A la demande d`Henri Flammarion en 1958, Frédéric Ditis créé la maison d`édition française J`ai lu, qui publie principalement en format poche. Sa ligne éditoriale est variée, allant de la littérature générale à la science-fiction, en passant par le roman policier et le roman d`amour. Les éditions J`ai lu publient chaque année plus de 400 nouveautés au format poche.
Je découvre cette autrice qui nous plonge dans l'histoire de 2 femmes dans ce roman a d'une double temporalité ;
Le passage de l'une a l'autre , loin de nous perdre nous emporte dans un tourbillon de tabou et de secrets qui plus d'un siècle plus tard continu de raisonner.
On se révolte avec elles, on aimes avec elle, on est partager entre l'envie de vengeance de l'une et l'envie de vivre de la seconde.
2 livres actuellement pour cette autrice, en espérant que d'autres suivront pour ravir nos lectures
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Connaissez-vous la série de livres graphiques "Un autre regard"? Le(s)quel(s) avez-vous lu(s)?
Celui ci est le 4ème de la série et il ne sera pas mon préféré, peut être parce qu'il "résonne " moins pour moi. J'y ai tout de même appris le concept de "sexisme bienveillant", qui fait vraiment réfléchir sur bon nombre de situations.
J'en profite pour saluer le travail accompli par l'autrice sur l'ensemble de cette série.
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J'ai acquis ce roman dès sa sortie. Près d'un an après sa parution, cette histoire était toujours en attente dans ma PAL.
Attirance... crainte... j'ai fini par dépoussiérer et entrer dans les ombres d'Adelaide Hills.
L'expérience de lecture est décevante : je suis autant déçue par mon manque de persévérance que par mon abandon. Je n'ai lu que le quart du récit pour me faire une idée de l'ensemble... tout juste le début et l'introduction de cette double narration.
Si le thème me convient - j'adore les récits croisés présent / passé ; les secrets de famille, les non-dits qui ressurgissent - l'histoire ne m'a pas happée. J'ai tenté plusieurs stratégies : la relecture, les retours en arrière, différentes positions pour ne pas succomber au sommeil lorsque la journée est derrière moi. Plusieurs jours ont eu raison de mon obstination. J'ai reposé le livre. Vaincue.
L'écriture est pourtant agréable. Le voyage de Londres à l'Australie est un dépaysement garanti. La maison et ses souvenirs sont une accroche imparable. Mais...
Mais ce qui m'a gênée pour persévérer, ce sont les longueurs dans les événements qui ne surgissent pas assez vite (à mon goût) et par l'impossibilité d'accrocher au personnage de Jess. Le personnage contemporain se perd dans des souvenirs d'enfance. Il me semble qu'il y a eu trop de passé et pas assez d'actions...
Il existe aussi certainement un autre facteur qui est indépendant de l'histoire, de sa forme et de son fond : une baisse de motivation... ou une baisse de ma capacité d'attention. Donc, j'ai pensé qu'il valait mieux tourner la page sur ce roman et me concentrer sur un autre qui pourrait me libérer de cette sensation de panne de lecture.
Ce roman est pourtant entouré d'éloges, de chroniques vraiment positives et touchées par le déroulement. J'en arrive à penser que je n'ai pas découvert Les ombres d'Adelaide Hills au bon moment. A cet instant, je n'ai pas confiance en mon jugement... et en même temps, je n'abandonne JAMAIS un roman : je survole certains passages et je me confronte au livre entier.
Par respect pour l'auteur.
Pour avoir une idée complète.
Bref, il est maintenant posé à l'écart.
Il est toujours là.
Il s'ouvrira à moi lorsque je serai mieux disposée... vraiment.
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