Alex..., commençai-je, mais son prénom refusa de franchir mes lèvres.
Surprise, j'essayai à trois reprises sans plus de succès.
Qu'est-ce que c'est que cette histoire? grinçai-je, avant de me résoudre à utiliser un " ALIX " aussi peu agréable qu'exaspéré.
A une douzaine de mètres devant moi, l'interpellé s'immobilisa enfin, mais sans se retourner, attendant vraisemblablement que je le rejoigne pour japper:
N'essaie plus jamais de m'appeler Alexis, Naïla, jamais...