Peter Mayle
Jean Rosenthal (Traducteur)/5 95 notes
Jean Rosenthal (Traducteur)/5 95 notes
Résumé :
Tout juste divorcé d'une épouse mondaine, lassé du monde agité des affaires de Londres, Simon Shaw tombe amoureux de la Provence tranquille et ensoleillée. C'est une nouvelle vie qui s'offre à lui avec Nicole, jeune Française qui le décide à ouvrir un hôtel dans un charmant village de Lubéron. Mais entre le chant des cigales et les petits verres de pastis, de curieux évènements se trament. Quels projets fomentent donc Jojo et sa bande de cyclistes dans le café d'à c... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7)
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Il y a ce que j'appelle les films bouillabaisse et confit de canard avec, dans la première catégorie, La cuisine au beurre et, dans la seconde, le bonheur est dans le pré… À côté de cela, il y a les livres « Plus chouette la vie » qui mettent en scène un folklore provençal, spécialité de quelques auteurs anglais. Hôtel Pastis relève de cette tendance qui aligne les clichés : lavande odorante, pastis bien frais, nourriture où la truffe est généreuse et vins à gogo.
Peter Mayle, publicitaire reconverti dans l'épicerie méditerranéenne depuis le succès d'Une année en Provence, de Provence toujours, augmenté d'autres titres tels que le bonheur en Provence, Un bon cru, creuse encore le filon avec cet Hôtel Pastis. À 42 ans, Simon Shaw, fraîchement divorcé, riche mais morose, accaparé par son agence de publicité, ne supporte plus sa vie d'homme d'affaires. Quelques jours de vacances dans le Lubéron lui font rencontrer Nicole Bouvier, divorcée elle aussi, femme de goût et de talent. Elle lui propose de racheter une vieille gendarmerie dont les travaux sont à l'abandon pour en faire un hôtel de luxe. Avec l'aide du précieux Ernest, son homme chic à tout faire, la bâtisse va se transformer en un lieu de rêve. Pour pimenter un récit aussi prévisible que stéréotypé, Peter Mayle rajoute une histoire de casse de Caisse d'Épargne menée par le Général et sa bande de voyous. Et, à la fin du roman, cerise sur le gâteau, il nous gâte avec un kidnapping.
Ce genre de produit doit ravir les Anglo-Saxons en donnant une image pittoresque et trompeuse du Midi qui, par miroir, engendre une représentation tout aussi déformée des Britanniques : humour, argent et luxe.
J'ai eu bien du mal à terminer ce livre, mon acharnement s'expliquant par le fait que je l'ai lu en anglais : pour une fois, joindre l'utile au superflu.
Peter Mayle, publicitaire reconverti dans l'épicerie méditerranéenne depuis le succès d'Une année en Provence, de Provence toujours, augmenté d'autres titres tels que le bonheur en Provence, Un bon cru, creuse encore le filon avec cet Hôtel Pastis. À 42 ans, Simon Shaw, fraîchement divorcé, riche mais morose, accaparé par son agence de publicité, ne supporte plus sa vie d'homme d'affaires. Quelques jours de vacances dans le Lubéron lui font rencontrer Nicole Bouvier, divorcée elle aussi, femme de goût et de talent. Elle lui propose de racheter une vieille gendarmerie dont les travaux sont à l'abandon pour en faire un hôtel de luxe. Avec l'aide du précieux Ernest, son homme chic à tout faire, la bâtisse va se transformer en un lieu de rêve. Pour pimenter un récit aussi prévisible que stéréotypé, Peter Mayle rajoute une histoire de casse de Caisse d'Épargne menée par le Général et sa bande de voyous. Et, à la fin du roman, cerise sur le gâteau, il nous gâte avec un kidnapping.
Ce genre de produit doit ravir les Anglo-Saxons en donnant une image pittoresque et trompeuse du Midi qui, par miroir, engendre une représentation tout aussi déformée des Britanniques : humour, argent et luxe.
J'ai eu bien du mal à terminer ce livre, mon acharnement s'expliquant par le fait que je l'ai lu en anglais : pour une fois, joindre l'utile au superflu.
A lire l'été en sirotant un pastis! C'est un petit roman plein de rebondissements et de personnages drôles et sympathiques. La trame est parfois un peu difficile à suivre mais les paysages sont beaux, les sentiments nobles, et on ne s'ennuie pas!
Ce roman a été une très bonne surprise ! En effet, je ne m'attendais pas à une telle qualité d'écriture, un humour aussi fin, une ambiance aussi agréable et des personnages aussi attachants (une mention spéciale à Ernest, mon préféré !). de plus, l'histoire est tout à fait charmante. On sent que l'auteur aime vraiment la Provence car il la dépeint de façon admirable : on a l'impression d'y être ! Ses couleurs, ses odeurs, sa lumière, sa chaleur, ses habitants, ses villages... tout y est et le rendu est parfait.
J'aurais juste un petit reproche : il y a une deuxième intrigue en parallèle de l'histoire de Simon, Nicole et Ernest qui, sans être mauvaise ni ennuyeuse, n'était pas du tout indispensable, à mon avis, et m'a beaucoup moins plu que l'histoire principale. Pendant tout le roman, je me suis demandée où l'auteur voulait en venir et comment il allait faire se rejoindre les deux intrigues, et quand, à la fin, elles se rejoignent effectivement, je n'ai pas du tout été convaincue et cela m'a confortée dans mon idée qu'on aurait pu se passer de cette partie-là du roman sans que l'histoire en pâtisse.
Mais bon, ce n'est qu'un détail, et cela ne m'a pas empêchée de passer un très bon moment avec ce roman, qui m'a fait sourire et m'a apporté une sensation de bien-être, ce dont j'ai grandement besoin en ce moment. Un livre feel-good avant l'heure, en quelque sorte (puisqu'il date de 1996)... Une chose est sûre : je vais me pencher sérieusement sur les autres ouvrages de l'auteur.
En revanche, il y a une chose que je trouve inadmissible (mais cela n'est pas de la faute de l'auteur), c'est que le résumé qui accompagne spoile entièrement le roman, jusqu'à la fin. Donc un conseil, ne le lisez pas si vous voulez garder intact le charme de la découverte.
J'aurais juste un petit reproche : il y a une deuxième intrigue en parallèle de l'histoire de Simon, Nicole et Ernest qui, sans être mauvaise ni ennuyeuse, n'était pas du tout indispensable, à mon avis, et m'a beaucoup moins plu que l'histoire principale. Pendant tout le roman, je me suis demandée où l'auteur voulait en venir et comment il allait faire se rejoindre les deux intrigues, et quand, à la fin, elles se rejoignent effectivement, je n'ai pas du tout été convaincue et cela m'a confortée dans mon idée qu'on aurait pu se passer de cette partie-là du roman sans que l'histoire en pâtisse.
Mais bon, ce n'est qu'un détail, et cela ne m'a pas empêchée de passer un très bon moment avec ce roman, qui m'a fait sourire et m'a apporté une sensation de bien-être, ce dont j'ai grandement besoin en ce moment. Un livre feel-good avant l'heure, en quelque sorte (puisqu'il date de 1996)... Une chose est sûre : je vais me pencher sérieusement sur les autres ouvrages de l'auteur.
En revanche, il y a une chose que je trouve inadmissible (mais cela n'est pas de la faute de l'auteur), c'est que le résumé qui accompagne spoile entièrement le roman, jusqu'à la fin. Donc un conseil, ne le lisez pas si vous voulez garder intact le charme de la découverte.
Simon Shaw tombe amoureux de Nicole, jeune française du Lubéron tranquille et ensoleillé. Avec son majordome, fin gastronome et virtuose de la décoration, ils restaurent une vieille gendarmerie en un hôtel de charme. Mais de curieux événements se trament.
C'est toujours intéressant de voir comme un Anglais juge la France ! Peter Mayle aime réellement la Provence et ses personnages ont vraiment la couleur de ce terroir.
L'intrigue n'est pas forcément très élaborée, et elle ne m'a pas laissé beaucoup de souvenirs. Mais j'ai eu plaisir à retrouver sous la plume de l'auteur des paysages et des lieux que je connais bien et que j'aime, notamment à l'Isle-sur-la-Sorgue.
L'intrigue n'est pas forcément très élaborée, et elle ne m'a pas laissé beaucoup de souvenirs. Mais j'ai eu plaisir à retrouver sous la plume de l'auteur des paysages et des lieux que je connais bien et que j'aime, notamment à l'Isle-sur-la-Sorgue.
Citations et extraits (2)
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Dans son expérience limitée, les Anglais qu'il avait rencontrés étaient généralement mécontents de quelque chose : l'ardeur du soleil, la plomberie, la lente progression du chantier. Ils ne manquaient pas une occasion de manifester un désespoir contenu. Mais du moins la plupart d'entre eux étaient-ils polis, pas arrogants comme les Parisiens. Seigneur ! les Parisiens.
Sa cuisse le démangeait. Il se gratta et sentit dans son short le paquet de billets de banque oublié.
Videos de Peter Mayle (6)
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Chef de Gautier Battistella aux éditions Grasset
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Une année en Provence de Peter Mayle aux éditions Nil
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Provence toujours Peter Mayle aux éditions Nil
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le bonheur en Provence de Peter Mayle aux éditions Nil
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Un été à l'Islette de Geraldine Jeffroy et Catherine Guillebaud aux éditions Arléa
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Les Petits Personnages de Marie Sizun aux éditions Arléa
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La robe de Jérôme de Verdière aux éditions Cherche Midi
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Mémoires de Errol Flynn, Eric Neuhoff aux éditions Tempus
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La Maison aux miroirs de Cristina Caboni et Marie Causse auxons Pocket
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J'avais 10 ans à Bergen-Belsen de Léon Placek et Philippe Legrand aux éditions Cherche Midi
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