Les Russes : « Il était pourtant persuadé qu'un homme comme Alexeï Kardakov venait dans ce quartier quand il se sentait nostalgique, qu'il avait envie de mélancolie, d'alcool et de voir des compatriotes. C'était toujours à Charlottenburg que les Russes de Berlin se rencontraient. Ils s'étaient construit leur propre univers avec leurs librairies, leur coiffeurs et leurs cafés, un univers où il n'était pas nécessaire de parler allemand. Les Berlinois appelaient cette société parallèle 'Charlottengrad' » (page 99).