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De noyelles [corriger]


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Vertige

Bon en vrai je l'ai lu en une après-midi donc c'est qu'il m'a tenu en haleine, en vrai j'ai bien aimé

Mais la fin est un peu décevante, un peu trop facile de finir comme ça et il y avait certaines parties qui étaient tout de même très prévisibles

Mais le contexte était sympa, un huis clos comme ça, dans le cauchemar, du froid, de la grotte,

la fin fait un peu penser à shutter island,

Et en vrai c'est vraiment très ressemblant avec puzzle du même auteur, avec ce huis clos
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Le syndrome [E]

Bonjour à tous,



Le syndrome E de Franck Thilliez un super polar, dès le début on se fait embarquer dans l'histoire.

Cinq cadavres découverts atrocement mutilés vont rappeler le commissaire Sharko à se remettre en selle, j'adore ce personnage que je trouve brut, mais aussi tendre et tres intelligent, il va faire la connaissance de lieutenant Lucie Henebelle pour la pire des enquêtes criminelle.

La mort est à leurs trousses comment vont-ils s'en sortir pour pouvoir mettre à bien cette enquête.

Le suspense est bien présent et les rebondissements se multiplient tout au long du roman.

Pas le temps de souffler, des meurtriers sans scrupule sont à leurs trousses pour ne pas découvrir les origines de leur découverte.

Plusieurs personnes seront tuées après leur passage et mettent en lumière le syndrome E que vont-ils découvrir de si troublant et meurtrier pour qu'on les empêche d'aller plus loin.

Un thriller vraiment tres bien mené jusqu'au bout, une plume fluide, accrocheuse et acéré.

J'ai vraiment eu beaucoup de plaisir à lire ce livre et je continue avec le prochain GATACA.



Un moment vraiment plaisant où j'ai dévoré ce livre.



QUATRIÈME DE COUVERTURE :



Un film mystérieux et malsain qui rend aveugle… Voilà de quoi gâcher les vacances de Lucie Henebelle, lieutenant de police à Lille.

Cinq cadavres retrouvés atrocement mutilés… Il n'en fallait pas plus à la Criminelle pour rappeler le commissaire Franck Sharko, en congé forcé.

Deux pistes pour une seule et même affaire qui va réunir Henebelle et Sharko.

Des bidonvilles du Caire aux orphelinats du Canada, les deux nouveaux coéquipiers vont mettre le doigt sur un mal inconnu, d'une réalité effrayante et qui révèle que nous pourrions tous commettre le pire.

Ceux qui ne connaissent pas le syndrome [E], ne savent pas de quoi ils sont capables…
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Des vents contraires

A Paul,



Quelques heures à vous côtoyer, à tenir votre histoire au creux de ma main (à cause du format du livre?), à me sentir proche de vous, si proche que j’aurais presque fait la folie de partir en voiture vous chercher sur la plage que vous décrivez si bien …



Je vous aurais pris par la main, je vous aurais dit ce que vous savez déjà et que vous avez si bien retranscrit … A savoir que jamais, on ne s’habitue à l’absence de la personne aimée …

On apprivoise la souffrance, on continue à avancer, appuyé sur ses enfants, ses amis, parfois sa famille … la béance se referme, petit à petit, douloureusement, se rouvrant parfois, mais il reste toujours une trace, une cicatrice …

« La nuit nous protégeait et à ce moment précis j’avoue avoir pensé que les choses allaient redevenir possibles, ici j’allais pouvoir recoller les morceaux et reprendre pied, nous arracher les enfants et moi, à cette douleur poisseuse qui nous clouait au sol depuis des mois … »

Un jour, on se reprend à sourire, Paul, oui, je vous l’assure … On se demande ce qui arrive, les enfants explosent de rire eux aussi … On s’en veut, l’absent ( e ) n’est plus là et malgré tout, on retrouve un peu de couleurs … En a-t-on le droit ?



Vous lire, vous un homme, un de ces hommes dont on sait qu’ils parlent peu, s’expriment moins que les femmes,

« Alex et moi on était faits du même bois, toujours à fuir les gouffres intimes, les confessions sentimentales, toujours à lire entre les lignes, à nous livrer à demi-mot, entre deux silences, toujours à écarter les questions, à les enterrer, les ensevelir, comme si se parler était une chose dangereuse, comme si parler du cœur de nos vies pouvait nous blesser et nous rendre plus friables encore. »

m’a aidée à comprendre ceux, qui vous ressemblent et que je connais (bien ou mal, connaît-on vraiment quelqu'un?), parce qu’ils sont seuls pour élever leurs enfants …



Ceux qui, comme vous le dites avec tant de poésie, de charme, de luminosité, avec tant d’émotions contenues, tant de pudeur, tant de tendresse dans les mots, doivent être « présence » pour leurs enfants, être là, faire face aux questions, aux cauchemars, aux nuits troubles, troublées, aux regards, aux enseignants qui ne comprennent pas tout et qui sont maladroits, aux curieux, aux voisins, à tout ........... seul …



« Parfois leur sommeil m’était une déchirure, un long hiver se posait alors sur la nuit, une gangue épaisse de silence et de solitude. »



J’aurais voulu trouver des mots des phrases des métaphores des expressions qui parlent au cœur qui bouleversent comme vous, comme ça sans virgule mais avec un rythme qui donne vie à ce qu’on lit …



Mais je suis maladroite, Paul, sans doute parce que je suis tant émue, bouleversée, enchantée de vous avoir rencontré, de vous avoir lu qu’il me semble que vous êtes là, palpable, vivant …

Je sais que vous m’habiterez longtemps, je sais que je vous relirai et finalement, ce format est adapté à mon ressenti, je pourrais vous glisser dans une poche, tout près de mon cœur ….
Lien : https://wcassiopee.blogspot...
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