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3.74/5 (sur 17 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Stephanie Nerita est auteure de romances contemporaines.

Elle écrit également sous le pseudonyme de Kleo.

son blog : http://stephanienerita.unblog.fr/
page Facebook : https://www.facebook.com/stephanie.nerita/?ref=page_internal

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Citations et extraits (56) Voir plus Ajouter une citation
Diane, pas au courant de l’histoire, demande :
- C’est quoi l’histoire ?
Je suis gêné. C’est sa meilleure amie. Diane me regarde et regarde Fred. Elle attend. Je me lance :
- Pascaline a essayé de me draguer quand Alhena était partie.
- Et qu’est ce qu’elle a fait ?
- Nous nous sommes embrassés !
- Nous ?
- Oui… Mais je me suis ressaisi à temps !
- Tu as embrassé Pascaline ?
- Oui, mais rien de plus !
- Ça t’a fait bander, au moins !
J’entends la voix d’Alhena derrière moi. Je me retourne. Elle me mitraille de ses yeux noirs. Tous baissent les yeux, je suis mal. Je me lève, je veux l’amener ailleurs, elle refuse.
- S’il te plait, Alhena, laisse-moi t’expliquer !
- Il n’y a rien à expliquer ! je vais te laisser avec tes amis. Arthur dort… ne t’inquiète pas, je vais faire bonne figure, devant ta famille !
- Alhena !
Elle s’en va. Elle se réfugie dans les bras de Gabriel. Et merde. Fred me dit :
- Ça va s’arranger, Robin ! Tu n’as rien fait !
- Tu ne la connais pas ! c’est foutu pour la bague… Et merde !
- Tu devais lui offrir une bague ?
S’interroge Diane
- Oui et c’est foutu. Tu connais le merveilleux caractère de ton amie, non ?
- Je vais lui parler Robin. Ça va s’arranger !
Je bois mon verre, je l’observe. Elle rit avec ses frères et ses belles sœurs. J’envie leur bonheur, j’aimerai tellement lui donner autant.

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Elle me dépose un petit bisou.
- Il y a un problème, mon petit cœur ?
Je l’enlace par la taille, elle n’est vraiment pas bien. Elle se blottit sur moi :
- Oui, Robin, il y a un problème !
- Que se passe t-il ?
Elle m’inquiète, elle me dit d’une petite voix :
- Je suis enceinte…
Je suis surpris, je la redresse :
- Quoi ?
- Je sais… Je n’en veux pas non plus, mais je ne veux pas lui faire mal. Si je l’enlève, je vais lui faire mal, Robin, mais je n’en veux pas…
- Tu ne prenais pas la pilule ?
- Si, mais, on baise tout le temps. Il se peut que je l’ai oubliée une ou deux fois… Qu’est ce qu’on va faire, Robin ?
- Rien, mon petit cœur, on va s’organiser…
- Mais Robin, on ne fait que baiser, comment on va faire avec un bébé ?
Elle se met à pleurer, je la rassure, je la serre dans mes bras. Je lui réponds en rigolant :
- On fera donc plus, que de baiser. Nous serons un couple, un couple qui va avoir son premier enfant. Tout va bien se passer, mon petit cœur. Nous sommes ensemble, non ? On s’aime, donc ça se passera bien. Il faut que l’on officialise, il est grand temps, maintenant. Ce bébé nous le rappelle. ça fait six mois, Alhena que nous sommes ensemble !
- Robin, je ne sais pas…
- Tu portes mon enfant et je t’aime. Tu vas devenir ma fiancée et bientôt ma femme.
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Elle arriva à l’étage, elle était de plus en plus mal. Elle ne remarqua pas le plateau à la sortie de l’ascenseur, posé sur une table. Elle passa sans le voir. Pas de secrétaire au bureau. Devant elle, une énorme porte aux vitres fumées, tout était vitré à cet étage, c’était très beau : mieux que le bureau dans lequel elle travaillait. Elle frappa à la porte, une voix ferme lui dit d’entrer. C’est lorsqu’elle poussa la porte, qu’elle remarqua qu’elle avait ses chaussures « confort ». Elle fit son apparition, devant lui : cet homme qu’on lui avait présenté comme un Apollon. Il était assis derrière son bureau et attendait comme un roi, son café. Il la dévisagea, elle fit de même et le reconnu : c’était l’homme du premier jour : la cravate framboise comme elle l’avait surnommé. Il lui dit :
- Entrez, Mademoiselle Bonse.
Elle entra très mal à l’aise dans ses chaussures non réglementaires et avec son gobelet de café. Il lui fit signe de s’approcher du bureau. Il se leva pour venir vers elle, elle posa le café devant lui. Il était grand, et c’était vrai qu’il était beau et impressionnant. Il vint à côté d’elle :
- On ne vous a pas expliqué ?
- Expliqué quoi, monsieur ?
- Ce n’est pas ce café là que je prends, ce n’est pas du vrai. Le mien est à la sortie de l’ascenseur, vous ne l’avez pas vu ?
- Oh ! Non, je suis désolée…
Tout à coup, son mauvais caractère reprit le dessus, Michel lui avait toujours appris à être fier. Accepter d’être sous la coupe d’un homme, même son patron : ce n’était pas elle. Elle se permit alors d’ajouter sur un ton correct :
- Excusez-moi, je ne suis pas payée pour amener le café. Et celui-ci, est très bon, nous en buvons tous les jours, monsieur ! Vous l’avez goûté ? Après tout, vous le fournissez à vos employés.
Il sourit, jamais on ne lui avait parlé comme ça :
- Vous avez raison, Mademoiselle, mais je suis le patron, quand même, j’ai le droit de boire ce que je veux, non ?

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Je l’entends déchirer un emballage de préservatif. Puis, très vite, il enfonce sa queue au plus profond dans ma chatte. J’ai le sentiment qu’elle est faite pour moi, il me pilonne, il gonfle, il grogne. Il est violent, mais c’est ce que j’aime. Je ne résiste pas longtemps. Il plonge si profondément que je hurle très vite mon plaisir.
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Nous sommes deux amants insatiables et nous avons besoin de l’un et de l’autre. Je monte ses jambes aux épaules et je la prends comme je veux : fort, comme elle le mérite. Je veux l’entendre crier. Elle me griffe dans le dos, elle aime me faire mal. J’enlève ses mains et je les emprisonne. Je continue toujours puissamment. Elle transpire, moi aussi. Elle se raidit, elle se contracte et prend ma queue entièrement. Elle crie mon prénom et monte au septième ciel. Sa jouissance provoque la mienne. Je me vide une nouvelle fois puissamment. Elle va me tuer, mais c’est tellement bon.
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Elle se leva, le cœur battant et les jambes chancelantes. Il l’emmena dans le bureau de Nicolas. Il l’invita à entrer et ferma la porte. Il voulut qu’elle s’asseye sur le canapé, elle refusa et prit une chaise. Il se lança, lui aussi mal à l’aise :

- Pardonne-moi…
Elle le stoppa immédiatement :
- Non, pas d’excuses Jérémy, je n’en veux pas. Tu l’as fait, tu savais les conséquences…
- Isis, je …
- Je ne veux pas parler de cela, Jérémy. C’est fini, pour moi. Tu m’as trahie, tu m’as fait mal… je ne peux pas te pardonner…
Il se pinça les lèvres et ferma les yeux, puis dit froidement :

- Que veux-tu alors ?
- On va se séparer…
- C’est ce que tu veux ?
- Non, c’est ce que tu as provoqué, Jérémy. Tu m’as trompée…
- Je ne l’aime pas, Isis…
- Tu l’aimes assez pour la baiser dans le bureau… Il faut le dire aux jumeaux, ils se posent des questions…
- Tu veux qu’on leur dise quoi ?
- Qu’on ne vivra plus ensemble ! J’ai trouvé un appartement… j’emménage bientôt…
- Tu veux de l’argent…
- Non ! Je ne veux pas de ton argent, j’ai le mien. Je veux qu’on s’arrange au mieux pour les enfants, je sais que tu les aimes autant que moi…
- Isis, je vous aime tous les trois… tu me manques tellement…
- Arrête !
- D’accord ! Je veux que tu les gardes…
Dit-il sèchement
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Je rentre du Moyen Orient où j’ai passé cinq ans de ma vie. J’ai tout pour être heureux : une magnifique fiancée, un travail formidable et une famille unie. Je retourne chez moi en France pour me marier et travailler avec ma mère. Elle est à la tête d’une grande maison de couture spécialisée dans la lingerie de luxe. C’est mon héritage et j’en deviens le vice président.

Libertine, j’appartiens à un club de libertin depuis quelques années. Je me dévergonde, moi la petite provinciale de Boulogne sur mer. J’ai tout quitté du jour au lendemain, pour me retrouver seule à Paris. Mais j’y ai rencontré ma meilleure et ma seule amie : Nina. C’est elle qui m’a initié à son style de vie : pour elle, le libertinage est un autre style de vie qui inclut pleins de valeur : le libertin ne critique personne, il apprend à connaître et se forge une opinion personnelle. C’est moi, c’est nous. Grâce à elle, je revis et je me transforme le week end : je deviens Galatée, la libertine. Et nous sommes deux : Galatée et Maïa, les déesses.
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Une belle mariée mais une mariée qui pleure. Il voulut trouver une autre photo, plus grande. Au bout d’une heure de recherche, il y parvint : il l’agrandit. Elle était jeune, belle. Elle portait une robe simple, blanche. Un bouquet de roses : roses et blanches. Un voile léger. Cette photo montrait ces larmes, elle ne semblait pas heureuse.
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Les enfants autistes n’ont pas conscience de leur corps. Les contacts corporels sont une menace pour eux et c’est pour cela qu’ils se montrent violents ! Le massage les apaise et cela me permet de créer avec eux un climat de confiance. Il va leur permettre aussi de rentrer en contact pas seulement par la parole mais grâce à leur corps.
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J’écris sur ma page : « journal d’une Zèbre »
Cette page où je partage mon mal –être, où j’explique la difficulté d’être différente, d’être précoce. Je ne suis pas comme les autres, je pense différemment, je réfléchis vite et mon cerveau est toujours occupé. Apprendre, toujours apprendre… comprendre toujours comprendre… C’est comme une drogue. Même ma famille ne me comprend pas.
Puis toi…
Je pensais avoir trouvé quelqu’un qui me comprenne. Je me suis sentie bien pour la première fois
Je t’ai parlé, je t’ai écouté, je t’ai aidé, je me suis confiée à toi. Tu connais mon histoire…
Mais j’ai plongé directement dans un trou sans fin.
La trahison : c’est une première fois. Je savais que les personnes de mon âge ne m’appréciaient pas mais jamais on ne m’avait fait cela.
Tu m’as trahi en me regardant droit dans les yeux, en me disant que tu m’aimais…
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