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EAN : 9782080670809
248 pages
Flammarion (01/11/1998)
4/5   2 notes
Résumé :
Quatrième de couverture
1871. A l'heure où les rotatives crachent des journaux à un penny, où seuls les lampadaires à gaz éclairent la nuit, Mcllvaine, éditorialiste de renom, entreprend une singulière enquête. L'un de ses plus brillants collaborateurs, le jeune Martin Pemberton, a soudain disparu, après avoir déclaré que son père était vivant. Voilà qui pourrait s'avérer des plus banal si Augustus Pemberton n'avait été enterré deux ans auparavant et sa fortu... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
J'ai adoré ce livre. L'atmosphère qui se dégage de la ville de New York au dix-neuvième siècle y est parfaitement décrite. le ville est à l'époque éclairée grâce à des lampadaires qui fonctionnent au gaz, et on y trouve aussi le tout premier Tramway qui relie New York à Harlem et qui est tiré par des chevaux (chose que je ne savais pas). Lorsque l'on regarde les tramways de nôtre époque, on a du mal à imaginer que les premiers étaient tirés par des chevaux. de plus, dans son roman l'auteur nous décrit une ville qui est corrompue, le plupart de ses dirigeants sont des gens malhonnêtes ( dont un certain Boss Tweed qui a véritablement existé) et qui emploient des personnes tout aussi corrompues. Bref, il y règne une atmosphère assez lugubre et l'histoire qui s'y déroule l'est tout autant. Mais il faut le lire pour s'en imprégner et vous verrez que vous aurez l'impression d'avoir voyagé dans le temps et de découvrir une grande ville autrement que ce qui nous est montré aujourd'hui.
Vous l'aurez compris pour moi ce livre est un grand coup de coeur, j'ai découvert un auteur dont l'écriture m'a captivée.
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
Il ne pouvait pas s’empêcher de la regarder. Et, pendant qu'elle s'adressait à nous tous de sa voix calme d'alto, on percevait clairement aux coups d’œil qu'elle lançait... ou à certaines hésitations qu'elle avait avec lui... voyons, comment allons-nous appeler ce sentiment si banal?... Cette attention involontaire et spontanée que l'on accorde à quelqu'un et qui implique une notion d’avenir? Car, en réfléchissant bien, nous vivons surtout d'habitudes... dans l'attente... soutenus par des plaisirs temporaires... des curiosités... ou encore des forces non génératrices d'espoir... y compris la méchanceté... mais pas avec l'idée majeure d'un avenir qui n'apparaît que dans l'attention bourdonnante que tout le monde remarque, sauf les deux... idiots... qui se dévorent des yeux.
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D'ailleurs, je sais par expérience que tous les peintres sont des butors. Ce qui constitue un paradoxe... un dieu mystérieux leur permet de peindre ce qu'ils ne comprendront jamais. Comme tous ces Florentins, ces Génois et ces Vénitiens... qui étaient des vauriens et des sybarites, mais à qui ce même dieu conférait le pouvoir de nous communiquer l'image des anges, des saints et même de Jésus Christ par le biais de leurs mains stupides.
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