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"I read you like you were my favourite book, Rosie. Like I've memorized you."
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"You're objectively handsome, I... guess."

"You... guess?" Lucas lips pursed. "I feel like there's a compliment somewhere, but I'm having a hard time finding it."
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Rosie, a seat? he repeated. "I can't promise I won't bite, but I will try not to.
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Fix him? Didn't he see that he was perfect? [...] "You can't fix something that's not broken, Lucas.
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Abuela was right, though. It's not smart to pretend everything's okay when it isn't. Whenb you bottle something up so tightly, the lid will blow up.

Sooner rather than later.
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And for all the romances I'd read and the one, almost two, I'd written, I hadn't known that. I would have never imagined that touching a man could light me up inside and quiet every worry and every noise in the world.
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Symboliquement, la roue médecine nous invite ainsi à accueillir nos peurs pour guérir et se libérer. Retravaillé symboliquement au travers de l’enseignement des quatre directions, notre récit de vie va évoluer selon différentes étapes, de l’est au sud, du sud à l’ouest, puis de l’ouest au nord, et modifier notre rapport à notre histoire et à nous-mêmes jusqu’à finir par le digérer totalement et l’intégrer dans nos apprentissages de vie. Le but de la roue médecine est de nous aider à mettre du sens sur nos blessures et notre histoire en nous invitant à une profonde métamorphose de nous-mêmes :

– « À l’est, je nomme pleinement mon histoire et mes blessures. »

– « Au sud, je transforme petit à petit la perception que j’ai de moi en osant être moi-même en faisant preuve de respect. »

– « À l’ouest, j’accepte que toute mon histoire se soit déroulée ainsi et qu’elle est mon histoire. »

– « Au nord, en acceptant mes blessures et mon histoire, je prends conscience de ma métamorphose, je pose du sens sur ce que j’ai eu à traverser et j’apprends de mon expérience. »
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And I imagined this, his hug, his body, him, being my safe haven. My normal. My bad days, my good days. My every days.
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Can I ask you something?" [...] "Why did you think it would work?" [...] "Why did you think that this.... dating experiment would lead to anything other than this?
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Yeah, not Bella Durmiente. You're a tougher princess.
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C'est un cela que ce résume une vie: La somme des petits, des grands bonheurs, des silences partagés dans l'intimité, des anecdotes qui pimentent le quotidien, les regards plus appuyés que d'autres, des disputes, des réconciliations... Tout ce qui échappe aux sentiments profonds se dilue et disparaît.
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J’ai alors progressivement construit le concept du guérissage à partir de mon savoir de thérapeute et des enseignements délivrés par Chomis. Ayant conscience que la résilience n’est qu’une étape dans le processus de guérison, j’avais à coeur d’apporter ma contribution à la psychologie humaniste. Lorsque j’ai rencontré Chomis, il m’a immédiatement fait penser à un guerrier sage ; pour ma part, j’avais la sensation d’être une guerrière depuis de nombreuses années. Ce mot « guérissage » est alors né de cette réflexion : j’avais envie d’avancer sur le chemin du guerrier sage comme Chomis nous l’avait enseigné et de devenir une guerrière sage à mon tour. Aussi, lorsque je fais référence au terme « guerrier sage » dans cet ouvrage, il faut sortir d’un contexte genré pourl’amener à une notion universelle, celle de la guérison. Avec le guérissage, je propose d’intégrer nos épreuves à notre histoire en leur donnant un sens, notre sens.
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-- On te parle du véritable amour, ma petite ! dit Malaga, de cet amour qui fait qu'on s'enfonce ! qu'on enfonce père et mère, qu'on vend femme et enfants !



Malaga : Marguerite Turquet : "Une écuyère de cirque se tient debout sur sa monture lancée au galot. Cravache en main, elle se prépare à sauter au travers d'un cerceau qu'on présente devant elle. Un jeune homme vêtu de noir est au centre de la piste, un long fouet à la main."

Extrait de La Fausse Maîtresse, par Honoré de Balzac
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Certes, le véritable héritier de Rogier Van der Weyden fut Hugo Van der Goes, qui occupe, par l’austérité de sa manière, narrant ses amertumes, une place spéciale dans la pléiade des artistes de son temps. Mais, un transfuge de l’école de Harlem, Thierry Bouts le Vieux emprunta aussi à l’esthétique de Rogier. Sans doute; et son procédé engendra l’idéal charmant de Hans Memling et celui plus viril de Quentin Metsys.



Tous ces artistes constituaient un groupe de peintres flamands, et par leurs tendances, et par leur origine.
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La dernière fois que j'ai mis les fesses dans l'eau, c'est à Narbonne-Plage avec ma mère, Rita et les siens. J'avais une dizaine d'années.
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"Pourquoi tu ne m'as rien dit ? "

"Parce que parfois les mots pèsent une tonne de trop..."
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Le bourgeois ne supporte pas qu'on lui résiste.
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La jungle, comme la guerre, c'est la peur, la douleur et la mort; mais c'est aussi la révélation.

C'est, en somme, la vie menée à son extrême limite.
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Frank Sinatra. Puis Billie Holiday. Est-ce cette musique qui les a assombris, ou est-ce parce qu'ils étaient sombres que cette musique les a attirés à elle ?
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Sir Georges Beck avait besoin de puissantes émotions.



Le repos, le calme, étaient pour lui de violentes tempêtes ; il était malade alors ; il se traînait jusqu'à son lit ; et là, les prières de l'amitié auraient été impuissantes contre son spleen, si on ne l'avait chassé à l'aide d'une catastrophe, d'une commotion électrique, d'une détonation à ébranler le cerveau (…)



Si deux exécutions avaient lieu en même temps, sir Georges, au désespoir, choisissait pour lui celle où il comptait que la catastrophe serait plus dramatique ; un de ses domestiques était expédié à l'autre, avec mission de conserver, par écrit, les plus petits détails des scènes dont il allait être témoin ; et, à une époque de malheur, il a eu quatre domestiques en course à la fois.



À leur retour, celui qui avait le mieux vu et qui racontait le plus pittoresquement, recevait la plus forte gratification (...)



Une petite ville du nord de l'Angleterre allait être le théâtre d'une exécution mémorable, puisqu'on devait y pendre un célèbre voleur qui, sur le banc du tribunal, s'essuyait la figure avec le mouchoir des gardes qui étaient à ses côtés, et qu'il leur avait dérobé pendant le jugement ; sir Georges arriva sur la place de l'exécution deux heures avant le coupable. S'il fût arrivé deux heures après... Mais c'était impossible.



Georges ne crie pas gare ! Il pousse, il coudoie, il heurte le monde avec violence, et il arrive enfin auprès de la fenêtre d'où le voleur devait être jeté dans l'éternité.

Mais Georges n'est pas bien là ; il se trouve trop à pic sous la potence, il cherche une meilleure place. Un homme crie auprès de lui :



— Voici, messieurs, un chariot solide ; qui veut monter ? Trois schellings par personne. Hâtez-vous, le spectacle va commencer.



— Combien crois-tu que ton chariot puisse porter de personnes ?



— Mais, une trentaine au moins.



— Tiens, voilà le prix de cinquante ; mais moi seul j'aurai la jouissance de ta propriété.



— Milord, c'est trop juste...



Et voilà sir Georges seul, dominant la foule, et méditant sur l'échafaudage de destruction avec lequel il était de niveau, comme Pline étudiait les progrès de la lave du Vésuve qui devait bientôt l'engloutir.



Qu'il est heureux maintenant, sir Georges ! Qui veut lui offrir un empire sans potence ? Allez, et vous verrez comme il vous recevra.
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