Le bonheur de la pile de livre où l'on trouve ce que l'on cherchait sans le savoir...
Drôle de petit livre dont j'ai corné un grand nombre de pages tant les réflexions sur la rue, les gens, les relations me semblaient tout droit sorties de ma tête.
Ce livre tourne autour de la mort à travers des récits livrés comme des faits divers et un autre récit ressemblant à un rêve éveillé où une défunte revient après vingt ans d'absence dans les rues de Paris.
L'inventaire des courts récits de morts souvent violentes m'ont fait l'effet d'une conjuration contre la mort, tandis que perfide elle se glisse bien réelle dans le rêve de la narratrice.
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mauvais mauvais mauvais -sans intérêt
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Valérie Mréjen aborde des eaux plus profondes et y navigue avec cet art sensible et décalé qui l’installe parmi les plus grands.
Lire la critique sur le site : Lhumanite
Blottie dans cet entre-deux incertain que constitue toute existence, Valérie Mréjen signe le roman le plus abouti de son œuvre expérimentale, discrète, entêtée.
Lire la critique sur le site : Telerama
"Et si cette autre femme, une connaissance de lointaines connaissances dont le degré de relations se perd dans le bouche-à-oreille et où personne ne sait plus très bien qui l'a vraiment connue, si seulement cette femme n'avait pas ri de si bon coeur en écoutant une anecdotique comique racontée par un invité au cours d'une choucroute party. Si elle ne s'était pas renversée en arrière, dilatant ainsi le larynx que peut obstruer, à cause de l'appel d'air, un morceau d'aliment."
Il arrivait d’oublier momentanément, de ne plus penser aux personnes avec qui on avait étudié par exemple à l’école, puis de se rappeler avoir appris quelques semaines plus tôt que ce grand type, l'une des figures les plus marquantes parmi les élèves des Beaux-Arts, était mort lui aussi, sans autres précisions.
Où, quand et comment avez-vous découvert la pratique documentaire ? C'est la question posée par Balises à Pauline Horovitz et Bani Khoshnoudi,, invitées du cycle « Féminin singulier, formes du réel », proposé par la Cinémathèque du documentaire à la Bpi et le Centre national des arts plastiques en juin 2023.
Réalisation et montage : Julie Combes
Merci à Pascale Cassagnau et Arnaud Hée
Merci également aux artistes pour leur disponibilité : Joanna Grundzinska, Daphné Hérétakis, Pauline Horovitz, Bani Khoshnoudi, Marie Losier, Ariane Michel, Valérie Mréjen, Florence Pezon, Noëlle Pujol et Éléonore Saintagnan
Réalisé en partenariat avec le SAE Institute
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