Des fleurs, il y en avait, chaque printemps, trois, cinq, ou plus, c'était à peu près le compte. Pas d'avantage, et pourtant, dans les petites cavités du haut de l'arbre, à chaque printemps, surgissaient des boutons et s'épanouissaient les fleurs. Chieko les contemplait de la galerie, ou, au pied de l'arbre, levant la tête; s'il lui arrivait d'être frappée par la "vie" de ces violettes sur le tronc, parfois leur "solitude" l'envahissait.