Illan, nous essayons d’éclaircir une situation inhabituelle. Les deux hommes de science échangèrent des propos de façon vigoureuse, le professeur tira plusieurs fois sur sa barbichette la tête baissée. Le deuxième homme se servait beaucoup de ses mains pour s’exprimer. Il n’y avait pas besoin d’entendre ce qu’ils se disaient pour savoir que le problème était loin d’être réglé.
Quelques minutes plus tard, ils revinrent vers moi avec des visages fermés. Le professeur prit la parole :
— Illan, voilà, il n’y a qu’une seule explication à ce que La Destinée a édité.
Je crois qu’à cet instant ma respiration resta en suspens. Il poursuivit en me scrutant avec une certaine compassion.
— J’ai le regret de t’annoncer que ta moitié n’est pas sur cette planète et crois-moi j’en suis vraiment désolé.... »
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