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J`ai lu [corriger]

A la demande d`Henri Flammarion en 1958, Frédéric Ditis créé la maison d`édition française J`ai lu, qui publie principalement en format poche. Sa ligne éditoriale est variée, allant de la littérature générale à la science-fiction, en passant par le roman policier et le roman d`amour. Les éditions J`ai lu publient chaque année plus de 400 nouveautés au format poche.

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La Bibliothèque des rêves secrets

Cinq personnes pour qui leur vie professionnelle est un caillou dans leurs chaussures, sur cinq aspects complètement différents. De cinq façons, la lecture va les aider à y voir plus clair et pourquoi pas être acteur d’un changement. La lecture comme levier pour prendre conscience de ce qui se trame dans nos vies, c’est d’un poétique.



J’ai réussi à accrocher aux cinq personnages même si certains plus que d’autres notamment les deux premiers. J’ai apprécié de me dire qu’il faut parfois peu de chose pour se décider à changer, à prendre de l’élan pour changer les choses.



Peu de détails et de description et pourtant on imagine parfaitement chaque situation sans difficultés, la magie de la littérature japonaise.



Autre magie de ce type de lecture, la plume est d’une douceur et d’une simplicité folle. On va droit au but et on ne fait pas de détour. Chaque nouvelle a droit à soixante-dix pages environ, si peu me diras-tu ! Et pourtant suffisamment pour en connaître assez sur le personnage, s’identifier, s’attacher, s’émouvoir.



Et malgré tout ces excellents points je suis passé à côté de ce livre. Tout simplement car ce n’était pas le bon moment pour moi. Je traverse une période difficile professionnellement et je pense que le sujet principal était trop sensible. J’ai peut-être besoin qu’une bibliothécaire me tende le livre dont j’ai besoin et pas celui dont j’ai envie pour pouvoir à mon tour ressentir la force du changement ou de l’évolution.
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Kilomètre zéro

L'idée de base du scénario est sympa et donne envie de s'y plonger, ce qu'on fait facilement. L'idée de tout plaquer, d'aller chercher l'impossible au fin fonds du Tibet, c'est parfait pour appâter et rentrer dans le livre. Je ne suis pas un grand lecteur et ça me convient bien. Mais à la moitié du livre, j'ai trouvé très insupportable le côté moralisateur de ce roman : l'occident, c'est mal. Nos modes de vie sont sans cesse remis en question, ce qui est en soit est une bonne chose, mais pas sous la forme de la morale. La lecture en est devenue extrêmement pénible, à tel point que j'ai abandonné au trois quarts du livre. Dommage.
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Le Stradivarius de Goebbels

Ce livre est inspiré de la vie de la japonaise Nejiko Suwa, née le 23 janvier 1920 et considérée comme une enfant-prodige du violon.

En 1943, elle reçoit de la part de Joseph Goebbels, un proche d’Adolph Hitler, un stradivarius.

Ce geste est controversé, il est dans le but d’un rapprochement entre l’Allemagne et le Japon, elle doit jouer pour faire la propagande nazie à travers l’Europe



Après-guerre, le narrateur Félix Sitterlin est chargé par la France de retrouver ce violon.



Je ne connaissais pas cette partie de l’histoire où les nazis spoliaient les instruments de musique des mains des juifs…

Il m’a manqué quelques pages à ce livre, l’histoire d’un point de vue politique n’était selon moi pas assez approfondi

En outre,

Que c’était beau, cet amour pour la musique,

Cette difficulté à apprivoiser l’objet tant convoité, Nejiko n’y arrivait pas, elle accrochait les notes et puis elle a réussi à ne faire qu’un avec l’instrument, le violon était le prolongement de son bras.

Et là, la magie opère, la symbiose entre la talentueuse violoniste et le stradivarius devient réelles, cette virtuosité effleure nos oreilles…



On dit que la musique adoucit les mœurs,

A-t-elle eu cet effet soporifique durant la guerre pour atténuer les horreurs de l’extérieur ?



J’ai beaucoup apprécié les références aux artistes de jazz que l’auteur cite. Je suis une fan de ce style de musique, ces effets « bœuf », sont toujours exceptionnels et le caveau de la Huchette à Paris, j’y ai passé des heures de pur bonheur



Un livre où l’écriture sait s’adapter au récit. Plus acéré lorsqu’on avance dans l’histoire et plus douce, subtile et avec de la finesse lorsque Nejiko, fait vibrer les cordes



J’ai beaucoup aimé
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