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EAN : 9782226249692
304 pages
Albin Michel (21/08/2013)
3.33/5   124 notes
Résumé :
«Et se regarder nu, face au miroir, jamais il ne le ferait, jamais il ne serait ce garçon qui en lui faisant face lui ferait honte. Enzo ne voulait pas être son ennemi. R voulait aimer le jour, la nuit, la peur, Liouba, et lui-même si c'était possible.»

À travers la relation forte et fragile entre une mère trop jeune et un fils au seuil de l'adolescence qui vivent chacun à leur façon l'expérience de l'exclusion et de la détresse intérieure, Véronique... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (51) Voir plus Ajouter une critique
3,33

sur 124 notes
Il y a des livres ainsi qu'on se réjouit de lire car un précédent du même auteur nous a follement plu. J'ai eu un gros coup de coeur pour Bord de mer.

J'ai ouvert La nuit en vérité et j'ai retrouvé la jolie plume de Véronique Olmi qui nous relate la vie d'une jeune mère près de son fils Enzo harcelé par les élèves de sa classe.

Le gamin de douze ans obèse, habillé de noir et de baskets de seconds prix se murent dans la peur et le chagrin d'être rejeté et peu aimé. Sa mère femme de ménage essaie d'élever son fils comme elle peut, elle refuse que Enzo l'appelle maman et se dit que Enzo est sa plus longue histoire d'amour. Douze ans à vivre ensemble dans un taudis où suinte la misère.

J'ai vécu cette lecture en dent de scie. le début m'a happée puis la magie s'est transformée en ennui. Enzo finit par être la tête de turc de ses condisciples, suite à une agression, il devient fiévreux et commence à avoir des hallucinations. Des pages et des pages peu crédibles où l'atmosphère devient lourde et ennuyante.

Un livre qui démarrait bien et qui finit malgré tout en flop. Faute à un trop plein de lourdeur, de personnages perdus dans leurs ombres, une solitude où l'amour ne sauve pas, ne protège pas. Tout est lourd et abstrait dans cette histoire. J'ai eu au final l'impression de traverser un brouillard dense sans rien apercevoir. Ni le jour ni la nuit. Une histoire trop subtile, incertaine et floue qui ne restera pas gravée dans ma mémoire.
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L'enfant Enzo est trop gentil, il essaie de se conformer à sa mère, un peu excentrique, vêtue de panthère moulante, faisant le ménage de façon répétitive, pratiquement hypnotique, chez de grands bourgeois qui partent en voyage pour leurs affaires, et rentrent brusquement, sans prévenir.
La relation entre la mère, qui apprend pas-à-pas par amour ce que c'est que d'élever un enfant depuis 12 ans sans toujours y arriver (ses actes et ses convictions ne sont pas toujours associées : elle lui achète du Nutella et lui interdit de le manger) et Enzo, qui la regarde, qui essaie de ne jamais la contrarier, nous enchante par tous les sentiments « en vérité » qui sont exposés.
« Elle aussi devait avoir un chagrin en sommeil, une peine en cage qui lui donnait parfois l'air méchant, et, tout de suite après, un peu effrayé d'elle-même, et alors elle demandait pardon. »
Enzo est un souffre-douleur au lycée du quartier chic : il est différent, il est trop gros, et il ne se rebelle jamais, il souffre, c'est tout, « victime idéale, sensible et stupide au point de se faire envoyer chez le directeur » quand les autres enfants lui crachent dans le dos.
Avec une écriture émotionnelle qui fait monter les pleurs, Véronique Olmi réussit à nous faire attendre le pire, puisque le harcèlement existe dans le monde des adolescents, «  cette petite société pleine de bruit et de rancoeur, d'envie et de désoeuvrement ».
Ils ne savent pas bien pourquoi ils s'acharnent, c'est comme ça, ils ne peuvent pas voir Enzo en peinture, et, en même temps, il leur appartient.
Et puis le pire arrive, et ce qui est particulièrement touchant jusqu'au pathétique, ce sont les phrases de l'auteur :
« Ce moment de torture, ils le partagent bien plus qu'ils ne le croient, chacun d'eux en souffrira, et pour toujours… Ils auront des reflux gastriques, des migraines et des phobies, ils auront des tics et des angoisses soudaines, ils aimeront des femmes dont ils se détourneront sans comprendre pourquoi et ils fuiront la beauté de leurs fils, ils craindront la sensualité et la délicatesse, ce seront des ricaneurs, des sournois, des pervers narcissiques, des patrons colériques, des amis inconstants et des mendiants. »

Bouleversant, angoissant, attendrissant, épouvantable, ce qui reste du roman en vérité, c'est l'amour en équilibre mais profond entre une mère et son fils.
Très beau roman, par l'écriture soignée, les sentiments fondants bien que retenus entre les deux personnages principaux, et l'analyse des conséquences des actes haineux d'adolescents trop sûrs de la force de leur pouvoir.
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Il nous est dit dans la 4ème de couverture que Véronique Olmi renoue avec la tension narrative de « Bord de mer ». Ayant été bouleversée par ce roman, j'ai eu envie de poursuivre un peu avec cet auteur. Il s'avère toutefois moins noir, des petites touches de couleurs, des petites lumières viennent apporter un sourire ici ou là et surtout un espoir, une ouverture.
« La nuit en vérité » est un livre sur la différence, la différence de classes sociales, la différence de nationalités, la différence d'apparence physique. On s'aperçoit que quelle que soit la différence, elle dérange, elle est l'objet de moquerie, d'ignorance donc d'une certaine peur, de harcèlement. Accepter l'autre, reste dans notre société, au 21ème siècle, encore bien difficile. le chacun chez soi, bien uniformisé semble de rigueur !!!
Liouba, jeune maman de « pas encore trente ans » élève seule son fils Enzo de 12 ans. Tous deux vont vivre dans une petite chambre chez de riches marchands d'art, lieu où elle va être femme de ménage. Enzo va pouvoir suivre ses cours dans un collège de ce quartier aisé mais il n'arrivera pas à se faire accepter et sera victime de rejet. Il va aussi être obsédé par son père, ses origines qu'il ne connait pas et que sa mère Liouba refuse d'évoquer.
L'amour qui existe entre Liouba et Enzo est souvent maladroit , dans la retenue, mais il est fort, et touchant. Enzo fait preuve de beaucoup de tendresse, de délicatesse et d'amour envers sa mère tout comme dans « bord de mer » et fait fondre la lectrice que je suis.
Véronique Olmi est maître dans l'art de l'intime, elle nous offre ici un roman intense et d'une grande finesse psychologique.
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Enzo Popov vit avec sa mère dans un somptueux appartement parisien. Il habite un quartier très prisé. Il fréquente un collège prestigieux. Il a tout pour être heureux.
Oui mais dans cet appartement fabuleux, Enzo et Loubia partagent la même chambre, que le couple de riches propriétaires leur cède en échange de 8 heures de ménage quotidien. Au collège, Enzo est la tête de turc des élèves de sa classe. Il est obèse, il est le « fils de la bonniche », peut-être même que sa mère est une prostituée de l'Est…
Quand la tyrannie se transforme en passage à tabac, Enzo fuit en lui-même, son imagination nourrie par ses nombreuses lectures. Pendant que Loubia le veille, l'adolescent se reconstruit mentalement et décide de quitter un endroit où il n'est pas à sa place pour partir sur les traces d'une famille dont il ignore tout.


Avec la justesse et la douceur qui caractérisent son écriture, Véronique OLMI nous raconte l'histoire d'un adolescent décalé, qui n'est pas à sa place dans une vie que sa mère, trop jeune, apprentie maman, a voulu, pour son bien. Mal à l'aise dans son appartement, dans son collège, dans son corps même, Enzo va peu à peu prendre conscience de lui-même et s'échapper grâce à la lecture.
C'est l'histoire d'un couple mère / fils qui s'aiment très fort sans trouver les mots pour le dire, une histoire tout en pudeur sur la conscience de soi, la libération, l'évasion. Enzo, garçon solitaire, isolé, maltraité, est un héros bouleversant mais pas seulement, parce que La nuit en vérité est aussi un hymne à la vie, celle qui est belle, celle où tout est encore à découvrir et qu'on aime envers et contre tout.
Une belle évocation de l'adolescence, de la maternité et de l'espoir, un livre magnifique, comme toujours avec cette auteure sensible.
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Enzo est le fils de Liouba Popov d'origine russe comme son nom l'indique. Ils habitent tous les deux dans un grand appartement dont les propriétaires sont toujours en voyage. Liouba doit y faire le ménage et comme cet appartement est situé dans un quartier grand standing, Enzo a pu être inscrit dans un bon collège.
Parlons-en du collège pour les riches du coin. Liouba croit donner toutes les chances de réussir à Enzo mais il ignore qu'il est le souffre douleur de la classe. Il est obèse car amoureux du Nutella, et toujours « assis sur son cul d'obèse à lire», habillé d'un survêtement noir (le noir mincit c'est connu), sa mère est femme de ménage et il est né de père inconnu donc le bouc émissaire idéal on trouve même qu'il a une odeur !!!!
Ils sont logés, certes mais doivent dormir dans la même chambre, donc intimité impossible elle doit s'exiler dans le salon quand elle revient de virée nocturne hebdomadaire avec un amant de passage auquel elle présente toujours son fils qu'elle croit endormi : « c'est mon fils, il est beau hein ?» mais Enzo entend leurs ébats.
Liouba doit faire le ménage huit par jour, mais elle travaille beaucoup plus que cela, ses mains sont usées par les lavages de doubles-rideaux intempestifs, la façon dont elle récure chaque pièce du sol au plafond dans cet appartement immense car les propriétaires reviennent toujours à l'improviste à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit.
Un jour, Enzo découvre un débarras dans l'appartement, et fait une rencontre qui va changer son existence.
On assiste à l'évolution de ce couple qui n'en est pas un et que je vous laisse découvrir…


Ce que j'en pense :

J'ai éprouvé beaucoup de tendresse et d'empathie pour Enzo. C'est un adolescent qui se cherche et qui est différent des autres donc une victime toute trouvée pour ces ados en herbe qui trompent leur ennui en le martyrisant. Il m'a rappelé des souvenirs d'école : ce n'est jamais drôle d'avoir des kilos en trop dans l'enfance, les enfants ne font pas de cadeaux c'est connu, mais autrefois il s'agissait de moqueries sur le physique (grosse patate ou clou pour les trop maigres) et encore pire quand on se réfugie dans les livres et qu'on a envie de travailler bien en classe.
A l'heure actuelle, on en est à la maltraitance pure et simple, frapper, cracher dans le cou ou sur le visage, rouer de coups…..
Enzo finit par quitter son corps, il est au dessus mais cela n'empêche pas les coups de pleuvoir. (cf. la journée organisée pour lui via les réseaux sociaux à la quelle il échappe par miracle) il se réfugie dans ses amis les livres (le propriétaire a une immense bibliothèque qui le fait rêver). Mais ils se vengeront et de quelle manière.
Un beau roman intéressant à plus d'un terme : l'évocation de la violence en milieu scolaire et de la souffrance, de la torture que subit un enfant parce qu'il est différent, alors qu'il voudrait se noyer dans la masse. Et aussi, l'auteure évoque très bien la souffrance d'une femme enceinte trop jeune qui n'a pas vraiment vécu une adolescence lui permettant de devenir une adulte en paix et qui cherche elle- aussi à être comme tout le monde. On ne lui a pas appris à être mère, elle a dû apprendre toute seule, guidée par son amour pour son fils et son bon sens.
Véronique Olmi nous envoie un uppercut pour nous faire réfléchir sur tous ces thèmes et elle réussit parfaitement.
Liouba est un joli prénom qui dérive du mot Lioubov qui signifie amour en russe
Note : 8/10
et plus sur mon blog
Lien : http://eveyeshe.canalblog.co..
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critiques presse (2)
Telerama
04 décembre 2013
Il y a de la nuit et du jour dans ce saisissant roman-là, mené comme un thriller. De l'épouvante et de la tendresse. Du tragique et de la légèreté. Du recommencement encore possible...
Lire la critique sur le site : Telerama
Lexpress
24 septembre 2013
Très tenu et fort bien charpenté, La Nuit en vérité est comme toujours une oeuvre de tension, de liberté, et de grande émotion.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Citations et extraits (80) Voir plus Ajouter une citation
C'est déjà fini, se répète l'enfant, c'est déjà fini. Mais ça ne finit pas. C'est la nuit mais il n'y a ni étoile ni lune, juste une force d'attraction terrible, une chute interminable. Il n'a aucun repère. Est-ce lui ce type sans slip qu'on force à ramper dans le vomi ? On le filme et il ferme les yeux, comme si ne pas regarder le téléphone portable le soustrayait à l'appareil. Mais la vidéo à peine finie est postée sur Facebook. Est-ce à lui, cette douleur en bas des reins ? Il reconnaît ses propres cris et sa morve coule dans sa bouche. On ouvre sa peau, on la déchire lentement, maladroitement, une capsule s'enfonce en vrille dans sa chair, qu'est-ce qu'ils inscrivent ? Je ne le verrai jamais, il pense. Comme un veau. Une bête à l'abattoir qui ne comprend pas ce que le fer a marqué. Je suis un petit veau. Etrangement, cette pensée le soulage un peu, il est à part, on l'a capturé et il ne peut se défendre, ce n'est pas une soumission, c'est une acceptation. La vie, c'est cela aussi. Cette fille qui crie "Enfonce-lui ! enfonce-lui ! ", elle a une voix trop aigüe, il semblerait qu'elle va en mourir, elle en mourra un jour et elle ne le sait pas. Cette autre qui applaudit en dansant, ce garçon qui l'insulte sans reprendre son souffle, et celui qui approche un briquet de ses poils pubiens, tous soudain, Enzo les voit comme ils ne se verront jamais. Et comme ils sont pourtant. Ce moment de torture, ils le partagent bien plus qu'ils ne le croient, chacun d'eux en souffrira, et pour toujours. Cela surgira un jour, une minute, une seconde peut-être, mais cela sera. Pas besoin de vidéo pour s'en souvenir, et plus ils utilisent le corps si vaste, si flasque et soumis du Russe, plus ils captent à leur insu le martyre d'Enzo Popov. Enzo décide de faire jaillir sa douleur, qu'elle les éclabousse tous et les damne, et tous se sentiront coupables sans le savoir jamais. Ils auront des reflux gastriques, des migraines et des phobies, ils auront des tics et des angoisses soudaines, ils aimeront des femmes dont ils se détourneront sans comprendre pourquoi et ils fuiront la beauté de leurs fils, ils craindront la sensualité et la délicatesse [...]. Ils attendront quelque chose qui ne viendra jamais. Une émotion qui toujours se dérobera. Une insouciance inatteignable. En torturant Enzo, ils anéantissent toute chance de bonheur. Leur crime est une ombre qui toujours les accompagnera. Ils ne le savent pas. C'est cela la grande punition. Ne pas connaître la joie. La quiétude. Sans en savoir la raison. Vous êtes maudits, pense Enzo, et toujours vos repos, comme vos moments d'allégresse, seront empoisonnés par cet après-midi où mon sang se mêle à votre pisse. Je ne vous pardonnerai jamais.
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Le silence se fit instantanément dans la classe. Enzo n’avait aucune chance de s’en sortir, il le savait : s’il récitait sans se tromper, on le traiterait de fayot, s’il faisait une erreur, de cancre. C’est déjà fini se dit-il. Mais au travail de la pieuvre, il sut que ça commençait au contraire… ça aurait pu être n’importe où dans le monde et depuis toujours : une salle de classe dans laquelle il y avait trop de monde et pas assez de passion, trop d’ennui et aucune joie. C’était le pays de l’apprentissage et de la bêtise, des satisfactions de groupe, avec ses convictions faciles, ses amitiés de caste, de jeunes adolescents à la conscience endormie, qui n’avaient pas envie de s’encombrer de remords, voulaient sortir de l’enfance et se ruer dans l’âge adulte, sans avoir flâné, sans avoir dérivé dans la marge, car la marge était le lieu effrayant entre tous, le lieu redouté et banni, de la différence. P 50
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Un dimanche ordinaire, où il fut pris dans le loisir commun, le repos dominical, mais dès que le soir tomba, la peur du lundi matin s'empara de lui. Son corps l'avait intégrée, c'était devenu une peur physiologique, une appréhension ponctuelle, et bien souvent il se sentait mal et n'en comprenait la raison que plus tard, la migraine, les crampes abdominales, le coeur lourd, c'était comme une horloge interne qui lui donnait l'heure et le jour : dimanche, 18 heures. Et le compte à rebours débutait, l'enfant était pris dans le piège du temps qui le mènerait aux portes du collège, aucune résistance ne pouvait s'opposer à cela. Quels que soient ses malaises, ses prières et ses réticences, le temps marquerait 8 heures à toutes les montres et tout le monde commencerait la même semaine, le même mois de la même année.
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(...) le sourire que [son fils] lui envoya alors, elle décida de ne jamais l'oublier. Elle le méritait. Chaque jour depuis douze ans, elle improvisait. Chaque jour depuis douze ans, elle faisait face à une situation inconnue. L'enfant grandissait et changeait, et ce qu'elle avait appris la veille ne lui servait plus le lendemain. C'était comme si sa vie de mère n'était qu'une répétition, et lorsqu'elle aurait appris et mémorisé son rôle, Enzo serait un adulte. Elle resterait toute seule avec un savoir qui ne lui servirait à rien, et lui il aurait essuyé les plâtres, voilà tout. Les ordres contradictoires, les maladresses, les revirements, il avait tout encaissé pendant qu'elle apprenait à être sa mère, et il avait été emporté dans des courants contraires, où l'amour se mêlait au découragement et à la fatigue.
(p. 201)
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C'était quoi un père ? Le père de Beethoven était alcoolique. Le père de Tchekhov un parâtre. Le père de Gorki le battait comme plâtre. Le père d'Aragon se faisait passer pour son parrain. Le père de Kafka le terrorisait. Si le père était celui qui vous donnait envie d'être ailleurs, alors Enzo n'était pas orphelin.
Ce désir-là, il l'avait toujours eu, et cette évasion il la trouvait dans des livres écrits par tous ceux qui avaient connu leur père d'un peu trop près.
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Vidéo de Véronique Olmi
Lecture de Véronique Olmi tiré du livre Figures d'écrivains, dirigé par Étienne de Montety.
Découvrez un portrait inédit de la littérature française. La visage, la plume et la voix de 70 grandes figures des lettres réunies pour un cadavre exquis historique.
Pour en savoir plus : https://www.albin-michel.fr/figures-decrivains-9782226436351
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