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Françoise Brun (Traducteur)
EAN : 9782867465673
387 pages
Liana Lévi (07/04/2011)
4.05/5   989 notes
Résumé :
Anna et Francesca ont treize ans, presque quatorze. C’est l’été à Piombino, ville désolée de Toscane bien loin de l’image de carte postale que l’on peut s’en faire quand on n’est pas d’ici. Chez elles, pas de vignes et Florence et son art sont bien loin. Leur quotidien : des barres d’immeubles insalubres et surtout l’aciérie, personnage monstrueux qui engloutit jour et nuit tous les hommes du coin.

Les hommes, ils ne sont pas à l’honneur dans le roman... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (198) Voir plus Ajouter une critique
4,05

sur 989 notes
Sous un soleil plombant, la ville Piombino déverse son lot quotidien de misères. Les hauts fourneaux de l'aciérie crachent leur fumée noire. Les familles s'entassent dans les barres de béton. Les pères, parfois les fils aussi, pointent tous les jours dans l'usine d'acier, véritable coeur de cette ville. Les mères s'acquittent à leurs tâches ménagères tandis que les enfants ont pris pour terrain de jeu la plage. Brouhaha de vaisselle, de klaxons et de cris. Au loin l'île d'Elbe, véritable oasis de bonheur, semble narguer la population ouvrière.
L'on remarque tout de suite ces deux jeunes filles, Franscesca et Anna, 13 ans, la blonde et la brune. Deux beautés fatales, deux corps qui ne demandent qu'à être enlacés. Deux âmes soudées empreintes de liberté. Regardées avec envie parfois, jalousie ou malveillance. Elles partagent tout: les quelques pas de danse, nues devant le miroir, les désirs, les angoisses et leur endroit secret, théâtre de leur amitié qu'elles jurent inébranlable.
Bientôt, des drames se jouent dans ces rues débordant de vie. Plan de licenciement à l'aciérie, amours et promesses trahies, des pères qui frappent leur famille, des lignes de coke qui se sniffent.

L'on est plongé littéralement dans cette ville italienne, l'on suffoque sous ce soleil, l'on époussète ce sable collant et l'on croirait presque entendre ce bruit incessant de la rue qui s'anime de ces enfants qui crient, de ces adolescents qui se murmurent encore et toujours cette volonté farouche de sortir de tout ça. Roman social où les passions brulent au soleil, où les corps sont mis à nu et à mal. Dans cette cité où l'acier régit les gens, ces deux jeunes filles nous interpellent de par leurs rêves, leur soif de liberté, leur passion indestructible. Sylvia Avalonne nous dépeint somptueusement cette société en proie aux doutes et soucieuse, cette jeunesse trop vite confrontée aux drames et ces hommes qui démissionnent. L'écriture, à fleur de peau, est à la fois délicate et sans concession. Ce roman poignant, intelligent et d'une intensité grave est une très belle réussite.

D'acier... et d'or...
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L'Italie, la Toscane, Piombino, le soleil, la plage, ça donne envie, non !
Et bien détrompez-vous le roman de Silvia Avallone est tout le contraire. A travers une dizaine de personnages, la dure réalité de petites gens dont les parents ont fait une croix d'une vie meilleure, les jeunes rêvant encore de lendemains plus florissants. On est touché par Anna et Francesca à la fois insolentes, provocantes mais aussi émouvantes. Ecoeuré par la lâcheté et la violence des pères. Troublé par le mutisme des mères, les secrets ne doivent pas franchir la porte des appartements.
Et puis au milieu de tout ça, L'aciérie, qui rythme cette petite ville industrielle, seule espoir de gagner un maigre salaire et de survivre malgré tout.
Un roman coup de poing, noir, âpre, dur, le portrait d'une jeunesse sous l'air berlusconienne sans confession. L'écriture est au diapason. Malgré l'image idyllique de cette région, c'est bien la noirceur qui prédomine tout du long du roman de Silvia Avallone. Et même si le roman se termine sur une note d'espoir c'est la désespérance qui en est le fil conducteur.
Une belle réussite.

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« Ca veut dire quoi, grandir dans un ensemble de quatre barres d'immeubles d'où tombent des morceaux de balcon et d'amiante, dans une cour où les enfants jouent à côté des jeunes qui dealent et des vieilles qui puent ? Quel genre d'idée tu te fais de la vie, dans un endroit où il est normal de ne pas partir en vacances, de ne pas aller au cinéma, de ne rien savoir du monde ? »
Pourtant, l'île d'Elbe, le paradis des riches touristes, n'est qu'à quelques kilomètres au large. Mais la plage pleine d'algues bordant la barre d'immeubles de la rue Stalingrado, malgré sa puanteur, est le paradis de tous les jeunes, ceux qui travaillent aux aciéries Lucchini de Piombino, ville industrielle de Toscane, où tous suent sang et eau. Drague, amitiés et jeux font la nique aux adultes trop tôt harassés, à la violence et aux trahisons de la vie.

« Cet endroit-là, elles s'y étaient rencontrées et elles s'étaient choisies ».
Elles, c'est Anna et Francesca, 14 ans, 2 jeunes filles en fleur que tous les garçons voudraient cueillir. Mais elles n'en ont cure, ces 2 beautés, car elles sont amies, complices depuis leur enfance. Leur union est telle que Francesca la blonde, la belle, l'unique voudrait que cela dure éternellement. Anna l'aime comme une soeur. Mais Anna est attirée par Mattia, le charmeur. Et cet amour va provoquer des ravages, pas seulement dans son coeur...

D'un été à l'autre, d'une face de la vie à l'autre.
Avec une grande sensibilité, picorant dans le coeur de l'un et l'âme de l'autre, l'auteure nous emmène de l'insouciance à la fragilité, du plaisir égoïste à la souffrance cachée. Désarroi de l'adolescence face aux premiers émois, fierté d'être belle et égocentrique, désir d'être la seule, tout ceci cache tant bien que mal un côté obscur.

J'ai adoré me perdre dans les méandres de la vie de ces très jeunes filles, de ces garçons travaillant dur et malgré tout, à cause de tout, avides de saisir tous les plaisirs, de ces adultes vieux avant l'âge, regardant droit dans les yeux leurs illusions perdues.
Je vous recommande « D'acier », ce roman attachant, plein d'acuité et authentique, qui illustre avec brio cette phrase : « Avoir été au coeur de la vie, et ne pas l'avoir su ».
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Le paradis et la merde peuvent-ils porter le même nom?

Les cristaux de neige, si rares en Maremme, dessinent ,en hiéroglyphes, son nom. Les Etrusques, secrètement ,nommaient ainsi leur île déifiée. Toutes les grands mères du coin le portaient comme prénom.

ILVA.

L'autre nom de l'île d'Elbe. Elba, Ilva, petit morceau de paradis flottant au large de Piombino.

Piombino, ville de plomb, ville de fer et d'acier, ville ouvrière frappée par la crise , ville des hauts fourneaux, arrêtés l'un après l'autre. Dont l'usine, autrefois, osait porter , elle aussi , le nom d'ILVA.

"Le paradis et la merde peuvent-ils porter le même nom? "s'étonne le beau Mattia, ouvrier dans cet enfer de feu, de fer et de sueur.

Tout le paradoxe du livre me paraît résumé dans cette interrogation onomastique: enfer et paradis au coeur du même lieu.

Enfer du travail d'usine épuisant , sous la menace constante du licenciement économique, travail dangereux qu'on supporte à coups de ligne de coke ou de soirées moites au Gilda, devant le slap dance des filles dénudées et humiliées.

Enfer des familles aux mères écrasées ou impuissantes, aux pères absents et maffieux, ou incestueux et brutaux, pantins ou ogres, mais tous victimes dehors, tyrans dedans- les "babbuini" comme les appellent leurs filles...

Enfer des tentations consuméristes, martelées par la T.V. berlusconienne., putassière et vulgaire..

Mais aussi paradis: la mer, si bleue, si chaude, si tendre aux corps amoureux, paradis des premiers émois, des premiers troubles. Paradis du sexe qui trouve, tôt ou tard, son revers, son enfer, lui aussi.

Paradis des amours enfantines, petites bulles d'enfance dans un coin de parc oublié avec ses balançoires rouillées, son petit banc de pierre moussue ou dans une plage secrète ,enfouie sous les algues, pleine de chats faméliques et de barques encalminées...

Paradis de l'amitié amoureuse de deux "ragazze" de 13 ans, Anna la brune et Francesca , la blonde.

Paradis qui peut aussi devenir un enfer de jalousie, de trahison, de déréliction suicidaire...

J'avais dévoré , en français, le livre de Silvia Avallone à sa sortie.

Je viens de le relire, en italien cette fois, et "in situ", dans cette Maremme étrusque, terre de fer et d'eau, de mines sombres , de "via cava" et de soleil brûlant, avec l'île d'Elbe qui palpitait sous la lumière ou disparaissait sous les nuées, au rythme d'un temps agité et capricieux..

Enfer et paradis. Merda e paradiso, comme disait Mattia...

J'avais aimé ma première lecture: j'ai adoré ma relecture, en V.O., plus lente, plus patiemment dégustée.

Silvia Avallone sait être tour à tour brutale et cruelle, crue et sensuelle, poétique et tendre. Elle module toutes ces tonalités avec un étonnant naturel, dans un récit méthodiquement scénarisé et maîtrisé, une sorte de chant choral puissant qui suit alternativement tous les personnages gravitant autour des deux jeunes filles, et qui trouve son point d'orgue dans les derniers chapitres où l'horreur puis l'apaisement culminent..

Enfer et paradis, jusqu'au bout...

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"D'acier" se passe en Toscane.
Piombino, ville industrielle qui a servi de toile de fond à ce roman, où l'auteur a vécu dans sa prime jeunesse, avant d'aller étudier la philosophie à Bologne.

L'acier fond et coule, brûlant, suffocant, use les hommes.

Ces mêmes hommes sans autre avenir que les bruits des Hauts Fourneaux, la rouille, l'épuisement et la vie qui se délite au fil des années de dur labeur.

La vie dans les Tours de béton, les balcons uniformes qui se font face où se confondent les destins, tous semblables et désespérément vides.

Pour oublier cette vie sans horizons, les réunions dans le bistrot du coin, où l'alcool, les grossièretés et les rébellions stériles se côtoient.

La jeunesse se brûle les ailes à un avenir sombre, prédestinée à poursuivre le lent et sirupeux écoulement de l'acier qui court comme un long ruban - Infiniment !

Ebouillante les sens des filles et des garçons qui rêvent d'un ailleurs, d'une autre vie.
" Les filles se rêvent starlettes de cinéma, les garçons chefs de bande".

Violence, Alcool, Sexe, folle jeunesse qui brûle la vie par les deux bouts, en espérant échapper à un destin implacablement couru d'avance.

Roman puissant, poignant, tranchant, désespérant.

La fin laisse, peut être, entrevoir un zeste de bleu pour Francesca et Anna !
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critiques presse (10)
Actualitte
22 août 2012
Un style brut et percutant, tout en effervescence mais empreint de chaleur également. A fleur de peau, ardent.
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Lexpress
05 juillet 2012
Misère, pollution, violences conjugales, espérances en jachère, Silvia Avallone réinvente le roman social avec ces pages magistrales […].
Lire la critique sur le site : Lexpress
Telerama
02 mai 2012
Dans ce premier roman puissant, Silvia Avallone (née en 1984) brosse un portrait terrible de l'Italie contemporaine et de la vie familiale […].
Lire la critique sur le site : Telerama
Lexpress
30 novembre 2011
Avec ce roman hyperréaliste, entre Zola et Pasolini, Silvia Avallone brosse à l'acide les portraits de deux lolitas prisonnières de leurs illusions de pacotille
Lire la critique sur le site : Lexpress
LePoint
27 juillet 2011
Le miracle, c'est qu'un livre aussi puissant, aussi juste soit le premier d'une jeune femme (Silvia Avallone est née en 1984) qui, se jetant dans le roman social, en évite les écueils - le pathos et les prêches - avec une belle maestria.
Lire la critique sur le site : LePoint
LaPresse
20 juin 2011
Le style est simple, fluide, accrocheur, mais ne cède rien à une certaine authenticité dans sa description d'une génération presque désenchantée.
Lire la critique sur le site : LaPresse
Lexpress
16 juin 2011
Roman sombre et désenchanté qui peint une réalité désespérante, D'acier aurait, malgré une volonté manifeste de réalisme à tout crin […] tout du grand roman s'il ne péchait pas par un style sec, parfois hach
Lire la critique sur le site : Lexpress
Lexpress
14 juin 2011
Silvia Avallone nous livre un beau roman sur l'adolescence tout en nous dressant le portrait de deux familles qui sonnent comme deux échos d'une Italie qui se situe loin, très loin, des paillettes Berlusconiennes.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Lexpress
14 juin 2011
Silvia Avallone, au printemps de sa vie, signe là un très beau premier roman et nous rappelle qu'en art ce qui compte, avant l'expérience, c'est un certain élan que l'art accorde à quelques élu(e)s seulement.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Lexpress
14 juin 2011
Un ouvrage aussi chaud et coloré que la coulée de fonte qui sort en fusion des hauts fourneaux de Piombino, nous rappellant ces films du néo-réalisme italien d'après-guerre.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Citations et extraits (146) Voir plus Ajouter une citation
Dès qu’elle voyait la mer, Anna devenait comme folle.
Elle lâchait sac à dos et serviette n’importe où, prenait son élan et se mettait à courir. Elle courait jusqu’à ce que l’eau devienne trop haute, que ses poumons explosent dans sa poitrine, et là, elle plongeait. Elle frottait son ventre contre le dos ondulé du fond sableux, ressortait une dizaine de mètres plus loin, où l’on n’avait plus pied, même du bout des orteils. Elle adorait frôler ce dos, rêche et doux à la fois. Le toucher de la main, y enfoncer les doigts. Sous l’eau, là où les bruits du monde deviennent placenta, où le sel brûle la cornée et que tu n’entends plus que le bruit de ton coeur, qui ne t’appartient plus.
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Soudain la porte du cabinet s'ouvrit et un petit vieux à lunettes de soleil sortit au bras d'une dame blonde, diaphane, à l'accent de l'Est marqué. Le vieux souriait en l'exhibant aux autres vieux, assis en demi-cercle dans la salle d'attente.
"Oh, fit l'un, il avait pas une femme, lui ?"
Le vieux à peine parti, les autres s'en donnèrent à cœur joie.
"Je crois qu'elle est morte y a deux ans, sa femmes...
- Ah, je comprends mieux !"
Quelques-uns se levèrent. Un autre replia le Tirreno et le rangea.
"Ces blondes, hein, c'est pas comme les bonnes femmes de Piombino...
- Si ma femme venait à passer, Dieu la garde", et il se toucha les couilles, "je me prendrais bien une blonde, tien !"
[...]
"Sûr. Les Italiennes elles veulent aller au restaurant, au cinéma, mais pour venir chez toi tu peux toujours te brosser, tes chaussettes elles viendront pas te les laver.
- Sauf que les Russes, elles boivent, et pas qu'un peu...
- Peut-être, mais elles ont un cul en béton !
- Et elles te cassent pas les couilles.
- Et toujours d'accord pour te faire un bis, et même un tris, les Ukrainiennes."
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Nino et Massi l'écoutaient attentivement, les yeux plantés dans les siens.
"Faut pas lui envoyer des fleurs ! Tu la prends et tu la bouscules direct sur le capot !" expliquait Cristiano à Nino.
Il parlait fort, et à une table voisine des gens se retournèrent, amusés. Alessio fumait et regardait ailleurs, l'avenue qui commençait à se remplir de jeunes.
"Les femmes, c'est comme ça qu'il faut les traiter ! En levrette, sur la banquette arrière...
- J'ai pas de bagnole, objecta Nino avec une pointe de désespoir.
- Et alors, t'as pas un scoot ?" soupira Cristiano. Il en connaissait un rayon lui, il avait vécu, et voilà qu'il perdait son temps avec ce gamin amoureux de sa voisine. Ca l'agaçait, mais ça lui plaisait bien aussi, d'avoir à leur expliquer comment marche le monde, à ces deux-là.
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ça veut dire quoi, grandir dans un ensemble de quatre barres d'immeubles d'où tombent des morceaux de balcon et d'amiante, dans une cour où les enfants jouent à côté des jeunes qui dealent et des vieilles qui puent? Quel genre d'idée tu te fais de la vie, dans un endroit où il est normal de na pas partir en vacances, de ne pas aller au cinéma, de ne rien savoir du monde, de ne pas feuilleter les journaux, de ne pas lire de livre, où la question de ne pose même pas?
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A trois heures de l'après-midi, en juin, les vieux et les mômes allaient dormir. La lumière, dehors, était de feu. Assis devant la télé, les ménagères et les retraités en pantalon de polyester, les survivants des hauts-fourneaux, inclinaient la tête, asphyxiés par la chaleur.
Après le déjeuner, la façade de ces barres d'immeubles toutes pareilles, collées les unes aux autres, ressemblait à un mur de niches funéraires dans un cimetière. Des femmes aux jambes gonflées, les fesses ballotant sous la blouse, descendaient s'asseoir dans la cour à l'ombre, autour d'une table de camping. elles jouaient aux cartes et agitaient frénétiquement leur éventail en parlant de tout, et surtout de rien.
Les maris, s'ils n'étaient pas au travail, ne mettaient pas le nez dehors. Ils restaient là, avachis, torse nu, ruisselants de sueur, à manier la télécommande. Pas pour écouter ces connards à la télé. juste pour mater les bimbos, ces petites garces, le contraire absolu de leurs femmes.
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Une virée en Toscane en compagnie d'une romancière qui pourrait être une descendante italienne d'Emile Zola, ça vous dit ?
« D'acier » de Silvia Avallone, c'est à lire en poche chez Liana Levi.
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