Je me souviens à peine de ce que je criais, quand les secours sont arrivés... Il me semble que j'abreuvais Okuda d'insultes. Mais tout en déversant ma colère, je ressentais un profond chagrin, comme si je venais de perdre mon plus grand amour ! Et je ne cessais de prier, pour que l'âme de ce malheureux fou, repose en paix.