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EAN : 9782221117163
156 pages
Robert Laffont (19/08/2010)
3.46/5   126 notes
Résumé :
Quand l'auteur parle de grandir, elle parle d'elle-même. Sa mère est dépendante d'elle. Il arrive que cette mère soit absente et parfois, au contraire, ses paroles et sa présence sont justes, drôles et imprévisibles. Et durant toute cette période, l'amour qu'elle a donné à sa fille lui est rendu comme on voudrait qu'il le soit toujours.Chaque morceau de la vie d'une vieille dame vulnérable est raconté : un jeune médecin, l'appétit, les vacances, un aide-soignant, le... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (26) Voir plus Ajouter une critique
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sur 126 notes
🎊 « A huit heures du matin, (...) je me levai, je filai chez ma mère, je m'assis sur une chaise près du lit : « Maman, je lui disais pour la première fois depuis l'enfance, je t'aime. Tu es ma vie. Et comment, si je t'aime, toi qui es ma vie, je pourrais te laisser là dans ce lit, à l'abandon ? Je ne le pourrais pas. Écoute, je veux que tu me donnes l'autorisation d'appeler de le docteur, qui appellera l'ambulance, et tu seras dans un hôpital mais tu seras soignée, et je t'aime. Et je te donnerai du courage, je le pourrai. Tu veux bien ? »
La seconde inoubliable où je fus suspendue à sa réponse.
« Oui a tout », elle avait annoncé. »
(P.20)

🎊 D'après le dictionnaire, « grandir » signifie « devenir plus grand ». Être grand c'est, toujours d'après le dictionnaire, avoir une taille qui dépasse la moyenne ou atteindre sa taille. La question que je me pose est la suivante : cesse-t-on jamais de grandir ?

🎊 Sophie Fontanel raconte sa mère : une mère, c'est avant tout une image, une force, un roc invincible dont on espère qu'il ne chavirera jamais, une force de la nature indétrônable. Mais un jour, pourtant, fatigué, il arrive que ce symbole s'étiole : ainsi commence le déclin, une petite chute, un oubli, une absence. Entre la mère et la fille, on échange les rôles, subrepticement, sans jamais le dire : on accepte de panser les blessures de celle qui autrefois soignait nos peines, on répond au désarroi avec un sourire franc, de ceux qu'on aimait tant et qui avaient le pouvoir d'illuminer un visage, une journée, une vie. On devient artisan, on peint des fleurs, on coud des tissus, on parfume les chambres, on rassure avec des gestes intangibles, un regard, une oeillade, une main tendue. On aime plus qu'on n'aurait jamais pensé pouvoir.

🎊 Ce roman est une déclaration d'amour, un cri du coeur qui oscille entre le désespoir et l'admiration ; ce roman, c'est le récit d'une fille à sa mère, lorsque les rôles s'inversent, lorsque celle qui a élevé l'autre a besoin d'elle pour continuer à rester debout. Ce récit, c'est savoir donner quand on a si peu à recevoir, c'est trouver la lumière au crépuscule de la vie : elle est certes faible, mais elle scintille encore, a l'horizon. Ce récit, c'est l'espoir.
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Dans ces courts fragments, l'auteur revient avec tendresse sur les moments partagés avec sa mère alors que celle-ci, âgée de quatre-vingt-six ans, décline inexorablement. Grandir, ce n'est plus tant s'émanciper que devenir un adulte sans parents ; appréhender les moments où celle qui nous a donné le jour ne sera plus là. Dans ces petits instants relatés, c'est à la fois la dépendance de la mère, mais aussi le difficile positionnement de la fille qui sont donnés à voir. Comment continuer à vivre normalement en évitant à la fois l'impression de se sacrifier et de négliger sa mère vieillissante ? Comment profiter de ces moments où les rôles s'inversent ; comment accepter que sa mère ne soit plus celle qui guide et protège mais devienne celle qu'il faut aider pour tout ? Ces brefs souvenirs ne sont pas chronologiques et sont racontés au fil de la pensée et de la mémoire, ce qui évite peut-être de leur donner trop de pathos et de les rendre trop tristes, et c'est appréciable.
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Voilà quelques temps que je suivais Sophie Fontanel sur le réseau social Instagram. J'adore ses publications loufoques et belles. J'ai voulu en apprendre plus sur elle, je n'ai pas été étonnée en apprenant qu'elle écrit des livres. Lors d'une visite à la médiathèque de ma ville, je tombe sur ce livre par hasard. Je le prends sans hésiter une seule seconde. C'est quitte ou double. J'ai retrouvé sa très jolie plume dans ce roman, l'auteur nous décrit son quotidien qui a basculé du jour au lendemain lorsqu'elle a apprit que sa mère était atteinte d'une grave maladie. J'ai bien aimé les petites références à ses origines arméniennes. Sophie Fontanel est une journaliste à l'agenda bien rempli, elle met sa carrière en péril pour s'occuper de l'être qu'elle aime le plus au monde. Bien heureusement, elle n'a pas d'enfants dont elle doit s'occuper, c'est une charge en moins. Je suis certaine que des personnes peuvent se reconnaître dans ce roman, cela a été un réel plaisir de découvrir Sophie Fontanel en tant que romancière. On savoure chaque mot, on a plus envie de s'arrêter. Ce récit autobiographique est touchant, Sophie Fontanel invite le lecteur à entrer dans une période de sa vie difficile. Je suis en admiration devant le courage de cette femme courageuse qui n'a jamais baissé les bras malgré les épreuves qu'elle a dû surmontées.
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Pourquoi : roman ?
C'est un texte émouvant et lisiblement autobiographique, mais il n'est pas romanesque pour un sou. C'est l'autoportrait d'une grande femme (comme on dirait “une grande fille”) qui vit difficilement mais courageusement, le moment de leur vie où sa relation avec sa mère va s'inverser pour toujours.

Pourquoi : grandir ?
Toute petite, Sophie Fontanel était déjà très grande... Mais ce que veut montrer l'auteur, en dehors d'un ton de sympathique auto-dérision, c'est qu'une fille (ou un fils) n'aura jamais fini de grandir tant que ses parents n'auront pas franchi le cap où ils acceptent enfin l'aide qui leur est nécessaire pour aller au bout de leur vie.

A presque cinquante ans, elle comprend ce que sa mère s'attachait à lui donner en héritage depuis longtemps, et que rebelle, elle s'obstinait à refuser : l'accès à la maturité, à la douceur, à l'écoute.

J'ai bien aimé qu'avec cet ouvrage, Sophie Fontanel déchire en petits morceaux le cliché rebattu d'enfants adultes devenus les parents de leurs parents retombés en enfance. C'est beaucoup plus compliqué que ça. Sophie Fontanel explique que pour elle, le lâcher prise de sa maman est au contraire un geste éducatif, le dernier, celui qui enfin la fait grandir.

Le portrait de la maman grabataire est joli et tendre, un peu idéalisé, certainement. C'est là que réside la faible part romanesque du livre, finalement.

Grandir est peu construit : pas de chapitres, juste des courtes scènes, sensiblement de la même longueur (deux pages imprimées), et juxtaposées sans souci de la chronologie. Cela donne une impression de désordre, de confusion, d'urgence, qui est peut-être voulue par l'auteur pour illustrer la maladie de sa mère, et les chambardements dans sa propre vie quotidienne entre boulot, hosto, dodo.

Pourtant dans la situation exposée (dans la vraie vie), il existe malheureusement une (dé)progression inéluctable de la personne âgée, que Sophie Fontanel évite de souligner comme si c'était seulement elle, la fille, qui sortait changée (en bien) de l'épreuve, pas la vieille dame.

Encore une fois, c'est un témoignage poignant, une expérience de vie décrite avec talent, mais ce n'est pas un roman. Sophie Fontanel n'a pas su choisir vraiment entre l'essai illustrant un problème de société (d'une journaliste) et le récit intime romancé (d'un écrivain). Dommage.

Une jolie phrase prise au hasard (enfin, presque) : “ avec l'humour, un temps, on peut se croire immortel “
Lien : http://tillybayardrichard.ty..
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"Quand l'auteur parle de grandir, elle parle d'elle-même. Sa mère est très âgée et dépendante d'elle, entièrement. Il arrive que cette mère soit absente et parfois, au contraire, ses paroles et sa présence sont justes, drôles et imprévisibles. Et durant toute cette période ultime, l'amour qu'elle a donné à sa fille lui est rendu comme on voudrait qu'il le soit toujours.



Chaque morceau de la vie d'une vieille dame si vulnérable est raconté: un jeune médecin, l'appétit, les vacances, un aide-soignant, les petits-enfants, des mains très douces, des souvenirs, l'Arménie, une amie d'enfance. A la page qui suit, on voit sa fille : une cavale, une vie à gagner, un défilé de mode, des articles à écrire, des dîners décommandés, la ville à traverser quand sa mère est tombée, tout de suite les infirmières de jour et celles de nuit, les douceurs."



Comme je dis parfois en souriant "C'est ma mère, je n'en ai qu'une et j'y tiens", alors j'ai tout de suite senti que ce livre était pour moi, mais je l'ai abordé avec un peu d'appréhension car je suis exactement à la période de la vie où les mamans deviennent un peu vos enfants... Pas qu'elles perdent forcément la tête, mais elles demandent conseils et aide (Bon, ce papier, j'en fais quoi? -Tu le ranges/Jettes) ou continuent à en faire à leur tête (J'ai fait les vitres alors j'ai utilisé l'escabeau - Argh! Non! - Souvenir d'une chute sans conséquences et d'un passage aux urgences. Plus jamais ça!)



Alors oui, j'avais un peu la boule dans la gorge en démarrant cette lecture, mais j'ai vite découvert que ce n'est pas du tout une lecture plombante! Au premier gloussement j'ai su que c'était gagné. Bien sûr les séquences émotion et réalisme sont nombreuses, avec la maman naturellement mais aussi avec l'entourage sur lequel l'auteur pose un regard bienveillant et attentif. "J'ai développé une sensibilité particulière aux personnes âgées. Est-ce une richesse?" "L'une tenait un désuet bagage effiloché qui déjà vous tordait le coeur. "



Lisez absolument ce livre, j'ai du mal à en parler évidemment, mais c'est le coup de coeur!
Lien : http://en-lisant-en-voyagean..
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Citations et extraits (33) Voir plus Ajouter une citation
Ces temps-ci, quand je pense à ce que j'essaie de sauver, je ressens un tel besoin d'aide que ça me fait trembler. Aider quelqu'un, je le sais maintenant, c'est avoir aussitôt soi-même besoin de secours. Et ces jours, je bois toute sympathie comme un buvard, et la moindre bonté me fait l'effet de l'amour. Jamais je n'ai eu autant la conscience des autres, moi qui ai fondé ma vie sur la liberté. J'ai depuis peu des idées nouvelles, par exemple sur ce que ça veut dire « être présent ». Je pense sans cesse qu'un jour moi aussi je serai âgée, moi aussi je pas- serai un cap et je devrai m'en remettre à la bienveillance d'autrui. Lorsque ce jour viendra, qui dans ce monde pourra faire pour moi ce que je fais pour ma mère ? Qui sera présent? Qui me soutiendra quand, à mon tour, je serai une personne vulnérable? Et est-ce que je me tuerai un jour, pour cause de ce manque d'amour très particulier qui est le manque d'aide ?
Je la regarde, cette mère épuisée de quatre-vingt-six ans, après que je l'ai couverte d'affection, de jonquilles pour sa maison, de soins, de paroles réconfortantes, d'une nouvelle robe, d'une galette des Rois, de bonbons au gingembre, de plaisanteries sur le cours des choses, de récits enjolivés de mon quotidien, de foi certaine dans le fait qu'à notre époque les gens vivent si longtemps qu'on ne peut plus dire, et qu'au bout du compte on ne peut plus donner aucune norme, je lui affirme qu'elle a meilleure mine, je la regarde, oui, et devant son insouciance retrouvée, la blague qu'elle a de nouveau la malice de faire, je me dis: " Encore un effort, et elle ne mourra pas."
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L'arbre que tu plantes dans ton jardin. Pour toi ce ne va être qu'une galère de tuteurs. Mais un jour, pour d'autres, l'acacia s'élèvera dans le ciel, où tu seras déjà, et il fera de l'ombre à ceux de ton sang, et toi tu n'en feras plus à personne. Tu ne seras que lumière pour ceux qui se souviennent. Une soirée d'été, quelqu'un de ta descendance sera là sous cet arbre, à humer la douceur. Ce petit-fils, cet arrière-petit-cousin, cette arrière-arrière-petite-nièce, qui que ce soit, il ne pensera plus à ses déceptions. Au contraire, il se sentira accueilli dans une plénitude, sous l'arbre muet la nuit. Alors il se dira: "D'où vient tout cet amour?" (page 145)
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C'est alors que, d'une voix où ne pointait aucune ironie, aucun dédain,aucun ascendant, aucune cruauté, elle me fit cette remarque : " je te demanderais de te jeter par la fenêtre, tu le ferais." On sait comment ça se passe, parfois on a l'instinct de tout prendre mal, c'est dans l'enfant en nous. Je ne sais pas pourquoi, j'ai eu la force d'entendre qu'elle ne voulait pas m'agresser, qu'elle essayait de me dire autre chose, de constructif, quelque chose que je n'avais jamais voulu accueillir en moi. Et moi : " bien sûr que je le ferais, si tu me le demandais, ça voudrait dire qu'on serait au rez-de-chaussée...." J'eus son sourire céleste en hommage à ma maturité. Et je vis - je le jure- la paix tomber sur moi, la première main chaude de mon existence. La guerre que j'avais faite aux autres était terminée.
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Non. Ce n'est pas pareil. L'enfant, vois-tu, ton projet c'est de le sortir de la dépendance. C'est plus qu'un projet, c'est une mission. Et attends, c'est plus qu'une mission, c'est l'avenir. Un enfant, c'est quelqu'un qu'on rend indépendant. Il te quittera, pour vivre. Il a des chances de vivre, même s'il est malade, même s'il s'en sort mal. Tu peux y croire. Jusqu'au bout, tu peux penser que s'il guérit, il est sauvé, que s'il a son bac, il est sauvé, que s'il sait se lier, il est sauvé. Alors que ta maman, où tu l'emmènes ? L'indépendance à venir, ce sera la tienne. Jusqu'au bout c'est toi l'enfant que ta mère autonomise. C'est elle, la mère. Laisse-toi chambouler, parce que, mon amie, ce qu'elle est en train de parfaire, c'est ton éducation.
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Maintenant qu'elle oublie tant de choses, elle peut savourer les joies de l'improviste. Je dis que je viens, et puis je viens, mais elle, elle avait oublié que je venais, et pour un peu elle m'applaudirait. Chaque visite est un coup de foudre. Chaque personne, une rencontre nouvelle. Chaque biscuit salé, un mets à tester. La manière dont une fleur s'ouvre : du jamais- vu. La manière dont le soleil lui lèche les pieds: un miracle. « Tu trouves pas quand même absolument fabuleux d'en connaître un peu moins? » elle me dit. Mais qui est ce génie qui m'enseigne la vie? J'en arrive à penser que seule l'immobilité donne des ailes aux humains. À voir les autres tant s'agiter et ne rien comprendre. Bien sûr, son insouciance ne vaut que par mes responsabilités accrues, c'est moi qui dois penser aux détails et à l'évidence. Je l'accepte. Elle m'a fait ce cadeau quand j'étais enfant, de me délivrer du poids du quotidien. Les frites délicieuses arrivaient par miracle. À Noël, le cadeau onéreux dont je rêvais sans grande illusion car j'en connaissais le prix, il arrivait lui aussi. Si je voulais seller mon lit pour en faire un alezan, elle procurait du cuir. Elle aurait procuré de l'avoine si ça avait pu faire mon bonheur. Et même le cheval entier si elle avait eu l'argent. Oui, elle a fait de mon enfance une vraie enfance. Je peux bien rendre, à présent.
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Vidéo de Sophie Fontanel
Dans cet épisode, nous vous présentons des livres qui nous ont fait rire. Huit propositions de lectures pour différents âges : de l'humour, fin ou gras, des jeux de mots, de l'absurde, du comique de situation, de la satire sociales... Des livres que nous avons beaucoup aimés, auxquels nous repensons avec le sourire et que nous adorons mettre entre les mains des lecteurs. Une liste à garder précieusement, concoctée par nos libraires Laure, Rozenn, Nolwenn, Jérémy, Nicolas et Adeline !
Voici les livres cités dans cet épisode :
Un ours, un vrai, de Stéphane Servant et Laëtitia le Saux (éd. Didier Jeunesse) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23128786-un-ours-un-vrai-stephane-servant-didier-jeunesse ;
Horace. Tome 1, Cheval de l'Ouest, de Poirier (éd. Revival) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23359947-horace-tome-1-poirier--revival ;
Les Culs-reptiles, de Mahamat-Saleh Haroun (éd. Gallimard/Folio) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22745328-les-culs-reptiles-mahamat-saleh-haroun-folio ;
Admirable, de Sophie Fontanel (éd. Seghers) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22540820-admirable-l-histoire-de-la-derniere-femme-ride--sophie-fontanel-seghers ;
Chroniques du Château faible, de Jean-Christophe Mazurie (éd. Fluide Glacial) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23032241-1-chroniques-du-chateau-faible-tome-01-jean-christophe-mazurie-fluide-glacial ;
Stella et l'Amérique, de Joseph Incardona (éd. Finitude) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23109474-stella-et-l-amerique-joseph-incardona-finitude ;
Le Rire des autres, d'Emma Tholozan (éd. Denoël) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23030426-le-rire-des-autres-emma-tholozan-denoel ;
Roman fleuve, de Philibert Humm (éd. des Équateurs/Folio) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23286751-roman-fleuve-philibert-humm-folio.
Et quelques autres titres qui auraient pu faire partie de cette sélection de livres drôles :
Le Discours, de Fabrice Caro (éd. Gallimard/Folio) ;
Miracle à la tombe aux Aspics, d'Ante Tomi (éd. Libretto) ;
N'essayez jamais d'aider un kangourou !, de Kenneth Cook (éd. Autrement) ;
Je dénonce l'humanité, de Frigyes Karinthy (éd. Viviane Hamy) ;
Le Chien de madame Halberstadt, de Stéphane Carlier (éd. le Tripode) ;
Roulio fauche le poil, de Julia (éd. le Tripode) ;
La Vie est une corvée, de Salomé Lahoche (éd. Superexemplaire) ;
Idées noires, de Franquin (éd. Fluide Glacial) ;
#Les Mémés, de Sylvain Frécon (éd. Fluide Glacial).
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Les Éclaireurs de Dialogues, c'est le podcast de la librairie Dialogues, à Brest. Chaque mois, nous vous proposons deux nouveaux épisodes : une plongée dans le parcours d'un auteur ou d'une autrice au fil d'un entretien, de lectures et de plusieurs conseils de livres, et la présentation des derniers coups de coeur de nos libraires, dans tous les rayons : romans, polar, science-fiction, fantasy, BD, livres pour enfants et adolescents, essais de sciences humaines, récits de voyage…
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