Il n'y a pas de sens.
Juste l'habituelle déprime de novembre, deuil des beaux jours et deuil des illusions, quand l'âme perd son bronzage revient le temps des suicides, des liftings, des divorces. Rien à déchiffrer, pas de leçon à tirer. Des émotions autosuggérées, brèves décharges synaptiques, des souvenirs que l'on se fabrique pour se consoler de devoir vieillir, et mourir, et finalement tout oublier.