La signature du tueur

La signature du tueur propose une écriture fluide, à la fois rapide et précise avec une enquête palpitante : complexe et facile à suivre, pleine d'humour, de suspense et de rebondissements inattendus : impossible de deviner qui est le coupable avant les derniers chapitres.



Un clin d'oeil parfaitement drôle et réussi sur l'ambiance des salons du livre, des ressorts en autofocus qui permettent de faire des liens avec le roman l'écrivain mystère.


Une lecture parfaite pour connaître tous les plaisirs et les ressorts du roman policier.
Lien : http://www.liresousletilleul..

Arthur, jeune auteur de policier de 16 ans, profite du salon du livre de Brive pour rendre visite à Thomas, son ami qui a déménagé dans cette ville il y a un an, après avoir été percuté par une voiture. Il vit là-bas seul avec son père, sa mère étant décédée dans ce terrible accident. Lui-même n'a plus l'usage de ses jambes et a donc dû s'adapter au fauteuil roulant. Dans le train qui l'emmène à Brive, Arthur fait la connaissance d'Anne, sympathique jeune fille qu'il présentera à son ami Thomas, lesquels se plairont mutuellement. Mais quand Thomas se fait agresser avant son entraînement d'handi-ball, le week-end prend une autre tournure.
Un roman intriguant, qui tient en haleine. L'auteur crée mine de rien une ambiance intéressante alors que le pitch/décor de départ est très banal : un petit salon du livre et des retrouvailles entre amis. On s'attache aux personnages. Petit à petit ils se mettent à enquêter sur l'agression de Thomas et le mystère se corse. le suspense monte crescendo, comme dans tout bon polar.

Arthur est invité à un salon du livre dans la ville de Brive où son ami Thomas a déménagé après l'accident qui a coûté la vie à sa mère tandis qu'il était immobilisé dans un fauteuil.
Mais les ennuis de Thomas continuent : un homme masqué l'agresse à deux reprises. Arthur ne peut s'empêcher de mener sa propre enquête.
Comme dans Ce que je n'aurais pas du voir, l'enquête mené par Arthur est haletante, notamment parce quelle tient en quelques heures, le temps du salon. Il écrit le soir pour y voir plus clair et son texte adopte le point de vue du meurtrier : même s'il ne sait pas qui il est, cette façon de faire aide le jeune homme et lui permet de commencer un nouveau livre. J'aurais aimé plus de moments d'écriture il n'y a que trois soirs dans l’histoire.
Il décrit bien l'ambiance "salon du livre", sa rencontre avec un auteur à succès (qu'il sera même amené à soupçonner)et ça doit être une cure de jeunesse pour l'auteur qui se met dans la peau de son personnage de 17 ans !


Lien : http://livrelibre.blog.lemon..

Super livre à lire absolument...!