La maison de Gib a colonisé le tronc d’un arbre aux dimensions inattendues, augmenté ses espaces intérieurs de renflements, d’ailes solidement charpentées et percées de fenêtres étroites. Un poste d’observation taillé de meurtrières coiffe le sommet. Une porte arrondie, lovée au creux des racines, constitue l’unique accès à la tanière.