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EAN : 9782072552458
272 pages
Gallimard (01/01/2016)
3.04/5   131 notes
Résumé :
Soupçonné du meurtre de son ex-femme, décédée dans un mystérieux accident de voiture, Gustave Meyer, grand maître international d'échecs, voit soudain sa vie basculer. En un instant, ce solitaire devient un fugitif partout recherché. Dissimulé sous une autre identité, isolé des siens, il est rattrapé par ses failles : l'étrange opération chirurgicale qu'il a subie à son insu et qui l'a "golémisé" en décuplant ses facultés mentales ; la relation ambiguë qu'il entreti... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (35) Voir plus Ajouter une critique
3,04

sur 131 notes
J'aime beaucoup cet auteur .Je tiens à le souligner.
J'ai lu avec bonheur :" Lutetia", "Singmaringen " et plusieurs de ses biographies.
Cet ouvrage met en scène, au début haletant , sous forme d'un thriller :Gustave Meyer, grand maître des échecs, épileptique, à la mémoire phénoménale.Accusé du meurtre de sa femme , il garde en mémoire toutes les parties qu'il a jouées....
Son épouse, victime d'un accident inexpliqué, médecin , animait un blog dans lequel étaient mises en évidence les dérives de la médecine.
Gustave Meyer a subi une intervention chirurgicale au cours de laquelle des électrodes régulant ses problémes neurologiques ont été implantées sur son cerveau ....
Cet ouvrage mi- policier, mi- réflexion philosophique et technique surtout dans la deuxième partie qui débouche sur une quête d'identité sur fond de transhumanisme ne m'a pas entièrement convaincue ....C'est peu de le dire ....

En revanche l'écriture est toujours très belle, élégante , les mots sont bien choisis , les évocations artistiques et littéraires léchées.....
Pierre-Assouline possède une maîtrise de la langue indéniable et je ne lui retire pas ma confiance.
"Quand fond la neige où va le blanc ? Première phrase ..."Dans le ciel " dernière phrase de ce livre déroutant.
"Je ne reconnais pas cet homme que je fus, cet étranger qui portait mon nom ".....
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Autant le (re)dire d'entrée, je suis un inconditionnel de Pierre Assouline. Sans faire long sur ce point, la lecture de Lutétia il y a une dizaine d'années fut une révélation. Rapidement complétée par d'autres, et notamment ses exceptionnelles biographies de Durand-Ruel, Hergé ou Simenon, j'avançais dans la découverte de son oeuvre avec un plaisir chaque fois renouvelé.

Et pourtant, ces dernières années, Pierre Assouline me "perd" peu à peu, mais me conserve en même temps. Ça a commencé avec Vie de Job et s'est poursuivi sur ses trois livres suivants. Golem ne fait pas exception.

Car la littérature de Pierre Assouline s'est manifestement compliquée - élevée ? - ces dernières années. À un point où, à un moment, je finis par décrocher. C'est ce qui est arrivé dans cette lecture. D'autres l'ont déjà dit, il y a deux parties dans ce livre. La première, la plus longue, démarre sur fond de polar : Gustave Meyer, joueur d'échec internationalement reconnu, se retrouve soupçonné d'avoir tué sa femme. Et après tout, au vu de ce qu'il commence à découvrir de son état psychique et mental, de ce que son ami neurochir pourrait lui avoir fait subir à son insu, ne serait-ce pas du domaine du possible ? Commence alors une fuite en avant, guidée par une quête de vérité qui se transforme ensuite en quête de sens.

Et c'est là que les choses se compliquent, dans cette deuxième partie placée au coeur de l'Europe centrale. Assouline fait alors passer la fiction au second plan pour basculer dans une longue réflexion historico-philosophique, où le sens de la vie, les origines, l'évolution et toutes les thématiques - ô combien actuelles - sur le transhumanisme, l'identité et la vérité des êtres se bousculent, s'interpellent et se répondent. On entre alors presque comme dans une fable, un conte, où le mythe du Golem issu de l'histoire traditionnelle juive est revisité à la sauce moderne.

J'avoue avoir été gêné par cette forme de dichotomie du livre qui après m'avoir doucement bercé pendant les trois premiers quarts du livre, me secoue dans le dernier.

Mais indépendamment de tout cela, je reste un inconditionnel de l'écriture de Pierre Assouline et ce livre ne fait pas exception, bien au contraire. Ce ne sont pas deux mais dix ou vingt citations que j'aurais pu (voulu) ajouter sur ce site. Assouline possède une maîtrise de la langue qui me bouleverse à chaque fois même si son sujet me perd au passage. Chaque mot est juste, chaque phrase est simple quand elle doit l'être ou un peu plus réfléchie s'il le faut, mais jamais Pierre Assouline ne cède à la tentation de l'étalage. C'est un des rares auteurs français contemporains dont je me surprend régulièrement à relire une phrase deux ou trois fois pour en "peser" la force, en "goûter" le sens, en prolonger le plaisir de lecture, avec souvent une même réflexion : comment peut-on dire des choses aussi belles et souvent profondes, dans une telle économie de mots ? le talent et le travail sont forcément au coeur des explications...

Et en cela, Pierre Assouline reste un auteur à part dans la littérature française, un auteur précieux pour moi.
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De Pierre Assouline, je n'avais lu, ou plutôt parcouru, que deux ou trois de ses fameuses biographies. Tout le monde parlant de lui autour de moi, cela m'a donné envie de lire Golem, son dernier roman. Mon plaisir de lecture a balancé, tantôt vers le haut, tantôt vers le bas. Au final, je reste sur un avis mitigé.

Gustave Meyer, le personnage principal du roman, est un grand maître international d'échecs ; il a les aptitudes intellectuelles et mentales que cela suppose ; c'est un sexagénaire solitaire, original, amateur d'arts, qui souffre de fortes migraines et bénéficie d'un suivi médical très spécialisé pour des troubles neurologiques.

Voilà qu'on assassine son ex-femme, animatrice inflexible d'un blog d'alerte sur les dérives éthiques dans les neurosciences. Considéré par la police comme le principal suspect, Gustave Meyer décide de fuir et d'entrer en clandestinité. Il se résigne à une destinée de fuite sans fin, à l'instar du docteur Richard Kimble, le fugitif de la série TV culte dont ceux de ma génération ne manqueront pas de se souvenir.

Dans le même temps, il découvre que lors d'une intervention chirurgicale récente, des électrodes ont été implantées dans son cerveau – "à l'insu de son plein gré...!" – afin de booster sa mémoire et son intelligence. Cette prise de conscience le perturbe au plus haut point. Il se sent dépossédé de sa condition d'être humain, rabaissé au niveau d'un être sans âme, tel un Golem de la mystique juive, créé et manipulé par un aspirant démiurge. Il en vient à s'interroger sur sa conscience juive ; sa fuite tourne en quête de la mémoire des souffrances de son peuple, sur les traces des communautés survivantes de la Shoah aux quatre coins de l'Europe centrale, pour s'achever à Prague – ville qui garde le souvenir d'un Golem légendaire –, où il s'attarde dans le vieux cimetière juif... – J'en profite à titre personnel pour rendre hommage à Umberto Eco, récemment disparu.

Tout se boucle finalement dans une conjuration menée par des zélateurs du transhumanisme, des idéologues assoiffés de puissance et des financiers soucieux de rentabiliser leurs investissements dans les neurosciences, entraînés dans l'aventure par un savant génial et affairiste, psychopathe au point d'éliminer les gêneurs... le docteur Gang et Mad mis en échec par l'Inspecteur Gadget... le docteur Septimus démasqué par Blake et Mortimer... Les téléfilms des années soixante-dix et leurs scénarios complotistes.

Si le côté polar laisse à désirer, l'écriture en revanche est très belle ; choix juste et précis des mots et des locutions, syntaxe parfaite et élégante. La rédaction donne l'impression d'être à la fois naturelle, spontanée, tout en étant en même temps travaillée, léchée, jusqu'à frôler le maniérisme. Quand toutefois Gustave Meyer et l'auteur s'enfouissent dans des considérations mystiques trop profondes, le juif non croyant et non observant que je suis finit par se lasser et perdre le fil, l'oeil mouillé de sommeil et l'esprit embrumé...

De belles évocations artistiques, en cohérence avec le livre ; Proust et ses théories sur la mémoire ; Rothko et ses champs de couleur irradiant directement le cerveau derrière la rétine ; Glenn Gould et ses fredonnements obsessionnels, comme ceux de Gustave Meyer pendant tout le roman, sur l'air de la Mantovana (ou Mantovina), une rengaine lancinante du 16ème siècle ayant servi de matière première à Smetana pour la composition de la Moldau, musique culte à Prague, elle même inspiratrice de la Hatikva, l'hymne national d'Israël.

Enfin, ne vous arrêtez pas à la question posée à la première ligne du livre : où va le blanc quand fond la neige ? Pierre Assouline donne la réponse à la dernière ligne : il va au ciel...!

Lien : http://cavamieuxenlecrivant...
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Golem...Un titre énigmatique, un mot que je ne connaissais pas, la définition donnée par le dictionnaire et la 4ème de couverture m'avaient attiré...
Gustave Meyer, personnage principal du livre, est un grand maître d'échecs, qui grâce à sa mémoire phénoménale garde en tête toutes les parties qu'il a jouées, mais aussi d'autres parties jouées par des personnages célèbres..Il ne vit et ne pense que par les échecs. Son épouse, médecin anime un blog critique dans lequel elle met en évidences les dérives de la médecine. Elle est victime d'un accident inexpliqué, et Gustave Meyer devient aux yeux de la police le suspect idéal. Il est recherché par une femme, capitaine de police et aidé par une autre, sa fille. Il décide d'abandonner sa carte bleue, après avoir vidé une partie de son compte et son téléphone portable afin de ne pas être localisé et de changer son identité et son apparence...d'entrer en clandestinité. C'est le début d'un longue cavale qui lui fera traverser l'Europe.
Il est épileptique et a du subir une intervention chirurgicale au cours de laquelle, des électrodes, permettant de réguler ses problèmes neurologiques, ont été implantées sur son cerveau...Il découvrira que le chirurgien, son ami, a également fait de lui un être surnaturel, un monstre, ce golem doué d'une mémoire phénoménale..
La Mémoire, est alors le deuxième personnage de ce livre, mémoire humaine, mémoire informatique, prétextes dont se sert Pierre Assouline pour nous donner à réfléchir d'une part à son importance, d'autre part aux manipulations de tout type que certains envisagent pour créer des surhommes, une élite de golems à l'horizon 2045-2060. le cerveau de l'homme le rend capable d'aimer l'art, de s'envoler face au tableau d'un peintre, capable de le faire voyager par la pensée, un cerveau confronté à la machine. Grâce à l'électronique, à des électrodes implantées sur le cerveau, sur les rétines, la science pourra à l'avenir créer des sur-hommes ayant à leur dispositions toutes la mémoire du monde, des soldats pouvant voir la nuit comme en plein jour...Science fiction, ou futur de la science? Nombreux sont les articles, que chacun pourra trouver sur la mémoire qu'est Internet pour confirmer l'intérêt de la science pour l'Intelligence Artificielle et le Transhumanisme.
Cette première partie du livre, mi roman-policier, mi-réflexion technique et philosophique est agréable, même si certaines situations sont un peu "tirées par les cheveux", trop rapides, trop superficielles ...mais bon.....on a affaire à un sur-homme ! Et il faut abandonner le récit pour se plonger dans les idées, et j'ai été beaucoup plus attiré par les réflexions de l'auteur sur la mémoire et le cerveau que par le coté polar-surhomme, un peu trop série américaine à mon goût.
La deuxième partie du livre représentant un tiers environ du roman, est un long "devoir de mémoire" : Gustave Meyer va pour fuir, traverser des villes européennes, Vienne, Budapest, Lodz, Wroclaw Kaunas, Bucarest, Iasi, Prague...., visiter leurs synagogues ou ce qu'il en reste, en suivant un plan, calqué sur celui d'une partie d'échecs, l'occasion pour Pierre Assouline de rappeler au lecteur les souffrances, les persécutions du peuple juif, bien antérieures aux percutions nazies. Très documentée, voire trop précise cette deuxième partie du roman n'amène pas grand chose à l'intrigue policière, le lecteur se perd un peu dans les détails, de ces synagogues, de l'Histoire. On se demande comment la police arrive à suivre sa trace...une super fliquette très douée sans aucun doute ! Un dénouement un peu trop rapide..trop convenu d'avance
Je garderai de ce livre une impression mitigée : un coté Polar trop rapide, Pierre Assouline n'est pas un auteur de polar mais il a un don certain pour nous informer afin de nous faire réfléchir, pour nous proposer de suivre cette réflexion par d'autres lectures et un coté historique, certes intéressant, mais dont les détails n'apportent rien à l'histoire...un coté historique qui ne semble avoir qu'un seul objectif : n'oublions pas, gardons toujours à l'esprit la mémoire de l'Histoire.

Lien : https://mesbelleslectures.co..
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En parcourant les premières pages de ce livre on se dit: "Je suis tombé sur un polar qui s'annonce trépidant et qui promet de bons moments". Or, assez rapidement, le récit s'enlise, laissant juste encore au lecteur l'espoir d'un redécollage imminent. En effet, on entre superficiellement dans les cercles transhumanistes dont les membres rêvent de devenir des humains augmentés ou des cyborgs. Hélas, malgré l'intérêt et l'actualité de cette thématique, Pierre Assouline se limite à quelques rumeurs qui ne parviennent pas à nous interpeller. Il y a bien la volonté de donner une leçon de morale, mais celle-ci est tellement banale qu'elle sonne creux.

Dans la deuxième partie, on se perd dans les rêveries de Gustave Meyer, descendant d'une grande famille juive tchéco-parisienne. C'est d'ailleurs la judéité du narrateur qui finit par devenir le fil rouge d'une trame qui a pour décor l'ex-Mitteleuropa, désormais orpheline de sa culture juive centenaire. G. Meyer erre, de Vilnius à Iasi (Roumanie) en passant par Prague et Cracovie, sur les traces de ses ancêtres qui n'auraient jamais dû disparaître dans la folie nazie.

La fin du livre tente de retisser le lien entre la trame policière du début et ce retour aux sources émouvant, mais sans convaincre.
En reposant le livre on se dit qu'il y avait mieux à faire, car l'idée de départ ouvrait de belles perspectives. Dommage.
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Citations et extraits (43) Voir plus Ajouter une citation
" Et votre père, lui.....?
------ Fâché avec tout ça. L'argent comme mètre -étalon de toutes choses, l'argent qui rapporte de l'argent , la financiarisation de l'économie , l'étalage des grands trains de vie, ça lui fait horreur.
Il aime l'art et déteste ceux qui le collectionnent . Mon pére n'a pas besoin de collectionner pour apprécier.
Il veut être un habitant et pas un consommateur.Il rêve d'un monde sans argent . De fait , il n'en a jamais besoin.
Il ne dépense presque rien. -----Il fait comment ? ---Il ne consomme pas , c'est tout ....et la société n'a pas de prise sur lui...."
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Un vieux monsieur s'approcha; il tendait un index fébrile vers le faîte d'un mur. Des bribes de yiddish tombaient de ses lèvres en un murmure désolé. Gustave Meyer ne put lui refuser le service qu'il demandait à la cantonade : chercher un nom à sa place car il ne voyait pas si loin si haut, même si son regard était profond.
"Alors, vous trouvez?
- Il y en a bien un, un seul qui correspond : Piotrkowski, David.
-Et puis?
- 1908.
- C'est lui, mon père. Je suis venu d'Argentine juste pour ça. Dommage que..."
Il n'implorait pas, ne se lamentait pas. Il se voulait juste fidèle à l'honneur d'être vivant. Mais tout dans son regard bleu humide, dans la tension de son cou vers le ciel, dans sa vaine tentative de se dresser sur le bout de ses pieds, tout reflétait le regret de ne pas voir son père en lisant son nom. Quelques minutes après, Gustave Meyer revenait accompagné d'un gardien du musée portant une échelle à l'épaule. Ils ne furent pas trop de deux pour y hisser le vieux monsieur et l'y maintenir au sommet sans risquer une chute. Tous les visiteurs s'étaient immobilisés pour contempler cette scène inédite : un homme juché dans les hauteurs, tout de larmes muettes, secouant le tête de gauche à droite, submergé par une expérience qui le dépassait, touchant du doigt une inscription, la touchant encore jusqu'à la caresser, ressuscitant en lui la souffrance de son père. On aurait dit que tout le Mémorial retentissait secrètement de l'écho de sa voix. C'était comme s'il l'avait retrouvé après une trop longue absence.
(...) On dit que le temps fait son œuvre. Cet homme témoignait de ce que le temps ne s'efface pas.
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Fondamentalement, l'ordinateur et l'homme sont les deux opposés les plus intégraux qui existent. L'homme est lent, peu rigoureux, et très intuitif. L'ordinateur est super rapide, très rigoureux et complètement con.
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Raconter, mais quoi ? Lui expliquer qu’il vivait dans une oscillation. Lui avouer qu’il se sentait l’esprit surchargé de détails. Lui dire que sa tête lui pesait. Mais qu’est-ce qu’un neurochirurgien peut pour un homme qui se sent l’âme floconneuse ?
Tout ce qui nous assaille dans ces moments-là, et que l’on a eu largement le temps de ruminer dans la salle d’attente, ne se raconte pas sans appréhension : une certaine difficulté à faire cohabiter en soi tous les âges que l’on a vécus, le sentiment de se trouver enserré dans une forêt obscure, l’étrange impression d’être comme un animal malade, tu vois à peu près, mon vieux Robert ?
Les médecins comprendront-ils jamais que rien n’est aussi difficile que de nommer ce qui ronge sourdement, que de mettre des mots sur l’innommable. Trop flou, trop confus. Ils réclament de la précision. (p. 20-21)
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Il se résolut à diviser l'humanité en deux catégories : ceux qui en viennent à se demander où peut bien aller le blanc une fois que la neige a fondu, et ceux qui ne comprennent même pas qu'il y ait des gens pour s'infliger un pareil tourment.
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- Échanges avec le public
- Capsules - « La Bible en ses Traditions aux Bernardins », témoignage sur l'usage de la base de données par le P. Jacques Ollier, enseignant-chercheur au Collège des Bernardins. - À la découverte de Bibleart, application culturelle de la Bible en ses Traditions, avec l'équipe de Prixm
- Pause : possibilité de visiter le stand de l'Association des Amis pour y découvrir ses activités, les propositions de l'École et ses dernières publications ainsi que le stand École biblique des éditions Peeters.
- Table Ronde "Sous l'invocation de saint Jérôme : traduire les Écritures en 2023, entre Jérusalem et Paris". Échange entre Pierre Assouline, de l'Académie Goncourt, pour la littérature, le professeur Olivier Munnich (professeur émérite à l'Université Paris – Sorbonne) pour la philologie et l'histoire et Olivier-Thomas Venard pour l'exégèse et la théologie.
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