Philippe Sollers/5
4 notes
Trente-six ans après le Sollers écrivain (enfin repris en livre de poche à cette occasion), Philippe Sollers consacre un livre à celui qui fut son ami, dans le partage d'une foi entière en la littérature comme force d'invention, de découverte, d'innovation.
Ils se voyaient régulièrement, échangeaient beaucoup, et ont partagé des combats importants, contre les académismes de tous genres, contre les régressions politiques ou idéologique... >Voir plus
Résumé :
Trente-six ans après le Sollers écrivain (enfin repris en livre de poche à cette occasion), Philippe Sollers consacre un livre à celui qui fut son ami, dans le partage d'une foi entière en la littérature comme force d'invention, de découverte, d'innovation.
Ils se voyaient régulièrement, échangeaient beaucoup, et ont partagé des combats importants, contre les académismes de tous genres, contre les régressions politiques ou idéologique... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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C'est un Philippe Sollers désinvolte qui publie ce livre hommage à Roland Barthes. 'Publie' et non pas 'écrit' car à part les 28 premières pages, le reste est le résultat d'un collage/recyclage de textes écrits en d'autres occasions et des lettres et cartes postales que Barthes a envoyées à Sollers entre 1964 et 1979.
Il s'agit certes d'un hommage à Barthes mais aussi d'un auto-panégyrique. Sollers prend visiblement un grand plaisir à mettre en avant les éloges dithyrambiques écrits par Barthes à son égard.
Le texte publié en 1971 dans la revue Tel Quel est quasi illisible et abscons. Sollers se vautre dans un verbiage incompréhensible. L'article publié dans Le Nouvel Observateur est essentiellement consacré au désir inassouvi de Barthes pour les mâles chinois lors de son voyage dans l'empire du milieu en 1974.
Très décevant.
Il s'agit certes d'un hommage à Barthes mais aussi d'un auto-panégyrique. Sollers prend visiblement un grand plaisir à mettre en avant les éloges dithyrambiques écrits par Barthes à son égard.
Le texte publié en 1971 dans la revue Tel Quel est quasi illisible et abscons. Sollers se vautre dans un verbiage incompréhensible. L'article publié dans Le Nouvel Observateur est essentiellement consacré au désir inassouvi de Barthes pour les mâles chinois lors de son voyage dans l'empire du milieu en 1974.
Très décevant.
Citations et extraits (2)
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Ceux qui ne savent, ne peuvent et refusent même de se prendre au sérieux ne parviennent presque jamais à se faire des amis. La désinvolture désarme les meilleures volontés et inquiète ceux qui ont foi dans la grandeur de l'amitié
Pour savoir si un ami est vraiment un ami, il faut être sûr qu'on ne lui prête aucune arrière-pensée.
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Dialogue autour de l'oeuvre de Philippe Sollers (1936-2023).
Pour lire des extraits et se procurer l'essai SOLLERS EN SPIRALE : https://laggg2020.wordpress.com/sollers-en-spirale/
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