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Buchet-Chastel [corriger]

Buchet-Chastel est une maison d`édition française créée en 1936. Elle publie des ouvrages de diiferentes sortes comme de la littérature française ou étrangère, des documents et essais, des biographies, ou encore des livres portant sur la musique ou l`écologie. La maison d`édition fait partie du groupe Libella.

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Comme des bêtes

Une petite fille est retrouvée nue dans la montagne près de la maison d'une mère et de son fils.

A chaque chapitre, le narrateur change et on en apprend un peu plus sur ses trois personnages : leur histoire, leur mode de vie...

Un très beau roman court où la cruauté des hommes est omniprésente même au fin fond des Pyrénées.
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Les Sources



Un texte court, intense et magnifiquement écrit.

Dans une ferme près d’Aurillac, dans les années 1960, une jeune femme subit les coups de son mari. Exploitants d’une ferme, elle s’occupe de son intérieur et de leurs trois enfants.

Tout est vu de son point de vue, à travers ses pensées, ses souvenirs.

Se servant avec brio d’une très belle langue, l’autrice décrit la souffrance muette, la vie quotidienne, les non-dits des familles, l’accès à l’indépendance des femmes qui est long et plein d’embûches.

C’est terriblement émouvant alors même que le style est froid, ciselé, ne révélant que l’essentiel, laissant suggérer l’énormité de ce qui se passe à huis clos dans cette ferme.

L’universalité et l’intemporalité du propos sont marquées par l’absence de prénoms du couple. Peu importe l’époque, les femmes souffrent en silence, encore aujourd’hui, partout dans le monde.

Un magnifique roman qui m’a beaucoup touchée.

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L'Ecole des bonnes mères

L’école des bonnes mères est l’histoire de Frida, mère divorcée et célibataire de Harriet. Elle a laissé seule sa fille de dix-huit mois pour aller prendre un café et puis récupérer un dossier au bureau. Les voisins ayant entendu des pleurs ont appelé la police, qui est venu récupérer la petite fille. Et c’est comme ça que Frida reçoit un appel des forces de l’ordre et que toute sa vie va basculer dans une spirale infernale qu’elle aura du mal à redresser !

Elle perd la garde pendant un an. Ce temps elle le passera dans un centre pour réapprendre à être une bonne mère !



Moi qui adore les dystopies, j’avais vraiment hâte de découvrir cette histoire.

Mais dès les premières pages, malgré une écriture fluide, j’ai eu du mal avec le sujet.

C’est compliqué de croire à une histoire, quand depuis le début on adhère pas du tout à la situation. Laisser sa fille seule de dix-huit mois… même en fiction je ne peux pas le concevoir ! Bon, je me rends bien compte que c’est le but de la dystopie, décupler des situations pour les rendre plus déroutant et pointer les anomalies du sujet, je pense que l’auteur a réussi à nous montrer qu’il y avait des failles dans la société américaine. Et que même entre mères, certaines ne sont pas tendres et ça aussi l’auteur l’a bien souligné !

Mais voilà en plus de cela, j’ai aussi trouvé que l’histoire tirait en longueur, surtout le passage ou Frida rentre à l’école des bonnes mères. J’avais parfois du mal à rester concentré sur ma lecture.



En conclusion, je n’ai malheureusement pas adhéré ni été conquise par cette lecture, dommage !

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