La circulation, qui avançait par spasmes d’un mètre ou deux, ne cessait de s’arrêter, de repartir… de s’arrêter, de repartir… avant de s’arrêter complètement.
Puis les avancées par à-coup reprirent.
Le rythme était un peu celui des points et des tirets d’un message en morse.
Une file interminable de voitures enrubannaient la colline, envoyant au cosmos un message en séquences linaires répétées.