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L'imprimerie
Liste créée par palamede le 14/08/2014
18 livres.



1. Aldo Manuzio, le Michel-Ange du livre : L'art de l'imprimerie à Venise
Verena von der Heyden-Rynsch
4.12★ (16)

Aldo Manuzio a révolutionné l'art de l'imprimerie à Venise, et démocratisé sa lecture par des livres... de poche. Verena von der Heyden-Rynsch a réuni tout ce qu'on sait de celui qui fut l'ami d'Erasme et de Dürer.
3. Lexique des règles typographiques en usage à l'Imprimerie Nationale
Imprimerie nationale
4.48★ (114)

Vous qui devez rédiger ou corriger, saisir ou " préparer " un texte, vous vous posez souvent ces questions... et bien d'autres aussi délicates. Grâce à une formule d'utilisation simple, par entrées alphabétiques avec un index à plusieurs niveaux, ce lexique vous aidera à y répondre.
4. Les Caractères de l'Imprimerie nationale
Imprimerie nationale
3.00★ (6)

Les collections de caractères exclusifs de l'Imprimerie nationale constituent un ensemble unique au monde par leur richesse, leur antiquité et leur beauté. Le livre est une invitation au voyage. Dans le temps : chaque souverain commanda au graveur éponyme une police de caractères qui définisse son style propre : Garamont (avec un t !) pour François Ier ; Grandjean pour Louis XIV ; Luce, Louis XV ; Didot, Napoléon ; Marcellin Legrand, Charles X... Gauthier sous la Ve république ! Dans l'espace : du tifinag au palmyrénien, de l'estrangélo au nabatéen, du samaritain à l'arabe d'Avicenne, de l'éthiopien au kharostri, du mandchou au laotien, ce sont huit caractères de l'Inde, douze caractères arabes, trois caractères hébraiques, quinze caractères ou idéogrammes de l'Extrême Orient, au total 72 écritures de 55 langues du monde, maya compris, qui composent le patrimoine typographique de l'Imprimerie nationale et qui permettent de composer les livres sortis de son atelier, en particulier la collection "La Salamandre".
5. Gutenberg et l'invention de l'imprimerie
Guy Bechtel
4.67★ (11)

Né vers 1400, mort en 1468, Johann Gensfleisch dit Gutenberg, longtemps exilé, souvent en difficulté d'argent, a cherché pendant vingt ans à réaliser la multiplication des pièces mécaniques en tout genre. Après des recherches à Strasbourg qui n'aboutissent pas complètement, il met au point l'invention de l'imprimerie en caractères mobiles, à Mayence, dans les années 1450, avec l'aide du financier Fust et du calligraphe Schöffer. Tout de suite, cette association éclate, tandis que suit une série d'impressions très inégales que l'on n'a pas très bien su, jusqu'à ces dernières années, à qui attribuer. La vie même de Gutenberg restait obscure, voire en partie légendaire, faute de documents disponibles. L'apparition de nouvelles méthodes d'investigation physico-chimique du papier et de l'encre des premières productions de Mayence permet aujourd'hui de reconstituer cette histoire, de retrouver l'étonnante personnalité de l'inventeur en liaison avec la naissance des premiers ouvrages imprimés
6. Chier dans le cassetin aux apostrophes
David Alliot
4.29★ (19)

Chier dans le cassetin aux apostrophes recense 600 mots de l'argot des métiers du livre, typographes, imprimeurs, papetiers, relieurs, maquettistes, éditeurs et libraires. Si marbre, bouclage, enfant de la balle, ours, fantôme, coquille, nègre, bouquin... ont survécu, la quasi-totalité de ces termes n'est malheureusement plus usitée. Reste des expressions pour le moins " imagées ", une langue bien verte et bien pendue qui enchantera les amoureux du verbe et de l'encre.
7. Scribes et enlumineurs: l'art de réliser un livre au Moyen Age
Florent Déniel
Qu'est-ce que le parchemin? Comment est il fabriqué ? Qu'en est il du papier ? Comment confectionner l'encre, les couleurs, les supports...? Voici les réponses à vos questions, les recettes et secrets de fabrication issus du Moyen Age, enfin dévoilés pour vous.
8. Le monde d'Alde Manuce
Martin Lowry
3.75★ (9)

Après Gutenberg, l'initiateur, l'imprimeur italien Alde Manuce (1450-1515) est la deuxième grande figure, quasi mythique, de l'histoire du livre imprimé. À l'exemple d'Erasme, ses contemporains ont très tôt salué en lui l'artisan d'une alliance durable entre le nouvel art de l'imprimerie et la Renaissance humaniste. La postérité, elle, a célébré à la fois les prouesses techniques de l'atelier aldin - comme l'invention des caractères italiques ou celle du livre de poche -, et l'?uvre de l'éditeur des classiques grecs et du Songe de Polyphile, le plus grand livre illustré de la Renaissance. Depuis les fameuses Annales de l'Imprimerie des Aide d'Antoine-Augustin Renouard, parues en 1825, philologues, bibliographes et collectionneurs ont consacré de très nombreux travaux érudits aux éditions aldines, mais il a fallu attendre la publication en 1978 du livre de Martin Lowry pour voir un historien dissiper le halo légendaire qui entourait l'entreprise d'Alde Manuce et tenter de la comprendre du strict point de vue de ses contemporains. Grâce à sa parfaite connaissance de la société, des institutions culturelles et de la vie politique de Venise, Martin Lowry pose avec une audace tranquille des problèmes essentiels et dresse un tableau aussi précis que haut en couleurs de ce que fut, au vrai, le monde d'Alde Manuce.
9. Balzac et l'imprimerie
Honoré de Balzac
3.00★ (4)

Honoré de Balzac fut éditeur, puis imprimeur et fondeur de caractères typographiques.
10. Le Maître de Garamond
Anne Cuneo
4.06★ (272)

Le 24 décembre 1534, place Maubert, pendant que chacun s'apprête à fêter Noël, un imprimeur, suspect d'hérésie, est pendu, son corps et ses livres brûlés. Homme de lettres, érudit, Antoine Augereau a connu les intellectuels les plus brillants des débuts de la Renaissance, à Fontenay-le-Comte où il passa son enfance à l'ombre du couvent qui accueillait François Rabelais, à Poitiers durant son apprentissage, et enfin, rue Saint-Jacques où il s'installa en ces temps où elle abritait plusieurs imprimeurs par maison. C'est là qu'il a publié François Villon ou Clément Marot, là qu'il a inventé l'usage des accents et de la cédille, là qu'il a gravé et transmis les caractères typographiques qui ont modelé ceux dont nous nous servons encore de nos jours. Comment cet humaniste est-il parvenu à s'attirer les foudres des théologiens de la Sorbonne ? La publication du Miroir de l'âme pécheresse de Marguerite de Navarre, sueur du roi François Ier, fut-elle la vraie cause de sa perte ? Parce qu'il s'indigne autant qu'il cherche à comprendre, Claude Garamond, le plus célèbre de ses disciples, entreprend de raconter son histoire. L'histoire passionnante et bouleversante d'un être généreux, ennemi de tout fanatisme, mais prêt à mourir pour défendre ses idées. Comme pour Le trajet dune rivière (prix des libraires 1995), Anne Cuneo, dans une éblouissante mise en scène romanesque, dévoile et rend justice à un personnage hors du commun.
11. L'imprimerie. Histoire et techniques
Michael Twyman
4.00★ (3)

Cet ouvrage, richement illustré, offre, pour la première fois en langue française, un panorama des principales étapes de l'évolution de l'imprimerie et de ses techniques. L'imprimerie est l'une des plus importantes inventions de tous les temps. Elle a changé le cours de l'histoire par son extraordinaire impact sur les plans intellectuel, social et artistique. Au fil des siècles, ses applications se sont multipliées grâce à l'adaptation continue de ses procédés aux évolutions technologiques depuis la production manuelle jusqu'à la production mécanique, puis électronique. Dans cette histoire documentée et concise, Michael Twyman brosse un tableau de l'évolution des techniques graphiques et de la manière dont celles-ci ont contribué au développement des formes et des usages des images et des textes imprimés, depuis l'invention de l'imprimerie en Extrême-Orient et en Europe jusqu'à l'avènement du numérique. Cet ouvrage est une traduction du British Library guide to printing que l'auteur a adaptée au contexte français en s'appuyant notamment sur les collections du Musée de l'imprimerie de Lyon.
12. L'Europe de Gutenberg : Le livre et l'invention de la modernité occidentale (XIIIe-XVIe siècle)
Frédéric Barbier
4.33★ (8)

Les grandes phases de transformation des sociétés s'accompagnent de transformations parallèles dans les systèmes de communication sociale - ce que nous appelons les médias. La première " révolution des médias " est, en Occident, celle de l'invention de l'imprimerie par Gutenberg, au milieu du XVe siècle. Cet ouvrage montre comment l'accroissement des besoins en documents écrits fait s'engager, dès les XIIe et XIIIe siècles, des logiques de changement qui culmineront avec Gutenberg. Le XVe siècle est le " temps des start-up " : des capitalistes investissent dans la recherche-développement pour mettre au point et exploiter des techniques innovantes, parmi lesquelles l'imprimerie. Puis sont évoqués les principaux traits de cette première révolution des médias " : essor de la technique, organisation du champ littéraire moderne, développement de la surveillance et de la censure et invention du processus même de la médiatisation. Cette relecture de la révolution gutenbergienne permet non seulement de mieux comprendre un certain nombre de problèmes relatifs à l'histoire culturelle du monde occidental, mais elle introduit aussi à de nombreuses comparaisons avec les phénomènes les plus contemporains.
13. Histoire de l'écriture typographique : De Gutenberg au XVIIe siècle
Yves Perrousseaux
5.00★ (8)

Abondamment illustrée, cette Histoire de l'écriture typographique se propose, en deux tomes, de transmettre la culture typographique au plus grand nombre. Il s'agit de montrer, par le texte et l'image, les principaux jalons pertinents qui se sont succédés au fil du temps, pour finir par constituer l'écriture typographique occidentale que chacun, aujourd'hui, visualise sur l'écran de son ordinateur, sans bien en connaître les origines ni le sens de leur utilisation. Ce premier tome couvre l'histoire de l'écriture typographique de son origine, avec Gutenberg, jusqu'au XVIIe siècle, quand la typographie hollandaise s'en donne à coeur joie, tandis que l'imprimerie française est muselée par les pouvoirs civils et religieux.
14. La révolution de l'imprimé. A l'aube de l'Europe moderne
Elizabeth Eisenstein Lewisohn
4.50★ (19)

Cet ouvrage est le grand classique sur l'histoire de l'invention de l'imprimerie. Elizabeth Eisenstein montre que celle-ci ne fut pas une simple technique au service d'un renouveau intellectuel, mais bien l'un des acteurs de ce renouveau. Elle a non seulement accéléré la diffusion des idées et des textes mais a surtout bouleversé les conditions de leur création et de leur production. Ceci n'a pas eu que des conséquences sur la construction de la science moderne et sur son essor, mais aussi sur le mouvement de la Réforme et plus généralement sur ce qu'il est convenu d'appeler la Renaissance. En faisant la synthèse d'une littérature gigantesque que seuls les spécialistes osent affronter, cet ouvrage renouvelle l'ensemble de la problématique concernant l'irruption de la galaxie Gutenberg.
15. Sales caractères : Petite histoire de la typographie
Simon Garfield
3.85★ (51)

La fréquentation quotidienne de l'ordinateur a popularisé le nom et l'usage des polices de caractères. Mais que savons-nous de ces fameuses «fontes», comme les appelaient autrefois les imprimeurs? Rien ou pas grand-chose... Simon Garfield entreprend de nous raconter l'histoire de quelques-unes des 100 000 polices de caractères créées depuis l'invention de l'imprimerie. Car derrière chacune d'entre elles se cache un destin, drôle et parfois tragique, qui croise souvent la grande Histoire - l'auteur raconte ainsi comment la police Gotham contribua à l'élection de Barack Obama. Les polices de caractères constituent aujourd'hui l'une des dimensions centrales de notre culture visuelle dont nous n'avons en général pas conscience. Qui sait par exemple que l'Helvetica a colonisé la signalétique urbaine outre-Atlantique et qu'elle est utilisée par toutes les grandes marques commerciales pour sa moderne efficacité ?
16. Les caracteres de civilite : Typographie et calligraphie sous l'Ancien Regime
Rémi Jimenes
" Lettre française d'art de main " ou " lettre façon d'écriture ", les caractères de civilité gravés par Robert Granjon en 1557 constituent l'une des plus fameuses imitations de l'écriture manuscrite dans la typographie. Reproduisant la gothique cursive très souple des secrétaires français de la Renaissance, ils seront employés à la composition des livres (et notamment des manuels scolaires) pendant plus de trois siècles. Cette typographie attire depuis longtemps' l'attention dès historiens du livre mais les travaux publiés jusqu'à présent n'ont porté que sur les origines de cette écriture et sa diffusion à la fin de la Renaissance. Pour la première fois, cet ouvrage présente l'histoire des caractères de civilité sur un long terme, en observant les modalités de leur utilisation depuis la Renaissance jusqu'au milieu du XIXe siècle. Une première partie, consacrée aux années 1557-1650, décrit la création, la diffusion et le rapide déclin de cette typographie, et s'interroge sur les motivations idéologiques qui ont conduit à son utilisation puis à son rejet. La seconde partie, qui porte sur une période plus tardive (1650-1850), analyse les raisons pour lesquelles le caractère de civilité a été alors systématiquement employé à la composition des manuels de savoir-vivre. Dans ce large cadre chronologique, l'auteur examine le rôle qu'ont joué les caractères de civilité dans l'enseignement élémentaire et les rapports étroits qu'ils ont entretenus avec les modes calligraphiques. La typographie n'est donc pas ici examinée sous ses seuls aspects formels : on s'attache à restituer les enjeux (sociaux, religieux, économiques) qui en conditionnent les usages. S'appuyant sur des sources variées et souvent inédites (traités calligraphiques, typographiques ou pédagogiques, documents d'archives, préfaces, etc.), cette étude, préfacée par Hendrik Vervliet, s'accompagne d'une abondante iconographie, présentant plus d'une centaine de documents tant imprimés que manuscrits. A travers cette histoire de la " lettre française ", c'est à une véritable exploration des relations entre typographie et calligraphie qu'est convié le lecteur.
17. Du plomb dans le cassetin
Jean Bernard-Maugiron
3.44★ (28)

« Je travaille de nuit comme correcteur de presse dans un grand journal régional », écrit Victor. Timide, passionné par son métier, à moins de cinq ans de la retraite, il vit encore avec sa vieille mère. « En fait, quand j'étais petit, je voulais faire conducteur de locomotive quand je serai grand, » avoue-t-il. « Après réflexion, j'avais décidé de faire chef de gare. » Il se retrouve finalement « typo » : un métier moins dangereux... C'est ce qu'il croit ! Mais, à force de positionner des petites lettres, Victor ne finira-t-il pas par péter les plombs ? Du plomb dans le cassetin témoigne de la vie dans un journal parmi les ouvriers du Livre. L'auteur parvient à exprimer et communiquer l?amour de ce métier, qui est au fond un véritable sacerdoce. C'est aussi l'histoire de la mort annoncée de l'imprimerie. « Les ouvriers du Livre disparaissent un à un, c'est comme le dernier poilu bientôt il y en aura plus. »
18. Typographies broche
Raymond Gid
On dit bâtir une page comme bâtir une demeure. Ce qui établit une responsabilité : une page inconfortable au texte trahit la pensée de son auteur. Par simple fidélité sinon même par sens esthétique, mettre en pages, imprimer, se doit donc de tendre vers le parfait ou ne pas être. Hors du temps, bâtir un ouvrage ou même une simple page, est essentiellement métier d'amour.
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