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La Voie du sabre tome 1 sur 3
EAN : 9782070420483
294 pages
Gallimard (29/10/2002)
3.62/5   209 notes
Résumé :
Pour parfaire l'éducation de son fils Mikédi, le chef de guerre Nakamura Ito le confie à un rônin du nom de Miyamoto Musashi. Un samouraï de légende, le plus grand maître de sabre qu'ait connu l'Empire des quatre Poissons-Chats. Ensemble, pendant six longues années, le maître et l'apprenti vont arpenter la route qui mène jusqu'à la capitale Edo, où l'Impératrice-Dragon attend Mikédi pour en faire son époux.
Mais la Voie du Sabre est loin de trancher l'archipe... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (48) Voir plus Ajouter une critique
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Nakamura Oni Mikédi appartient à un clan puissant du Japon médiéval!
En trois rouleaux, qui sont fort agréables à dérouler, il nous relate son enfance terne dans l'ombre d'un père indifférent, son apprentissage brutalement interrompu auprès du rônin Miyamoto Musashi et enfin ce qui le conduira à se venger de son maître, une fois arrivé à l'âge adulte.
J'ai particulièrement été sensible au merveilleux et au fantastique dans ce roman initiatique, où le jeune héros reçoit une éducation chaotique.
Délaissé quelques années comme commis de cuisine par celui qui est censé lui enseigner la voie du sabre, puis remis entre les mains des prostituées de la Pagode du plaisir pour parfaire son éducation, il est tortueux, le chemin qui doit le mener auprès de l'Impératrice-Dragon.
Récits de combats, secrets d'alcôves, rien ne manque à cet ouvrage non dénué de cruauté ni d'érotisme.
La voie du sabre, de l'acier bien trempé au pays des samouraïs!
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« Mal et bien se sont mélangés, comme ils se mélangent depuis la nuit des temps. Dans ma vie prenant fin, il n'y a ni noir ni blanc, rien que du gris. »
Miyamoto Mushashi, samouraï errant, guerrier invincible, défenseur de la veuve et de l'orphelin, infatigable voyageur en quête de son graal, héraut de la voie du sabre, apprendra bien tard à ses dépens toute la justesse de cette phrase. Il n'aura pas réussi à enseigner au jeune Mikedi, rejeton de l'impitoyable chef de guerre Nakamura Ito, tout ce qu'il faut comme sagesse, bienveillance, amour et dénuement pour emprunter la voie du sabre. Son grand échec !
En passant, un sale gosse ce Mikedi ! Toujours à douter des propos de son Maître, toujours à le contredire, mais acceptant non sans fourberie son enseignement pour suivre une toute autre voie que celle du sabre. Une voie tortueuse et sombre où se côtoient le meurtre, les intrigues et la soif du Pouvoir.
Au final, les deux se rendront compte avec amertume qu'ils sont les deux faces d'une même pièce.
Figure légendaire au Japon, Miyamoto Musashi a véritablement existé au XVIème siècle. Il a écrit le « livre des cinq anneaux » où il décrit la philosophie de la voie du sabre. Eiji Yoshikawa, dans la « pierre et le sabre » et « la parfaite lumière » raconte sa vie.
Un bon livre de fantasy où les samouraïs ont la puissance des magiciens, où l'Empereur et sa fille sont des dragons shootés à l'encre de sho. Ce japon du XVIème siècle décrit par Thomas Day est coloré, primesautier et sensuel. Et cruel aussi. Très cruel.


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Avec ce premier volet de son diptyque intitulé « La voie du sabre », le moins que l'on puisse dire c'est que Thomas Day, sans aucun doute aujourd'hui l'un des auteurs français de fantasy et science-fiction parmi les plus talentueux, frappe encore une fois très fort. L'auteur nous y propose une plongée au coeur de l'Asie (continent qui lui est particulièrement cher et auquel il a également consacré d'autres textes tels que « La cité des crânes » ou encore « La notion de génocide nécessaire »), et plus spécialement d'un Japon médiéval relativement fidèle à ce que nous en a appris l'histoire, mais évidemment teinté d'un peu de fantasy. Nous voilà donc entraîné dans l'Empire des Quatre Poissons-Chats, puissant royaume régi par un Empereur-Dragon à la longévité exceptionnelle, où le lecteur fait connaissance avec le jeune apprenti Mikédi et son maître, le célèbre Miyamoto Musashi, héros japonnais légendaire.

C'est sans réelle surprise que l'on retrouve ici tous les ingrédients qui font le charme et le succès des romans de l'auteur : un rythme soutenu du début à la fin, un univers immersif et dépaysant, des personnages attachants et ambigües qui recèlent tous une grande part d'ombre... Mikédi, le narrateur, se révèle ainsi un protagoniste difficile à saisir, tour à tour sympathique ou détestable, touchant ou exaspérant, mais dont on prend malgré tout beaucoup de plaisir à suivre l'initiation. Il en va de même pour Miyamoto Musashi dont on découvre au fil du récit grâce aux témoignages de certains personnages les histoires qui ont forgé sa légende (la création de son fameux sabre, son amour pour la belle et pure Masuji, ses combats menés aux côtés des opprimés...). Les annexes proposées à la fin du roman et comportant un lexique ainsi qu'une bibliographie et une filmographie commentées, sont quant à elles particulièrement appréciables.

Thomas Day nous propose à nouveau avec « La voie du sabre » un roman passionnant nous faisant découvrir ce qui demeure aujourd'hui encore l'une des plus célèbres légendes du Japon. Nul doute que le second tome, « L'homme qui voulait tuer l'empereur », sera du même acabit.
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Il s'agit de mon premier Thomas Day, et quelle bonne surprise. Quelle bonne surprise ? oui mais...

L'écriture est fluide, elle est emprunte d'une poésie toute asiatique et fait planer une aura de sensualité et de sagesse spirituelle sur l'ensemble du roman. le Japon féodal est bien restitué, une touche de fantastique en plus, les mots japonais sont inclus naturellement dans le texte sans que cela soit une gêne et pour ceux qui ne connaissent pas un lexique est disponible à la fin. Thomas Day offre une prose aux multiples facettes, on la sent bien travaillée et toute dédiée à servir son intrigue. Il sait construire un décor cohérent qui accueille sa touche d'originalité, à n'en pas douté il maîtrise bien son sujet, si vous en doutez rendez-vous en fin de roman pour découvrir la bibliographie thématique, quel auteur fait cet effort ? Peu, nous sommes bien d'accord...

Côté découpage du roman nous avons des rouleaux plutôt que des chapitres et au milieu de cette fable fantastique, nous avons des récits dans le récit avec des légendes qui enrichissent l'histoire principale. Cette mise en abîme est bien traitée et sert le texte avec brio.
La temporalité est bien maniée entre scènes d'action et épisodes philosophiques, le dosage ici est parfait, les pages se tournent, il n'y a pas de temps morts inutiles.

Les personnages secondaires sont à mon goût bien trop peu creusés, Akiko exceptée, ils ne servent que les protagonistes principaux ou l'intrigue et on ne sait rien de plus d'eux que ce qui est basiquement utile. Je le déplore, leur donner de l'épaisseur aurait rendu ce roman encore plus brillant qu'il ne l'est...

Parlons à présent de Myamoto Musashi, l'un des deux protagonistes principaux avec Mikedi. Je vous avoue que j'ai hésité avant de lire ce roman à cause de l'emprunt de ce nom pour ce personnage. Je suis de ceux qui ont adoré les romans de Eiji Yoshikawa, qui sont imprégnés des arts martiaux depuis le biberon, et qui ont détesté le Samouraï de David Kirk...
En ce sens, j'ai beaucoup apprécié l'avant-propos de l'auteur qui a fait l'effort de situer l'épéiste philosophe et artiste dans son contexte historique afin de donner une base aux lecteurs qui ne le connaîtraient pas.


Mais revenons au personnage en tant que tel, il est profond, complexe, porteur de mystère, capable du pire comme du meilleur et donc profondément humain. Sa philosophie est imprégnée de sagesse asiatique ce qui donne lieu a des dialogues qui font réfléchir et offre un vivier de citations. Il est bien travaillé autant dans ses failles que dans ses forces, il a le charisme nécessaire pour porter le roman sur ses épaules car oui c'est lui qui porte l'oeuvre et non Mikedi bien que ce dernier soit le narrateur.
Mention spéciale à son tatouage magique, c'est un élément original que j'ai adoré et qui sert le mysticisme du personnage.

On appréciera la dose de naturalisme et d'humanisme qui baigne le personnage de Musashi, notamment sur la défense des femmes même si pour ma part c'est un sujet pour lequel je préfère une incarnation féminine, le cadre du récit étant un japon médiéval, je ne chipoterais pas... mais je reviendrais plus tard sur le cas des femmes...

Mikedi... L'apprenti de Myamoto Musashi est un personnage intéressant, plutôt bien travaillé, je lui trouve néanmoins le défaut d'être présenté un peu vite et sans trop d'explication de sa psyché par moment, il y a des passages où je trouve qu'il sonne creux et je pense que cela est dû à un peu trop de précipitation dans la description de son fonctionnement psychologique et émotionnel... Il faut dire que ce roman présente un parcours initiatique, c'est difficile d'en représenter toute la portée en si peu de pages... Ceci dit, il rempli malgré tout son rôle d'élève puis d'antagoniste sans pour autant avoir la dimension qu'il aurait pu/dû avoir.

Les femmes dans ce livre et la violence, je ne peux pas ne pas en parler... elles sont quasiment un troisième personnage principal à elles seules et je suis étonnée, si ce n'est choquée que si peu de lecteurs en parlent dans leur chronique...

Mettons les choses au clair, j'ai totalement conscience que Day nous emmène dans un Japon médiéval sans concession, que la représentation de la femme à travers la concubine, la geisha ou les femmes de basse extraction servent l'ambiance sensuelle d'un Japon qui possède effectivement cette culture érotique très ancrée, j'ai totalement conscience que le message de Day se veut positif (du moins on va faire comme si) puisqu'il démontre que la violence qui leur est fait est celle des faibles par le biais de Myamoto Musashi mais la dose de viols et de violences pouahh !

Etait-il nécessaire de donner autant de détails aussi souvent ? L'excessive représentation de viols dans le roman fait perdre la crédibilité du message, ça devient difficile d'entendre "il faut les respecter" quand il y a autant de descriptions de violence qui confinent les détails des scènes au malsain... Faut-il rappeler que le dosage est primordial sur ce genre de thématique? Que la violence, quelle que soit sa nature, doit être présente dans un roman pour servir un propos et que cela ne se peut que si l'on sait y mettre la juste mesure ? Pour une fable porteuse de la philosophie de l'équilibre juste c'est le comble d'être tombé dans l'excès...  Et à ceux qui me répondraient que c'est normal, j'ai envie de les inviter à imaginer que tous ces viols étaient sur des hommes, ça pourrait remettre les choses en perspective sur la dose appropriée, après tout les hommes aussi se prostituaient au Japon médiéval et l'amour entre samouraïs n'était pas rare...
Vous l'aurez compris pour moi cela constitue l'énorme point noir de ce roman qui, sans cela, aurait vraiment fait partie de mes favoris...

Sinon, coté fantastique et originalité, il y a beaucoup de concepts que j'ai aimé, le tatouage magique en première place ; les empereurs dragons et autre aspects magiques ont été fondu à merveille dans ce Japon médiéval. C'est agréable, je l'aurai souhaité plus étoffé, ça fait partie des bémols que je peux avoir, ce roman aurait été encore plus efficace en étant plus long et plus fouillé, en sautant moins de périodes des années d'adolescence de Mikedi et en travaillant davantage son cheminement psychologique et émotionnel, quitte à parler philosophie asiatique et parcours initiatique autant l'assumer jusqu'au bout, d'ailleurs n'est-ce pas l'un des messages du livre ?

En conclusion, il s'agit d'un bon roman qui aurait gagné à être plus long et plus détaillé sur certains aspects psychologiques et émotionnels de Mikedi, la dose de viols aurait méritée d'être revue à la baisse pour légitimer les propos philosophiques et humanistes véhiculés, ce dernier point est, à mon avis, le plus gros défaut de l'oeuvre.
En dehors de cela, nous avons ici une fable fantastique qui fonctionne, dynamique, originale et dépaysante, elle reste une belle découverte et il s'en faut finalement de peu pour qu'elle passe de bon à excellent et entre dans ma liste de romans favoris en imaginaire francophone.
Lien : https://labougiedevinayaka.w..
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La Voie du Sabre n'est pas un roman historique, il s'agit bien de fantasy. L'Empereur du Japon en ce XVII° siècle est un dragon, tout comme sa fille que le jeune Midéki rêve d'épouser (pour gagner en pouvoir et puissance). C'est la consommation régulière d'encre de Shô qui transforme cette lignée tout humaine à l'origine, en reptile gigantesque et résistant, même aux années. Cette substance attise la convoitise, provoque des frictions et bon nombre de querelles (réglée à la sauce japonaise). Ce détail aura son importance dans le récit proposé.
Un histoire d'apprentissage et d Ȏchec

Si jamais vous êtes assez sages ainsi que nés au millénaire précédent, vous connaissez sans doute le film Karaté kid, où le vénérable Senseï enseigne à son jeune padawan apprenti les rudiments et bases de cet art martial qu'est le karaté. Porter des seaux, passer un chiffon, faire la poussière, et recommencer. le gamin ne comprend pas la finalité de telles répétitions, et se demande si ce n'était pas un sot au lieu d'un sage qui lui fait trimballer des seaux… Les tâches assignées étaient pour lui d'une inanité avérée, jusqu'à ce que notre vieux bonhomme lui ouvre les yeux, et lui transmette enfin un peu de sagesse.

Dans La voie du Sabre, les ingrédients de Thomas Day sont similaires. Miyamoto Musashi ne donne pas d'emblée des cours de maniement de sabre à son élève. La première leçon est plutôt « rude », marrante et pertinente (une histoire de chaussures – 😉 ) et nous pouvons la résumer à cette maxime célèbre : ne te laisse pas prendre pour un lapin de six semaines.

Ensuite, il le confie pendant plusieurs mois à une école de cuisine, à la pagode des plaisirs (oui, nous parlons des plaisirs charnels, et il y a des passages un peu coquins), puis à un jardin. Systématiquement, notre jeune adolescent doit commencer tout en bas de l'échelle qu'il doit gravir à la seule force de son mérite. Ces périodes sont encadrées d'un séjour dans un village de pêcheurs (qui fournit l'occasion à une belle bataille), et un règlement de compte avec un magicien ( qui fournit…).

Alors que le jeune homme peine à saisir le but de cette méthode et les attentes de Miyamoto Musashi , son maître, le lecteur se rend compte du décalage qui s'opère entre l'un et l'autre. Midéki a un but, épouser la fille-dragon, La Voie du Sabre n'est qu'un moyen d'y parvenir, tandis que Miyamoto Musashi ne cesse de lui monter que c'est avant tout une philosophie de vie.

Le maître parviendra-t-il à faire renter du plomb dans la tête de Midéki (au sens propre ou figuré) ? Là, est toute la question et il vous appartient de le découvrir (et le plus rapidement possible, s'il vous plaît).
Un roman qui mêle action et fond

L'ambiance de la Voie du Sabre ne joue pas sur les moments suspendus, le cérémonial du thé empreint de tant de solennité, l'odeur de l'encens ou tout autre cliché de zénitude. Les sensations proposées à la lecture seront nettement plus corsées, vibrantes et même scintillantes dans une nuance souvent rouge carmin. L'action sans être omniprésente y est prépondérante, et le lecteur attentif aux courts battements de la plume de Thomas Day déchiffrera les messages que le Maître cherche à faire passer à son élève, sur un art de vivre et un lâcher prise plus propice à l'harmonie personnelle que la quête du toujours plus.



Roman jouissif par bien des aspects, La Voie du Sabre de Thomas Day offre une lecture pleine de vitamines et d'hémoglobine. Il met en scène un rônin qui tente d'enseigner un principe de vie à un jeune adolescent. Ouvrez-vos oreilles.
Lien : https://albdoblog.com/2018/0..
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Citations et extraits (33) Voir plus Ajouter une citation
Si ta vie en dépendait, douze ans ou pas, tu essayerais. Alors essaye!
Je veux voir si tu es aussi intelligent que je le suppose.
Je veux voir à quel moment tu frappes du pied pour me faire comprendre que tu abandonnes. Je veux te voir renoncer, car la perspective du renoncement forge un homme. Je veux te voir perdre, car celui qui perd vit, et celui qui gagne meurt.
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L'amour consommé est le meilleur des mets, je vous l'offre sans que vous ayez à souffrir de ses horreurs. L'amour est dans l'esprit, voilà pourquoi j'ai cuisiné cette cervelle au curry; il est dans le cœur , voilà pourquoi je vous offre ces brochettes de cœur; il est dans la chair, voilà pourquoi ces mille trésors de viandes marinées n'attendent que vos dents et votre palais.
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La vie est assujettie à la souffrance.
La souffrance est causée par les désirs.
Renoncer aux désirs entraîne donc l'arrêt de la souffrance.
Pour y parvenir, il suffit de renoncer au monde, de se détacher de soi et de suivre l'Octuple Sentier: compréhension juste, intention juste, parole juste, action juste, mode de vie juste, effort juste, conscience juste, concentration juste.
Une roue à huit rayons, représentation parfaite de la justice véritable.
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Personne n'aime comme cet homme... Il transforme l'acte en art.
C'est comme de la calligraphie, chaque geste est parfait, d'une couleur qui dépend de son intensité. Mais le plaisir qu'il te donne a un prix: pour lui ton corps est comme une feuille blanche, à jamais il y laisse son empreinte.
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-Essaye. Je veux voir si tu es aussi intelligent que je le suppose. Je veux voir à quel moment tu frappes ton travail du pied pour me faire comprendre que tu abandonnes. Je veux te voir renoncer, car la perspective du renoncement forge un homme. Je veux te voir perdre car celui qui perd vit, et celui qui gagne meurt.
-C'est idiot ce que vous dites. Les gagnants sont toujours les vivants.
Mais plus tard, je compris ce qu'il voulait dire : celui qui gagne toujours n'apprend jamais rien.
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