Le groupe descendit à l’étage inférieur, celui du traitement des déchets. C’est là qu’arrivaient les boyaux qui, après avoir été grattés et lavés, allaient servir d’enveloppes aux saucisses. Des hommes et des femmes y travaillaient, dans une puanteur écœurante ; les visiteurs pressèrent le pas en retenant leur respiration. Dans un autre atelier, s’accumulaient tous les débris qui devaient être « décantés » : on les mettait à bouillir, puis on pompait la graisse pour en faire du savon et du saindoux. Ensuite, on vidangeait ce qui restait et, là aussi, les touristes n’avaient guère envie de s’attarder.