Découvrir

J’ai découvert le film que j’ai bien aimé alors j’ai cherché le livre.
L’auteur raconte la belle époque où il a vécu en Algérie, tout était beau, un paradis sur terre, il faut voir aussi le film. Mais à toute belle chose, une fin . Il assiste impuissant à la perte de ce pays, au déchirement des deux clans, algériens côtoyés tous les jours , souvent amis et français ne voulant pas perdre leurs acquis.

Très belle lecture : pour un premier roman c'est indéniablement prometteur.

Nous alternons entre Lola, jeune parisienne de 26 ans, le récit de Rose.
Lola a été adoptée, elle l'a toujours su. Sa mère est morte à sa naissance.
Un jour, elle reçoit un appel d'un notaire au sujet se l'héritage de sa grand-mère maternelle. C'est un choc, elle ne pensait plus avoir de famille biologique.

Rose, sa grand-mère, va lui livrer le récit de l'histoire de sa famille à travers un grand nombre de lettres, disséminées dans la maison léguée à sa petite fille.

C'est bien écrit, émouvant, léger et profond à la fois.

C'était beau.

Voici mon premier livre audio, au début j’avais un peu peur mais je me suis dit que ce serait l’idéal pour accompagner mes longs trajets, et j’ai eu raison de sauter le pas.

Ravenhood est une dark romance qui s’installe petit à petit. Cecelia va vivre chez son père dans une petite ville où elle rencontre d’étranges garçons. Petit à petit, elle va se rapprocher d’eux et vont devenir plus que de simples amis.

Même si parfois la façon d’écrire de l’auteure m’a dérangée, j’ai suivi l’histoire avec impatience du début à la fin, car comme je voulais découvrir qui était Sean et Dominic, sous leur air à la fois froid et chaleureux. Comme Cecelia le décrit elle même, Sean est un soleil rayonnant et Dominic un nuage noir, toutefois on s’attache aussi à l’un qu’à l’autre car ils restent attentionnés envers elle.

Je lirai le deuxième tome car je suis curieuse de suivre la suite des aventures de ce trio.

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Je découvre cette saga au 3eme tome, au début j’avais peur de pas accrocher, car je trouvais l’histoire très, voir trop classique. Mais j’ai réussi à me plonger dans l’histoire.

Malgré tout, les personnages ont une véritable histoire, compliquée et touchante. Je me suis vite attachée à War et Charli. Suite à un pari, elle se retrouve forcée à passer du temps avec lui mais petit à petit la vie finit par les rapprocher. War est tellement mignon et attentionné. Charli est forte et déterminée, malgré sa relation complexe avec sa mère, elle garde la tête haute. Ensemble, ils traversent les difficultés de la vie et cela montre un couple puissant et aimant qu’on aimerait tous partager.

J’aime beaucoup la trope Fake dating, que j’ai pu retrouver dans ce livre. On voit les personnages s’aimer secrètement et se rapprocher doucement. En plus d'être léger, il aborde quand même des thèmes durs qui nous pousse à exprimer notre empathie et à ressentir de la peine pour les deux héros.

Je me suis plongée dans leur petit cocon et j’ai adoré cette fin. La demande était vraiment magnifique et je suis sous le charme.

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Une pépite pour les amateurs d'histoire. Sur les vingt duels, j'ai choisi trois, en voici les résumés.

Kennedy – Khrouchtchev

Lorsque Kennedy est élu, les soviétiques le regardent comme un blanc-bec. Le désastre de la Baie de Cochons à Cuba renforce cet avis. Khrouchtchev installe des missiles sur l'île, provoquant une tension extrême. Kennedy maintient son calme, évitant de justesse un conflit nucléaire mondial grâce à des négociations avec Khrouchtchev.

Gorbatchev – Eltsine

La dislocation de l'ex Union Soviétique a été marquée par la rivalité entre ces deux haut gradés. Au début, Eltsine avait une position secondaire, mais il a tout fait pour monter en puissance. A la fin, c'est lui le gagnant.


Bush père et fils – Saddam Hussein

La guerre entre l'Iran et l'Irak, de 1980 à 1988, voit la victoire de l'Irak dirigé par S. Hussein. Ce dernier tente ensuite de s'emparer du Koweït, mais se heurte à l'opposition des États-Unis. George Bush père maintient S. Hussein au pouvoir comme contrepoids à l'Iran.
Après le 11 septembre 2001, George W Bush mobilise son armée et une coalition internationale : c'est la guerre de 2003, supposément pour contrer les armes de destruction masive. L'armée irakienne est anéantie. Bien que S. Hussein soit capturé, la région est plongée dans le chaos et l'anarchie.

❤❤
Par les Premiers, cette fin m'a brisé le cœur.
C'était grandiose, intense de la première ligne à la dernière. L'autrice ne nous laisse jamais souffler, elle nous maintient sous l'eau, en apnée. J'ai terminée ce livre en pleure, tellement d'émotions, je n'arrive même pas à mettre des mots sur ce final, c'était dingue.

J'ai détestée Tiphs, du plus profond de mon âme mais pour autant, je ne voyais pas d'autre fin possible, c'était la suite logique des événements, il ne pouvait pas en être autrement, à mon grand regret. C'est rare quand un deuxième tome est meilleur que le premier mais ici c'est le cas, tout était parfait.

J'ai ai l'impression de me répéter mais j'ai pas les mots, il faut lire cette duologie pour comprendre. Alors lisez là, c'est un fabuleux conseil car vous ne le regretterai pas, promis.

Mais il reste un dernier livre dans ce magnifique univers, Elvira, et je sent que ça va être intense avec celui là aussi.. Advienne que pourra !

�/5

Dès le début de ma lecture, je m'attendais à quelque chose de très enfantin (c'est-à-dire pour des enfants d'environ une dizaine d'années). Mais en fait : PAS DU TOUT !
Outre certains passages gentillets et un peu "gamins", le reste n'en est pas moins sérieux voire parfois "dark".

J'ai eu un peu de mal à entrer dans cet univers double, dans ce labyrinthe un peu spécial. Mais une fois prise au jeu, on ne s'y perd pas, NOUS !
J'ai beaucoup aimé cette reprise du fameux mythe du labyrinthe et du minotaure, qui nous donne une idée un peu faussée de ce qu'est l'univers de Wreathenworld. Cet univers qui ressemble au nôtre mais qui en diffère également beaucoup : l'absence de couleurs (car elles valent une fortune), le système monétaire avec des cartes à jouer (pas facile de faire une bataille corse), une ambiance un peu anglaise/victorienne...

Si l'on enlève tout ce que ce roman a de léger et enfantin, nous avons un récit sombre. Nos deux protagonistes qui partent à la recherche du frère Edwid disparu rencontrent bien des embûches sur leur chemin : des monstres mythiques, des humains détestables, et même un homme censé être mort depuis longtemps...
Une lecture très sympathique, qui promet de belles choses pour la suite, et qui se clôturera en 3 tomes.

Néanmoins je pense pouvoir dire que ce roman est plus adapté à partir de 12-13 ans (pour les bons lecteurs qui n'ont pas peur).

Une obsession commune entre deux inconnus, entraînant un bouleversement dans leurs vies.
On a l'impression d'observer une danse macabre entre ces deux personnages. Tellement que j'ai fini par ne plus les distinguer l'un de l'autre durant ma lecture. Ce sont des personnages torturés représentant le vice incarné.
Je n'ai pas vraiment accroché au début mais petit à petit vous vous laissez hypnotiser et vous voulez connaître la suite. Ce livre est aussi envoûtant que dérangeant.
L'histoire de ces deux âmes est aussi magnifique que sanglante, plongeant le lecteur dans leur folie à l’état pur, une spirale de laquelle il est difficile de se détacher avant d'avoir mis fin à leur tourment.
Connaissant uniquement la plume d’Anna Wendell (que j’adore), j’ai pu découvrir celle de Elodie Faiderbe. A quatre mains, elles réussissent un très beau travail, j’espère qu’elles recommenceront.
Toutefois, il n’est pas à mettre dans les mains de tout le monde, c’est une dark romance contenant de la mutilation, des meurtres ainsi que de la violence. Son contenu nécessite une sensibilité particulière, réservé à un public averti.

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Découvrez les origines fascinantes du grand Lucifer, le redoutable Prince des Enfers, à travers une plongée captivante dans son histoire. Ce livre m'a totalement absorbée, je l’ai dévorée d'une traite. Vous voyez ce livre qui, même après l'avoir fermé, continue de vous hanter ? C’est ce que j’ai vécu.

L'auteure nous permet de voyager entre le passé et le présent, dévoilant l'ascension de Lucifer tout en explorant sa vie quotidienne à sa recherche d’un bras droit. Une intrigue complexe prend forme lorsque la rencontre avec une mystérieuse femme vient perturber l'équilibre qu'il croyait connaître.

J’ai adoré en apprendre plus sur Lucifer après son apparition dans la saga Anya. Tout comme j’ai été ravie d’avoir des nouvelles des autres personnages.

Willow, en particulier, se démarque en tant que personnage intrigant, détenant des secrets et ayant une histoire captivante. Son caractère fort la rend attachante très rapidement.

Je remercie sincèrement de m’avoir envoyé son livre en format papier dans le cadre d’un service presse. Comme d’habitude, elle m’a fait voyager dans son univers urban fantasy.

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J’ai adoré que ce deuxième tome commence au Japon, c’est pas souvent que je lis des romans se déroulant là bas.

Trop heureuse de retrouver Maeve mais surtout Silvan. Ce personnage qui au début nous rend perplexe finit par devenir mon personnage préféré après Maeve ! Il est mignon, attachant, protecteur.

Mais bien sûr, Maeve a beaucoup évolué aussi et cela se ressent au niveau de la lecture mais aussi dans la façon dont on vit l’histoire. Elle est plus forte et déterminée.

Dès le début, l'histoire est dynamique, avec nos personnages constamment en mouvement pour échapper au danger. J'étais dans les pas de Maeve et impatiente de connaître sa destinée.

Après cette fin de tome, j’ai qu’une hâte c’est recevoir le dernier tome ! A qui peut-on vraiment se fier et quel sera le dénouement ? J’espère que l'auteure va penser à nos petits cœurs et pas trop nous faire souffrir…

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J'ai reçu ce roman grâce à la Masse Critique de Babelio.
Ce roman me faisit déjà de l'oeil car je trouvais la couverture très belle et la quatrième de couverture très alléchante.
Pourtant, il a fallu que je m'accroche dans la lecture. J'ai trouvé difficile à lire les quarante premières pages, le style de l'auteure étant particulier. Trop de distance avec Dawsyn et ses sentiments et des dialogues où le verbe dire est omniprésent. Tout s'améliore lorsque l'histoire commence réellement et que Dawsyn est emmenée chez les Glaciens.
Le monde est intéressant mais le scénario de ce premier tome ressemble à beaucoup d'autres romans de fantasy. J'ai eu du mal à m'attacher aux personnages (trop fort, trop habile avec une hache) pourtant je lirai la suite de ce roman car j'ai envie de savoir où l'auteure va nous mener.

Quand un roman vous emporte sur des flots mêlant réalités et imaginaires…
Une maison perchée en bord de mer, malmenée par les vents et la mer, abrite des femmes que le hasard, les circonstances, réunissent en cercle, chaque soir. Run en est l’âme mais un jour elle disparaît, et un phoque apparaît. Nina est responsable de Clara que le destin a mis sur sa route, une jeune adolescente rebelle qui habite la villa. Nina pleure Paul mais ne veut pas croire à sa mort. Pourquoi rester dans cette maison ? Comment trouver les vérités qui cherchent à émerger ?
Si la trame du livre nous parle de mission humanitaire, de maison à sauver, de disparition inexpliquée, de femmes aux destins entremêlés, nous sommes aussi emportés dans des actions mystérieuses, des visions, des réflexions qui donnent un charme inédit à un récit qui fait la part belle à la mer changeante et à la sororité des personnages.
Entre les lignes se lisent des pensées acides envers le monde des humanitaires, de l’édition, des humains. Le fond est savant, l’écriture est poétique, pimentée d’un suspense lié à des post-it. Sans que cela soit perturbant, nous naviguons entre une vie de tous les jours ponctuée d’interrogations existentielles et l’accompagnement de disparus qui accompagnent en leçons de sagesse. Nina, personnage principal, nous fait vibrer au son de ses monologues intérieurs et nous incite à apprendre de nous-même.
Nous vivons une absence qui n’est que présence, comprenne qui pourra. Run avait ses secrets, Clara se cherche, et les femmes autour d’elle, filent, tissent, cousent, créent, formant un cocon protecteur. Il y a de l’émotion et de la détermination.
L’écriture est pudique, aérienne ; un fil d’Ariane nous guide. Entre imaginaire, paranormal et rudesse de la vie, il y a une envie de découvrir et de croire jusqu’à la fin. Fin qui m’a laissée, un peu en attente. Mais peut-être est-ce pour retrouver Nina, un jour…
Je remercie Myette Ronday pour sa confiance renouvelée et je ne peux que vous conseiller de découvrir « Un hiver fertile » surtout si vous aimez les atmosphères originales.

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Angoisse à bord d'un train bloqué en pleine tempête de neige.

A la veille de Noël, alors que de nombreux passagers sont en route pour fêter Noël en famille, le TGV175 est bloqué dans une tempête de neige. C'est dans cette atmosphère angoissante que nous rencontrons 6 ados. Et bientôt, des faits paranormaux s'ajoutent à l'équation.. Un voyage rempli d'épouvantes, qui fera basculer leur vie.

Avec ce livre, je sors de ma zone de prédilection. Cette science-fiction est coupée en 3 parties. Dans la première partie on immerge dans un décor très bien décrit et on rencontre un panel de personnages assez éclectique. Puis le rythme s'accélère, les faits s’enchaînent dont certains assez cocasses mais j'aime plutôt bien. En revanche la dernière partie ne m'a pas apporté la fin fermée que j'attendais et le vocabulaire scientifique m'a un peu fait décrocher. J'en garde tout de même un souvenir sympa, c'était pas transcendant mais pas un flop non plus.

Livre choisi par Maéva pour notre LC.

Livre lu en 4.4 heures.

J’ai acheté ce livre sans même lire le résumé parce que Christina Lauren, c’est toujours une valeur sûre. Cela a été une histoire très différente de d’habitude mais alors très prenante. 


Lily est organisatrice de chasse aux trésors. Mais sa vie ne la satisfait pas tellement et son seul rêve est de retrouver le ranch de son enfance. Jusqu’au jour où tout va basculer et une véritable chasse aux trésors se lance. Accompagnée de son ex petit ami et de ses amis, elle va partir à l’aventure sur les traces de son père.


Les choses ne vont pas se passer comme prévus et de nombreux obstacles vont venir freiner leur quête, son coeur lui-même va lui jouer des tours. 


C’est un véritable roman d’aventure sur un fond de romance. Je me suis attachée à beaucoup de personnes et j’en ai détesté beaucoup d’autres. 


Alors lancez vous dans cette aventure riche en rebondissements et en action, mettez vos bottes et en selle. 

Quand un roman vous emporte dans le Périgord du XIVème siècle…
La France et l’Angleterre sont en guerre et l’Aquitaine est divisée. La Peste Noire ravage le pays. Ysolda, une jeune fille fluette et terrorisée par l’environnement malsain qui est le sien, dans la taverne de son père, s’enfuit et est sauvée par un maître libraire. Elle va s’épanouir au contact des encres et des couleurs mais la voracité de Béranger, enfant gâté et pourri, noircit l’avenir qu’elle se fabrique. Un autre homme la sauvera-t-il ?
J’ai plus l’habitude de me promener dans les cours des rois de France ou d’Europe que dans les cours des tavernes et cette différence de cadre m’a séduite car elle m’a permis d’approcher les richesses de la forêt et la vie quotidienne des malheureux de l’époque. Les écorcheurs et les ripailleurs visitant la taverne sont tellement bien croqués qu’ils me sont apparus encore plus répugnants.
Ma lecture s’est éclaircie quand j’ai pu tourner des pages qui me présentaient de façon savante et détaillée quelques secrets des enlumineurs de l’époque. Elle a aussi trouvé toute sa complicité dans la volonté farouche d’une très jeune fille luttant pas à pas pour trouver son chemin de lumière malgré des peurs liées à son ignorance et des terreurs liées à son statut de femme.
L’écriture de la romancière est fluide, dynamique, riche de connaissances d’un monde merveilleux, celui des enluminures. Sous la forme de la romance affichée, le fond recèle des trésors de beaux secrets de fabrication : colle à base d’arêtes de poissons, couleurs préparées avec chélidoine, noix de galles de chênes, baies de sureau, etc.
Ce livre a eu du succès puisque, initialement publié en grand format, il vient de rejoindre les Editions de l’Ouest en format poche. Je sais que deux autres vont suivre.
Je remercie Jacquie Béal pour l’envoi du roman gagné lors du concours organisé par Joelle Marchal pour l’anniversaire du groupe : Lecteurs-Auteurs : la passion des mots.

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Ce livre en huit clos se passe comme son nom l'indique dans une prison. On y suit le quotidien de Kiva, jeune guérisseuse mais aussi prisonnière de cette forteresse depuis 10 ans. Une ambiance vraiment sympa, le fait qu'on reste dans la prison ne m'a pas dérangée du tout et l'histoire tout comme l'écriture est très bien faite!

Concernant les protagonistes je les trouve tous très bien écrits et intéressant. On s'attache vite à eux pour des raisons différentes et je reconnais que le personnage principale, Kiva, est vraiment mature et intéressante dans sa façon d'être, d'agir et d'évoluer.
Elle est aussi très douée dans ce qu'elle fait avec une force incroyable! Car quand même, elle tient depuis 10 ans dans THE prison entourée de danger, de risques et de criminels. On ne peut être que forte face à ça

Pour ce qui est du reste, il y a une trame principale qui est très bien faite, qui nous laisse dans le suspense à chaque fois de savoir ce qu'il va se passer et comment. Il y a aussi une trame secondaire tout aussi intéressante et super bien faite également! Le tout dans un univers anxiogène avec la peur qu'il arrive quelque chose à Kiva tout comme il peut arriver quelque choses aux femmes dans une prisons mixtes

En bref: la claque ! Ce livre je l'ai dévoré il est passionnant du début à la fin et punaise je n'ai vu venir aucune chose ! Genre vraiment. Je ne sais pas si je suis un boulet ou quoi mais autant dire que ça m'a fait super plaisir de juste découvrir et d'être happée par tout ça ! Un coup de cœur. Vraiment. Je recommande à 100%

Quel magnifique recueil de haïkus ! Je ne me lasse pas de relire chacune des pensées poétiques qui le composent, elles sont tellement apaisantes… A la faveur d'une écriture sensible et élégante, EMEF nous fait un présent immense en nous offrant, humblement, une très belle moisson poétique, véritable ode à la nature, à la vie et à l'amour. Les mots, les phrases, les strophes coulent comme l'eau d'une source naissante, sous la plume douce et limpide de la talentueuse poétesse.

Tel un artiste peintre travaillant sur sa toile, EMEF laisse vagabonder ses réflexions sur le papier, celles qui lui sont suggérées par l'observation de la nature vivante et vibrante autour d'elle. Elle fige ainsi pour l'éternité un méli-mélo d'aquarelles colorées, parsemées de quelques états d'âme du moment. Des instants de pur bonheur à lire et relire sans modération.

Quand un polar nous immerge dans la vie paysanne d’aujourd’hui…
J’ai rarement à le faire mais je dois m’excuser auprès de l’auteur pour le retard mis à lui faire ce retour de lecture. Six mois, je sais que c’est beaucoup plus pour certains chroniqueurs mais pour moi, c’est rarissime. L’intérêt du livre n’est pas en cause et je ne me perdrai pas en explications. Ce roman est à l’image du visuel de couverture, brûlant.
Lou a vécu une aventure dramatique durant sa jeunesse mais une rencontre avec Raphaël va lui faire abandonner Paris pour vivre auprès de celui qu’elle aime, du côté de Rouen. Ancien prof de philo, ce dernier tient absolument à travailler sur une exploitation agricole. Mais son passé va le suivre et la vie à la ferme va s’avérer chaotique. Comment Léo, le jeune fils de Raphaël va-t-il trouver sa place ? Quels risques vont assombrir son avenir ?
Organisé en deux parties, après le récit d’un événement majeur, ce livre est rédigé d’une plume solide et persuasive. Les actions se bousculent et le suspense grandit au fur et à mesure de la révélation du passé et des meurtres qui inquiètent la famille et les habitants. C’est bien au cœur d’un village et de la vie entre voisins que l’intrigue se noue. Mais la ville et ses banlieues dont les personnages principaux sont arrivés viendront se rappeler à eux et les faire douter du bien-fondé de leurs choix.
Au milieu, il y a Léo, un jeune enfant qui adore son père, la ferme et les animaux. Il est intelligent et cherche à tout savoir, quitte à garder des secrets qui ne lui appartiennent pas.
Guy Boisberranger a choisi de nous faire découvrir une exploitation agricole de l’intérieur mais de travailler aussi des thèmes comme la résilience, la lutte pour la survie, la maternité, la reconstruction. Il le fait avec sobriété, par l’exemple, et n’oublie pas de tenir avec fermeté les enquêtes policières qui se croisent et menacent de s’enliser. Tout ceci pour nous révéler une fin difficile à imaginer.
L’écriture est agréable, sans termes techniques malgré l’environnement choisi. Les nombreux dialogues aèrent l’ensemble, le rendent vivant et dynamique. Nous sommes pris dans l’action.
Je vous engage à découvrir « Les secrets de Léo », un polar peu ordinaire et je remercie l’auteur pour sa patience et sa confiance.

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Cinder, notre cendrillon des temps futur est une cyborg, rien que ça. Elle est également mécanicienne mais il est évident que tout ce qu’elle gagne va à son affreuse tutrice et ses deux filles. - l’une adorable alors que l’autre vénéneuse - Cinder est loin de la cendrillon classique, soumise, faible. Elle a une force de caractère et la détermination de partir et vivre sa vie à elle. Elle est loyale, aimante et vraiment forte au vu de ce qu’elle vit. Attachante j’ai adoré suivre son histoire. Le prince de l’histoire est aussi intéressant et intelligent.

🌷L’autre point positif de l’histoire et la maladie omniprésente dans l’histoire ainsi que la menace de guerre qui plane. On sent que la base “cendrillon” n’est qu’un tremplin pour une histoire plus dense plus poignante et potentiellement époustouflante. J’ai hâte de lire la suite !

📖 En bref : Un livre qui date mais que j’ai adoré découvrir. Un bon livre jeune adulte intéressante avec une intrigue qui ne se perd pas dans une romance. Ça fait plaisir ! Écriture fluide et vraiment prenante. J’ai dévoré le livre. Du coup je recommande. 🥰

La fin de la seconde guerre mondiale engendre un sévère antagonismes entre l'Ouest et l'Est.
C'est le début de la guerre froide, mais c'est aussi la chasse aux cerveaux de l'ancienne Allemagne nazie.
Quel bloc va réussir à s'accaparer ces hommes qui ont fait faire un bon à la technologie?
Michel GIARD nous offre ici un roman d'espionnage tout à fait sympathique et vraiment bien écrit, une occasion pour se replonger dans une période de prospérité économique sur fond de Plan Marshall. Un développement à marche forcée appelé les Trente Glorieuses.
Un polar seinomarin captivant, utilisant tous les codes du genre, avec en plus, une ville de Rouen en pleine reconstruction, un port en pleine activité où les bateaux emplis de fret sont déchargés par des dockers quelquefois peut scrupuleux et un village de Canteleu où le projet de construction de la cité verte promet des jours heureux à ses futurs locataires.
Un excellent moment de lecture.