Une histoire raconte qu’un homme qui avait très faim, rencontra un homme riche et généreux qui lui offrit un plein sac de pièces d’or. Il tenta de les manger mais comme il ne pouvait les croquer, ni les avaler, il n’apprécia pas du tout son cadeau qu’il jeta aux ordures. C’est souvent ce que nous faisons de ces précieux cadeaux reçus,lorsque nous recherchons le bonheur dans ce qui est éphémère.
Lorsque nous voulons transformer un aspect de notre vie qui nous fait souffrir, trois étapes sont essentielles :
La première, c'est la prise de conscience. On ne peut se libérer de ce dont nous ne sommes pas conscients.
La seconde consiste à reconnaître et à accepter cet état de fait. Cette seconde étape correspond au lien de cause à effet qu'on peut établir sans l'ombre d'un doute.
La troisième concerne l'action libératrice. C'est-à-dire, l'action qui nous permettra de transformer un état de souffrance en un processus de guérison et de bien être.
Lorsque nous voulons transformer un aspect de notre vie qui nous fait souffrir, trois étapes sont essentielles :
La première, c'est la prise de conscience. On ne peut se libérer de ce dont nous ne sommes pas conscients.
La seconde consiste à reconnaître et à accepter cet état de fait. Cette seconde étape correspond au lien de cause à effet qu'on peut établir sans l'ombre d'un doute.
La troisième concerne l'action libératrice. C'est-à-dire, l'action qui nous permettra de transformer un état de souffrance en un processus de guérison et de bien être.
La Métamédecine est une médecine féminine, complémentaire à la médecine masculine
Lorsqu’il s’agit de poser un diagnostic, d’intervenir pour corriger une défaillance ou réparer un tissu, cela relève d’une médecine masculine. Mais lorsque la cause est abstraite ou d’ordre émotionnel, la Métamédecine a tout-à-fait sa place, car elle offre un moyen pour permettre aux personnes de se libérer de stress dont elles ne sont souvent pas conscientes, qui donnent naissance à bien des affections. Rejeter l’une au profit de l’autre reviendrait à sacrifier une hémisphère du cerveau au profit de l’autre.
Une approche inductive semblable à la Maïeutique de Socrate
La mère de Socrate était sage-femme. Socrate pensait : « Moi, je ferai accoucher les esprits… ». Ainsi, Socrate développa-t-il le questionnement où la personne interrogée parvient à trouver en elle-même les vérités. Le questionnement vise à le faire se ressouvenir, c’est la fameuse théorie de la réminiscence.
En Métamédecine, on évite les déductions ou les généralisations du genre :
« Si tu as mal aux épaules, c’est parce que tu en prends trop sur tes épaules ! ». Bien que cette déduction puisse être juste, un mal d’épaule peut avoir aussi d’autres causes.
La Métamédecine propose une approche inductive en utilisant des questions pertinentes. Ces questions conduisent la personne qui consulte à se les poser à elle-même. Par exemple : Que vivait-elle avant l’apparition de ce symptôme ? Qu’a-t-elle ressentie lorsqu’elle a été remerciée…, lorsqu’elle a découvert que…, lorsqu’on lui a annoncé… ?
C’est ainsi qu’on lui apprend à écouter son propre ressenti plutôt que de s’en remettre à ceux qui croient savoir mieux qu’elle.
Ce faisant, elle se réapproprie son pouvoir sur sa santé, son bonheur et sa vie.
“Mon art de maïeutique a les mêmes attributions générales que celui des sages-femmes.
La différence est qu’il délivre les hommes et non les femmes
et que c’est les âmes qu’il surveille en leur travail d’enfantement,
non point les corps”
– Socrate
La gratitude nous place sous une bonne étoile que les autres appellent la «chance».