Les hommes aiment la liberté parce qu'elle les protège du contrôle que les autres exercent sur eux et de l'humiliation qui s'ensuit, leur offrant ainsi la possibilité de garder leur dignité. Ils la détestent parce qu'elle les renvoie à leurs responsabilités, les confrontant ainsi à la possibilité de leur insignifiance.
{Non mais c'est pas possible ! A-t-on idée de s'appeler SZASZ ! C'est quoi ce nom-là ! C'est spécial scrabble ou spécial calembour ?
Crois-moi p'tit gars, faut me changer ça tout de suite, c'est un vrai dészasztre ! Excusez-moi pour le jeu de mots foireux, c'est mon péché second, je ne suis pas l'as des Szasz en ce domaine. Par contre je connaissais un gars, Al Szasz, qui venait de Lorraine et qui, lui, était sacrément balèze en contrepèteries. Si Szasz trouve, il aurait imaginé bien mieux que moi, car jusqu'ici, c'est pas senszasz !}
Arrêtons de raconter qu’il y a, derrière chaque pensée tordue, une molécule tordue dans notre cerveau.
Dans la mesure où l’Église du Moyen Âge, avec l’appui des rois, des princes et des autorités séculières, contrôlait la formation et la pratique médicale, l’Inquisition [la chasse aux sorcières] constitue, entre autres choses, le premier exemple de «professionnels » niant les capacités de « non-professionnels » et leur refusant le droit de soigner les pauvres.
On n'est pas un bon analyste parce qu'on a eu une bonne analyse, ni à l'abri de l'erreur parce qu'on connaît ses points faibles.