Delcourt est une maison d`édition française de bande dessinée, de comics et de mangas fondée en 1986,. D`abord consacrée à la publication de traductions, d`ouvrages épuisés et d`albums collectifs, elle se diversifie ensuite avec des revues Pavillon Rouge, Aspen, Top Comics et Les Chroniques de Spawn.
Les hauts de Hurle-Vent.
Emily BRONTË
D’abord il y a le paysage de Hurle-Vent et ses environs : un personnage à lui tout seul.
C’est brumeux, c’est venteux, c’est pluvieux mais parfois c’est radieux et ça sent la bruyère et les fougères.
Ensuite il y a la famille Earnshaw dont le père « rapporte » un jour un petit bohémien de retour de Londres, Heathcliff.
Cet enfant sera moqué et détesté par les enfants mais petit à petit Catherine (la fille) et Heathcliff seront très proches et même amoureux.
Un amour sans avenir car Hindley (le frère de Catherine) va tout faire pour empêcher cette idylle et rabaisser, mépriser le petit garçon.
Mais dans la vie la roue tourne et lorsque le père meurt c’est toute la dynamique familiale qui est bouleversée.
D’autant que Heathcliff s’est juré de faire payer toute la famille pour les affronts qu’il a subit, le dernier étant l’abandon de Catherine qui s’est marié avec Edgar Linton, à qui il fera payer cette union et le fruit de cette union en la personne de Cathy.
Dès lors sa vie ne sera plus consacrée qu’à sa haine, sa vengeance et sa machiavélique manipulation .
Le tout raconté par la servante/dame de compagnie des Earnshaw puis de Heathcliff : Helen/Nelly Dean.
Une histoire assez difficile à chroniquer tant les relations et les filiations sont entremêlées, enchevêtrées nécessitant au début un petit arbre généalogique personnel.
Le style est typique du lieu (Angleterre) et de l’époque (18 ème) ce que je trouve assez agréable.
L vocabulaire est riche.
Heathcliff est le diable personnifié tant sa colère, sa haine et sa méchanceté sont prégnants.
C’est une histoire sombre, c’est l’histoire d’un amour qui rend fou de jalousie.
Qui rend fou tout court.
L’atmosphère est cependant bien particulière et je suis ravie d’avoir comblé cette lacune de lecture tant ce roman est un classique.
Commenter  J’apprécie         10
Magda, une adolescente de 13 ans, voit son monde basculer quand on annonce dans les médias que la fin du monde aura lieu dans un an jour pour jour. Sauf qu’en fait non. On revient alors au jour de l’annonce pour suivre son histoire, ses nouvelles expériences, ses envies, ses erreurs et ses découvertes, au fil des saisons la séparant de la fin du monde, qui finalement n’aura pas lieu.
Lecture intéressante. Le sujet, qui avait capté mon attention au moment de choisir ma prochaine lecture, a su tout aussi bien capter mon attention pendant ma lecture. J’ai apprécié la réflexion que la BD permet d’avoir sur l’impact des décisions et déclarations d’adultes sur les jeunes, et la façon dont cela peut, sans que les adultes sans rendent compte, bouleverser des vies.
Si je ne suis pas tombée amoureuse du style de dessin, j’ai apprécié le sujet et les choix d’organisation du développement du scénario. En revanche, si les réactions de certains personnages étaient bouleversantes de réalisme, d’autres m’ont parus incompréhensibles - même si y’a sûrement des gens de la vraie vie qui aurait ce genre d’attitude. Je pense par exemple à la sœur aînée de l’héroïne qui lui dit « C’est la fin du monde. Grandis un peu ! » pour ensuite lui dire quelques semaines/mois plus tard « Mais tu ne peux pas faire ça enfin, tu n’es qu’une enfant ! ». Faut te décider Jocelyne !
Et quelle fin !
Commenter  J’apprécie         00
Le tome 11 de Hikaru no Go édition deluxe continue à captiver les lecteurs avec son magnifique contenu. L'intrigue prend un tournant excitant alors que Hikaru se prépare pour son premier match professionnel contre le Meijin Toya.
Le début du tournoi Oteai promet des affrontements passionnants, notamment celui entre Hikaru et Akira Toya, bien que des événements imprévus viennent perturber les plans.
La fin du tome laisse les lecteurs impatients de découvrir la suite et l'issue de cette partie entre sai et le Meijin.
Commenter  J’apprécie         00