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3.41/5 (sur 230 notes)

Nationalité : Australie
Né(e) à : Ceylan (Sri Lanka)
Biographie :

Née à Ceylan, Stephanie Laurens est romancière.

À l'âge de 5 ans, elle déménage avec sa famille à Melbourne, en Australie.

Après avoir obtenu son doctorat en biochimie, elle a travaillé pendant quatre ans à Londres.

Tangled Reins (Les jeux de l'amour), son premier roman, a été publié en 1992 par Harlequin.

Elle vit à Melbourne avec son mari et ses deux filles.

site :
http://www.stephanielaurens.com/

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Interview de Stephanie Laurens (en anglais)


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Mars 1829
Wadham Gardens, Londres
Dès l’instant où Heather Cynster pénétra dans le salon de lady Herford, elle comprit que son plan pour trouver un mari convenable était voué à l’échec. Dans un coin éloigné de la pièce, une tête sombre, coiffée dans un style désinvolte à la dernière mode, se redressa. Deux prunelles noisette l’épinglèrent aussitôt.
— Bon sang !
Crispant la mâchoire mais souriant toujours, Heather balaya le salon du regard en feignant d’ignorer cet homme, le plus séduisant de la pièce, qui ne la quittait pas des yeux. Breckenridge était entouré non pas d’une, mais de trois jolies dames qui manifestement cherchaient à attirer son attention. Heather leur souhaitait vraiment de réussir, et pria pour que Breckenridge se montre raisonnable et fasse comme s’il ne l’avait pas vue. Bien décidée de son côté à adopter cette attitude, elle préférait se concentrer sur l’étonnante assemblée que lady Herford avait conviée à cette petite fête et réfléchir aux perspectives qui s’offraient à elle.
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Il voulait lui demander : "M'aimez-vous?", mais il lui dit :
- Je vous aime.
Puis il serra plus fort ses doigts. Il avait plongé si profondément dans ses yeux qu'il avait l'impression de se noyer. Mais l'érudit en lui était toujours présent.
- Du moins je crois que je vous aime. Je n'ai jamais rien ressenti de tel pour une autre femme.
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— Eh bien, Jack n'aura qu'à vous aider à trouver ce qu'il y a d'important à propos de ces bateaux, mais en attendant, qu'en est-il de cette veuve ? Quel est son nom ?
— La veuve n'est pas impliquée autrement que par le fait malheureux d'être tombée par hasard sur le corps de Ruskin.
Kit fronça les sourcils.
— Pourquoi alors faites-vous si attention de ne pas utiliser son nom ? Vous l'avez mentionnée au moins six fois, mais toujours comme « la veuve ».
Jack s'était tourné pour étudier sa femme. À présent, il se tourna pour étudier Tony.
— Elle a raison. Que se passe-t-il avec cette veuve ?
— Rien.
Tony s'avança sur son siège, puis se figea. Pour Jack et Kit, qui le connaissaient bien, à la fois son ton et ce mouvement le trahissaient.
— Oh, très bien.
Il se recula.
— La veuve est Mme Alicia Carrington et elle a, comme vous l'avez deviné, un charme remarquable et...
Comme il ne continua pas, Jack insista ostensiblement :
— Et...?
Kit souriait.
Tony leur adressa, à tous deux, une grimace.
— Et il est possible, probable, que...
Il éluda la question d'un geste.
— C'est hors sujet. La première chose, dit-il en fixant Kit les yeux plissés, en fait, la seule chose pour laquelle vous devez m'aider, c'est cette affaire de trafic maritime. Nous devons progresser sur la façon dont les bateaux étaient impliqués.
Kit continua à sourire.
— Et plus tard ?
Elle n'allait pas abandonner. Tony ferma les yeux.
— Et plus tard, vous pourrez danser à mon mariage.
Ouvrant les yeux, il la regarda.
— C'est suffisant comme ça ?
Elle rayonnait.
— Excellent.
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- Je me demande s'il y a une bibliothèque dans ce château, dit-elle à Eliza, sa femme de chambre. Je n'ai emporté que cinq romans et je les ai tous lus dans la voiture pendant le voyage.
- Vous ne pourriez pas les relire ? suggéra Eliza en lui tendant une serviette. Vaut mieux acheter un ruban. Au moins, on peut le remettre.
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Il baissa brièvement le regard, les traits de son visage durs comme le granité.
— Je ne vous épouse pas à cause d'une règle sociale. Cela, quand on y songe, est une idée absurde. Les Cynster, comme vous le savez bien, n'en ont rien à faire des règles sociales. La société, en ce qui nous concerne, peut penser ce qu'elle veut — elle ne nous dirige pas.
— Mais… si c'est le cas — et compte tenu de votre réputation, je peux aisément croire que ce l'est —pourquoi insister pour m'épouser ?
— Parce que je le veux.
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- Les personnes les plus sages sont celles qui n'ont pas de préjugés, qui ne partent pas du principe qu'elles savent comment les choses vont se passer, surtout lorsqu'elles ne sont pas les seules impliquées. Le sage laisse la situation se produire sans consacrer d'énergie à se battre pour des résultats qu'il n'obtiendra peut-être jamais. Il lance les dés et attend qu'ils aient terminé de rouler avant de décider de la suite à donner aux événements.
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mais vous me parlez là de ce que pensent les gens, alors que la seule chose qui compte est ce que je pense moi quand il s’agit de celui que je vais épouser.
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— Pourquoi voulez-vous m’épouser ? demanda-t-elle alors d’une petite voix.
Il voyait toutes sortes de raisons, d’hypothèses, planer dans l’esprit de Deliah – qui attendait qu’il les confirme. Il s’en sentait obligé parce qu’il avait ruiné sa réputation aux yeux de ses amis en partageant son lit. Il devait, au nom de ses parents, et de ses tantes, faire d’elle une femme honnête. Il devait… Il y avait des dizaines de raisons plus sensées aux yeux de Deliah que la simple vérité.
S’il était en partie terrifié, il n’hésita pourtant pas.
— Je veux vous épouser parce que je vous aime.
Il prit son visage dans une main, la regarda dans les yeux, fixement.
— Je vous aime et je vous veux comme épouse, vous et vous seule, précisément parce que vous n’êtes pas une lady comme les autres. Vous êtes plus. Vous êtes tout ce dont j’ai besoin, tout ce que je veux, tout ce qu’il me faut pour bâtir l’avenir que je désire ; un avenir que je ne concevais même pas avant de vous connaître.
Il marqua une pause, vit naître une croyance qui allait dissiper les nuages dans ses yeux de jade.
— Nous sommes faits l’un pour l’autre, vous et moi. Épousez-moi et ensemble, nous nous créerons un avenir riche et vivant, éclatant, épanouissant.
Elle leva une main pour caresser la sienne.
— Je commence à y croire.
— Parce que j’y crois ; parce que je vous aime et que vous m’aimez.
Les deux faits jumeaux étaient gravés dans son cœur. Gravés dans la pierre et immuables ; là, tout simplement.
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— Pourquoi m'avez-vous emmenée le rencontrer?
— Dalziel ?
— Oui, Dalziel. Manifestement, il ne m'attendait pas. Il a clairement vu ma présence comme un message. Lequel ?
Tristan regarda son visage tandis que la voiture ralentissait à un coin, puis tournait à droite et poursuivait sa route.
— Je vous ai emmenée parce que vous voir, vous rencontrer, est le seul message qu'il ne pourra jamais ignorer ni mal interpréter. Il est mon passé. Vous...
Il leva la main de Leonora, déposa un baiser dans sa paume, puis referma sa main autour de la sienne.
— Vous, dit-il, la voix grave et basse, êtes mon avenir.
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Richard lui décocha un grand sourire :
- Eh bien, quoi qu'il vous en coûte, vous pouvez vous consoler en vous disant que le résultat final en vaut la peine.
Breckenridge lança vers Richard un regard acéré et perçut son air de profonde satisfaction.
- Que faut-il faire ? se sentit-il contraint de demander.
Richard sourit plus largement.
- La même chose que nous avons tous faite : se prosterner devant ses pieds délicats et lui jurer un amour éternel, en toute sincérité.
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