Tyne O`Connell

J'ai un peu honte mais en votant cette couverture de livre sur les étagères de "ma" médiathèque, j'ai été tentée de lire la quatrième de couverture et bref, ayant besoin de me vider les esprits en ce moment, je me suis laissée tenter.

Je ne m'attendais pas à un super roman, à vrai dire, je m'attendais presque à être déçue mas en ayant passé un bon moment de divertissement et au final, même si le deuxième point s'est bien produit, je dois avouer que j'ai été agréablement surprise.



Pour planter le décor : une école catholique hyper huppée que toutes les filles de stars fréquentent. Seule Calypso fait un peu tâche au milieu puisque ses parents sont d'un milieu relativement modeste mais ont néanmoins tenu, quitte à ne pas faire construire de piscine, à l'envoyer dans cet établissement prisée. Calypso, qui jusqu'à présent avait de gros a priori, à savoir que la condition sociale déterminait la personne, s'est rendue compte qu'elle avait tout faux. Certes, il est vrai que Georgina et sa bande très branchée et hyper friquée lui en ont fait baver la dernière année, ne manquant pas de se moquer de son accent de L.A et si peu "british" mais lorsque l'on gratte un peu, elle s'est rendue compte qu'elles étaient en réalité des filles comme les autres...en fait elle a un peu triché mais a finalement réussi à se faire accepter au sein du fameux clan, tout comme son amie Star d'ailleurs. De plus, flirter avec un membre de la famille royale a grandement contribué à faire d'elle, la fille qui vient de l'autre côté de l'Atlantique et surtout la fille qui 'a ni armoiries ni nom à particule, à être un peu jalousée...



Un roman qui se lit d'une traite, avec une écriture fluide et légère et même si l'histoire est parfois un peu tirée par les cheveux et un peu trop gnan-gnan par moments, le lecteur ne peut s'empêcher de sourire et de se laisser divertir. A découvrir !

C'est exactement le genre de lectures dont j'avais besoin en ce moment : celles de ceux qui ne font pas réfléchir, qui, malgré les épreuves, finissent toujours bien...Bref, une de celle que j'appelle une "histoire à la Cendrillon". cela fait toujours du bien de temps à autres, surtout lorsque tout va mal dans sa vie et que vous avez l'impression de les accumuler. Eh bien là, l'avantage avec ce genre de série, c'est la même chose : vous les accumulez parce que cela vous fait du bien mais le problème, c'est que cela finit parfois à s'essouffler un peu, comme c'est le cas dans ce troisième tome. De plus, je vais devoir me remettre à lire des livres un peu plus "sérieux" par nécessité de travail car je dois rencontrer un auteur prochainement et le moins que je puisse faire, c'est de lire son ouvrage au préalable. De plus, autre petit souci, moindre, je ne suis pas sûre qu'ils aient le quatrième tome à la médiathèque dans laquelle je m'approvisionne.



Passons maintenant dans ce qui vous intéresse le plus, chers lecteurs, ce que j'ai pensé de l'histoire en elle-même après vous en avoir fait un petit résumé : Calypso, notre héroïne, est enfin une adolescente pleinement épanouie, avec de vraies amies, un prince comme petit amie, des études dans l'une des écoles privées les plus prestigieuses d'Angleterre...tout ce qu'une adolescente pourrait rêver d'avoir quoi. Il faut dire que l'univers dans lequel évolue les ados de cette série disqualifie d'entrée de jeu les adolescentes de nos jours, potentielles lectrices de ces ouvrage car, contrairement à celles de la vraie vie, celles de Tyne O'Connell sont toutes (ou presque) nées avec une cuillère en argent dans la bouche. Pour les autres, elles sont soit filles de stars du Rock'n Roll, soit eh bien elles sont comme elles sont mais leurs parents ont tout de même de quoi leur payer les frais de scolarité assez exorbitants donc autant dire que ce n'est pas la jeune fille de 14 / 15 ans que l'on a l'habitude de croiser tous les jours.

Dans ce troisième volet, Calypso doit faire face à la crise conjugale que traversent ses parents et va devoir apprendre à supporter Sarah (sa mère), qui n'a rien trouver de mieux que de faire ses valises et de traverser l'Atlantique pour venir s'installer tout près de sa fille chérie. Mêlez à cela la pression constante qui pèse sur notre pauvre héroïne concernant les futurs qualifications pour les nationales d'escrime (sport qu'elle pratique à haut niveau depuis de longues années), une nouvelle surveillante tyrannique, le fait de devoir partager sa chambre avec Honey (la pire de toutes les pestes qui fasse aussi ses études à Saint-Augustin) et enfin des quiproquos avec son prince chérie et vous vous ferez alors une idée de l'état dans lequel le lecteur retrouve son héroïne après l'avoir laissé sur un petit nuage à la fin du deuxième tome.



Alors, certes, c'est vrai qu'il s'en passe des choses et que les rebondissements ne manquent pas mais j'ai l'impression que l'auteure s'essouffle un peu et ne se base uniquement que sur le même type de problèmes (qui soit dit entre nous, si il n'y avait que ça comme problèmes existentiels, toutes les femmes ou hommes d'ailleurs auraient de quoi être les êtres les plus heureux du monde) mais bon, comme je l'ai dit, là encore nous sommes dans la fiction. Une lecture qui n'en reste pas moins agréable à lire, un ouvrage qui se lit d'une traite et qui est loin d'être prise de tête. A découvrir si cela vous chante !

Eh puis zut, même si j'ai passé l'âge, j'ai encore envie de rêver d'histoires d'adolescentes. Certes, ici, l'auteure ne nous plonge pas avec les problèmes de n'importe quelles ados puisque toutes sont extrêmement fortunées (du moins papa et maman le sont), donc leurs seules véritables préoccupations sont quel sac porter avec quelle tenue pour être au dernier cri à la mode mais, elles ont cependant, pour un petit lot d'entre elles, et fort heureusement, d'autres préoccupations. Tel est par exemple le cas de notre héroïne, Calypso Kelly, l'américaine de base pour laquelle ses parents ne se privent pas de bien des luxes pour pouvoir payer ses frais de scolarité à Saint-Augustin, cette école privée si renommée en Angleterre. Après avoir réussi à se faire accepter dans le fameux groupe très sélect de Georgina & co, ce semestre s'avère cependant moins réjouissant que celui d'avant. En plus de devoir partager sa chambre avec l'horrible peste de toute l'école, Honey O'Hare, elle réussit à se brouiller avec son autre compagne de chambre, Portia et tout cela à cause de quoi ? A cause d'une histoire de garçons ! du moins à cause d'un gros quiproquo (dans lequel Honey n'est pas étrangère d'ailleurs) qui a réussi à semer la zizanie entre les deux seules élèves de seconde à pratiquer encore l'escrime cette année. de plus, Calypso découvre ce que c'est que la jalousie par manque de confiance en celui qu'elle croit aimer et en ses amies mais plus que tout, par manque de confiance en elle !



Arrivera-t-elle à faire, comme l'an passé à ce que le beau prince Freddie, hériter de la couronne d'Angleterre (eh oui, rien que ça mais je vous avais prévenue que l'on n'avait pas à faire à n'importe quels adolescents dans cette saga) n'ait d'yeux que pour elle ? Il faut aussi avouer qu'elle ne sait plus trop où elle en est car après avoir rencontré Billy, un garçon plus âgé qu'elle mais beau comme un dieu, son coeur balance...



Un second tome, tout comme le premier, qui s'avère extrêmement prometteur pour la suite. Un ouvrage sans prise de tête, qui se lit d'une traite et qui nous permet de côtoyer un monde qui ne sera probablement jamais le nôtre (là, je parle pour moi), à savoir celui des princesses et dans lequel l'argent est vital pour pouvoir survivre mais aussi les noms à particule ainsi que les titres de noblesse qui vont avec cela va sans dire. Un agréable moment de détente qui nous permet de lâcher prise, de ne pas se trop réfléchir si ce n'est à la tenue que l'on se mettra pour le prochain bal !



Un agréable moment qui nous permet de s'évader un peu de tous les tracas du quotidien, bref, une lecture que je ne peux que vous recommander !

Alors, quoi dire ? Ce roman est affligeant !

L'histoire peut se résumer sur un ticket de bus.

C'est bourré de clichés : une anglaise, avocate, célibatante et fan de shopping (liste interminable d'accessoires de mode et de marques chics et chères) qui tombe en pâmoison devant tous les mecs qu'elle rencontre.

Elle part à L.A. avec un beau gosse, surnommé "monsieur parfait" qui l'appelle "poupée".

Une fille superficielle avec des faux problèmes.

J'ai souris 2 fois, le reste du temps, je me suis ennuyée.

J'ai appris que c'était un tome 3. Je m'abstiendrai de lire les 2 premiers, merci mais, non merci.

Ce n'est certes pas un grand roman mais le premier tome est un bon moment de détente !

Calypso vient d'une famille modeste mais ses parents veulent lui offrir les meilleures études possibles. Elle va donc se retrouver dans le lycée de tous les enfants riches londoniens. C'est lors de sa première année qu'elle va tomber amoureuse de l'un de ses adversaires d'escrime. Mais elle va également faire la rencontre du prince d'Angleterre qu'elle ne va pas laisser indifférent !

Dommage que le tome 2 ne soit pas aussi amusant que le 1er.
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Evelyn débute sa carrière d'avocate à Londres et cohabite avec un couple de lesbiennes. Dégoûtée des hommes, cette arrangement lui convient à merveille, jusqu'au jour où ses colocataires et amies la chargent de leur trouver un donneur... La chasse à l'homme est lancée!



Entre Bridget Jones et les héroïnes d'Etxebarria, Evelyn nous promène, parfois avec humour, de déboires amoureux en plaidoirie sous ecstasy. Une petite comédie romantique sympathique ma foi, mais malheureusement sans grande originalité.



Parfait pour entamer ses vacances un lendemain de cuite!



Céline
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Suite du roman sexe, mensonges et quiproquos. Evelyne est sans le sous, son nouveau loft est en chantier et un homme bizarre la guette. De plus elle est a nouveau célibataire… Toujours bien drôle bien que exagéré, un bon moment de détente…

Ce livre me fait trop penser au journal de Bridget Jones en nettement moins réussi...Saskia est tellement naïve et étourdie que c'en est consternant.

Bonne lecture de plage mais sans grand intérêt

Un petit livre pas franchement génial mais qui se lit très vite, ça passe le temps quoi

Ahhhh Lola....

Plus exactement "Lola et ses Ex" de #TyneOConnell de chez #RedDress.

J'ai été partagé entre l'envie de vivre son quotidien (ou plus exactement ses soirées d'organisatrice de soirées dans un club privé très Huppé de Londres) et le soulagement de ne pas devoir gérer ses états d'âmes et ses psycho drames amoureux (trois ex avec des histoires plus ou moins glorieuses)

Ce livre arrive après une période creuse et il a parfaitement comblé mon envie de revenir a la lecture

Simple et Léger il est parfaitement à sa place dans un sac de plage ou un sac de métro ! 😂

Bref, j'ai Beaucoup aimé
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Evelyn est tombée amoureuse d'un détective privé américain, Rory, qui lui propose de venir passer 3 semaines avec lui à Los Angeles. Sur place, elle aura la mauvaise surprise de découvrir son homme sous un nouveau jour.

Dès son arrivée, il lui reproche de ne pas avoir le permis de conduire, "je conduis donc je suis". Evelyn se sent tellement blessée qu'elle décide de partir pour sa première virée à LA avec un bel inconnu américain. Les vacances commencent assez mal.

L'histoire torride qu'elle a vécu avec Rory à Londres n'est plus du tout la même aux Etats-Unis.



Grosse déception que ce roman. Je n'ai pas accroché, pourtant en général je suis assez adepte de romances. Mais là j'ai eu l'impression de ne lire que de longs monologues sans trop savoir où cela allait nous mener.

De plus, en lisant les précédentes critiques, j'ai compris que c'était la clôture d'une saga. Ceci n'était aucunement signalé sur la couverture. Peut être pour cela que je n'ai pas aimé, il me manquait une partie pour arriver à apprécier les personnages.

Trente ans ou presque a rejoint très récemment ma Pile à lire puisque je l’ai eu à Noël. Il vient d’une petite bouquinerie de Paimpol (merci papa et maman !) et le lire m’a fait penser aux vacances d’été (soupir).



J’avais envie d’une petite lecture sans prétention et c’est tout à fait ce que m’a offert Tyne O’Connel. L’auteure australienne a situé son intrigue dans l’univers des galeries d’art londoniennes, ça change un peu des filles qui travaillent toutes dans des magazines de mode, même si c’est bien aussi). L’héroïne, Saskia, est plutôt sympa quoique un peu à côté de ses pompes. Elle rêve de faire rentrer son 40 dans un 36, jure qu’elle ne mangera plus jamais tout en se goinfrant de chips et elle a la manie des listes, notamment une qui est à l’origine de sa rupture avec son gros nul de mec.



Franchement, je ne sais pas si cette lecture va rester longtemps dans un coin de ma tête (ce n’est pas La couleur des sentiments ou Seul le silence non plus, il ne faut pas exagérer), mais j’ai passé un bon moment et j’ai ri. Et c’est déjà très bien !
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Un roman à lire absolument pour les 14/17 ans.

Ayant lu la critique de ma soeur, puis parler avec elle de ce livre avant de m'y mettre, je dirais que Calypso est un bouquin niais, qui m'a vaguement rappelé les harlequins, mais pour les jeunes, et avec tout de même un peu plus de choses positives, mais pas assez pour me combler royalement. Calypso est une jeune fille aux bords superficiels qui veut se faire bien voir par des filles qui sont toutes plus idiotes les unes que les autres (même si on découvre que non elles sont pas si débiles), et qui change d'avis comme une girouette. C'est aussi une demoiselle pleine d'humour que j'ai su apprécier par ce côté là, mais qui malgré son âge m'a énervé. Influençable et naïve bref. Pourtant elle avait quand même des côtés positifs, mais plus le livre avance plus on se rend compte à quel point elle est un peu stupide. Ses amies m'ont un peu plus plu. Star et Georgina étaient des personnages intéressants et presque originaux. Parce que le problème de ce livre c'est qu'il contient pleins de clichés que ce soit en perso ou en actions. Du coup, aucune surprise n'existait, et je m'attendais à rien du tout parce que je comprenais immédiatement ce qui allait se passer. L'écriture se passant avec Calypso, rendait l'aspect du livre un peu rapide, et certains passages étaient limite passé à la va-vite (j'en avais l'impression), mais d'autres étaient plutôt sympathiques. Les actions qui se déroulent sont plutôt pas mal, l'univers dans lequel se déroule l'histoire m'a plu, et le fait que Calypso fasse de l'épée également. Mais en fait je suis un peu mitigé. J'ai bien aimé, et à la fois, l'aspect stéréotypé du livre et superficiel de Calypso m'ont fait pas mal lever les yeux aux ciel.

En lisant ce livre je m’attendais un peu à un truc genre « le monde délirant d’Ally » de Karen McCombie ou bien encore « Journal d’une princesse » de Meg Cabot. Et bien non. L’écriture est plus foireuse, passant du coq à l’âne, avec des personnages sans personnalités et hyper clichés, qui ne m’ont pas forcément plu. L’amitié avec ses pires ennemis arrive trop vite pour être crédible (et juste à cause de quelques photos, mouais), et le prince tombe amoureux d’elle en quatre secondes (et réciproquement) aucun intérêt donc. J’ai cependant apprécié les personnages des soeurs qui sont parfois un peu loufoques et marrantes. L’histoire est hyper nunuche, et l’on n’a aucune réflexion sérieuse ni sur l’anorexie (et pourtant il en est question), ni sur l’aristocratie, ou sur quoi que ce soit de toute façon. C’est assez superficiel, clichée, et malgré tout ça ne m’a pas totalement déplu. Pourtant ça se lit vite et bien, j’ai passé un moment agréable avec cette lecture pas prise de tête du tout. Je pense que je l’oublierai vite et que je ne lirai pas la suite, mais cela reste une lecture sympa tout de même.

Fin une peu brutale mais très bon livre. On se met bien à la place de l'héroïne.

Je me suis trouvée dès les premières lignes embarquée dans ce que l’on appelle « un livre de fille », et même si le titre ne pouvait que laisser présager un tel genre littéraire, cela m’a agacée dès le départ. Je suis donc partie avec un a priori plutôt négatif qui s’est confirmé tout le long de ma lecture. Peut-être que quand on a dépassé la trentaine, on est moins réceptif à ce genre de littérature, en tout cas ce fut le cas pour moi. Je pense cependant que cela tient davantage du style d’écriture (agaçant !), de l’histoire (qui se déroule dans le milieu de l’art contemporain à Londres) que du genre littéraire puisque je lis toujours avec plaisir (à trente-trois ans passés…), les romans d’Isabel Wolff (Les tribulations de Tiffany Trott, Les mésaventures de Minty Malone…), de Jane Green (Les millefeuilles de Lucy, Un bébé à tout prix…) ou encore d’Helen Fielding (Le journal de Bridget Jones…). Mais là, même sur la plage pendant un week-end, la sauce n’a pas pris…

Je pensais trouver un livre de la trempe du "Journal de Bridget Jones" ( dont on sent largement l'influence). Cependant l'histoire est fade, sans aucune aucune saveur. Je n'ai pris aucun plaisir à lire ce livre, et je me suis plutôt forcée à le finir ( ce que je déteste).

Extrait de ma critique:



Difficile de se satisfaire du "bien" quand on cotoie le "meilleur", vous ne trouvez pas? Aussi, j'ai vraiment du mal à apprécier la chick lit depuis que je connais les Sophie Kinsella! Mais je ne désespère pas et je donne sa chance à tous les livres du genre qui croisent mon chemin!



Lola et ses ex est un livre qui en fait partie. Distribué par la collection chick lit de Harlequin (appelée Red Dress Ink), ce livre est disponible au prix de 7€.



Il raconte l'histoire de Lola, une trentenaire douée dans son travail, mais manquant vraiment d'intelligence quand elle interagit avec les hommes de sa vie!

Extrait de ma critique:



Petit avis littéraire pour bien continuer la journée. Tout au long de l'année, j'aime avoir plusieurs livres à mon chevet, un pour chacune de mes facette: de la chick lit, un guide pratique, un bit lit, un polar... Mais il y en a que j'ai vraiment du mal à entamer et à finir. C'est le cas de Absolutely Fantastic qui a vraiment eu du mal à me motiver à la finir.



Absolutely Fantastic est un livre de Tyne O'Connell, une auteure américaine de chick lit qui nous propose ici un roman à deux voix. On y rencontre à Los Angeles Holly Klein, une brillante présentatrice à succès et Léo, un squatteur. Ils vont apprendre à se connaître et l'on verra l'histoire se dérouler sous leurs regards divergents.