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Les Pèlerins de Cythère

Rodolphe Chapuis est un musicien de 40 ans (auteur, compositeur, interprète, arrangeur...) depuis plus de deux décennies. Il est également passionné de littérature et très engagé contre toute forme de maltraitance infantile : son premier roman Les Pèlerins De Cythère est le fruit de vingt années de recherches et de réflexions sur la pédocriminalité contemporaine.

Il dédie son livre aux victimes d’abus rituels et aux rescapés.

Quand Tobias Cérigo, petit prof de chant désespéré , armé d'un pied-de-biche, s'introduit ivre dans la demeure du fonctionnaire zélé Luc d'Asmodée, il est loin d'imaginer que ce levier de fortune va dessiller les paupières de millions d'apathiques et faire vaciller la terre entière. Feuilleton imprévisible et palpitant, récit d'aventures picaresques, parodie biblique truculente, thriller initiatique, roman d'amours éthérés et d'amitiés profondes (à moins que ça ne soit le contraire) mais aussi, et surtout, le tableau baroque d'une société en perdition, subjuguée par des forces maléfiques, qui n'attend qu'un battement d'aile (ange ou papillon) pour déclencher une tempête rédemptrice.

Cette fiction, librement inspirée de faits réels et de témoignages, est déconseillée aux moins de 12 ans.

Un disque dur trouvé chez l’un des membres de la secte montre des sacrifices, mise à mort d’enfants. Contient des vidéos à caractère pornographique où une part importante des « personnalités » présentes dans ces dossiers s’adonnaient à la pratique abjecte de la bestialité et de la pédophilie (allant jusqu’aux viols abominables de nouveaux nés) en passant par des scènes de tortures, de meurtres rituels ou d’assassinats politiques. On y trouve des politiques du monde entier, les familles royales, la haute finance, les grands industriels, les hauts fonctionnaires, les ONG, les institutions internationales, les militaires, la justice, la police, le showbiz, les médias, les religieux…

Prenant, haletant, référencé, une sacré lecture dont on a du mal à se défaire.

L’auteur nous embarque dans un monde que l’on ne peut imaginer, ou plutôt que l’on ne veut pas imaginer.

L’environnement s’affiche comme clairement imaginaire mais la référence aux sectes est inévitable, avec tout l’obscurantisme environnant. Notre imaginaire est mis à l’épreuve…
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Wild Crows, tome 2 : Révélation

Bonjour à tous, on reste en apnée à la fin du tome 1 et le tome 2 n’est pas mieux. Je vous conseille, un bon fauteuil, un bon café et enfin quelques chocolats pour les moments difficiles. (Enfermé toute personne qui peut vous distraire, un ours grognon par exemple) Dommage que j’ai ressenti quelque longueur. On s’attache encore plus aux personnages. La fin du tome 2 est moins intense que le tome 1. Ouf, mon petit cœur n’aurait pas supporté. Mais oui, je vais lire le tome 3. Bonne lecture et bisous de la Meuse.
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Pandémie végétale

Il était une fois un ours miniature, Ursus, tombé des nuages et qui élut domicile chez Stresa et Maxime. Cette apparition coïncida avec la pousse inexplicable et incontrôlable de nombreux végétaux qui envahirent la ville de Paris.



Dans cette fable naturaliste, les plantes entendent bien reprendre leurs droits et les scientifiques confrontés à ce phénomène en perdent leur latin.



Ce roman pose des mots sur de nombreuses préoccupations actuelles en y insufflant une bonne dose de poésie et quelques traits d’humour, notamment envers les politiques qu’il met en scène.



La place de la végétation au cœur des villes est au centre du récit et Renaud Lachamp s’amuse à nous montrer ce que serait une nature qui prendrait le pouvoir contre l’urbanisme. Mais s’il glisse beaucoup d’ironie et s’il a recourt au conte, le message qu’il délivre est évidemment très sérieux et la critique bien présente.



On parle en effet beaucoup depuis quelques années de la végétalisation des villes, comme si on venait de s’apercevoir que les plantes avaient plus d’intérêt que le béton et le bitume pour répondre aux enjeux écologiques de plus en plus prégnants (augmentation des températures, artificialisation des sols…).



Renaud Lachamp nous démontre ici, de jolie manière, que la nature n’a pas dit son dernier mot.
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