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Le carnet de Théo tome 1 sur 3
EAN : 9782700237542
297 pages
Rageot Editeur (12/10/2011)
3.97/5   146 notes
Résumé :
Dans ma bulle est le premier volume du Carnet de Théo, une trilogie pour les 12-15 ans, dont chaque volume se déroule au fil d’une année scolaire. Familière du Japon, dévoreuse de mangas et de BD, Éléonore Cannone propose une histoire très originale. Sensible dans ses provocations et ses passions artistiques, rédigeant des listes d’une drôlerie rare, son héroïne est irrésistible. L’utilisation du dessin comme révélateur de ses humeurs sonne particulièrement juste e... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (40) Voir plus Ajouter une critique
3,97

sur 146 notes
Voilà déjà un bout de temps que ce livre me faisait de l'oeil. La couverture m'intriguait énormément de part le fait que le personnage ressemble aux personnages de mangas que j'affectionne tant. Un jour lors d'un petit tour sur le net je me décide enfin à le commander ! Ma patience à des limites et oui !

Du point de vue de l'histoire, dans ce livre, nous rencontrons Théodora dite Théo une collégienne au style androgyne qui se décide à tenir un carnet de bord dans lequel elle note toutes ses impressions, ses états d'âme, sa vie,… Non non ce n'est pas un journal intime. Elle y parle de son copain et amis de classe, de son chat Kyô, de ses parents. Toutes ces descriptions sont souvent accompagnées de dessins que Théo fait elle-même. Elle à un sacré coup de crayon ! Beaucoup d'entre vous pensent que ce livre est un manga mais ce n'est pas du tout le cas c'est bel et bien un roman jeunesse qui est juste accompagné de quelques dessins en plus. La relation avec ses parents est quasi inexistante. Un jour il décide de l'emmener consulter un psy afin de comprendre l'attitude de leur fille. A la sortie de sa seule et unique séance Théo va faire la connaissance de Takeshi un vieil homme qui lui conseillera de tenir un journal dans lequel elle pourra écrire tout ce qui lui passe par la tête et qui pourra certainement l'aider à se trouver et à se comprendre elle-même.

Du point de vue des personnages, Théo est une jeune fille plutôt garçon manqué. Elle est très seule et son apparence n'arrange pas les choses. Elle n'a pas de réelle relation avec ses parents ce sont plutôt des fantômes qui se contentent de se rappeler de temps en temps qu'ils ont une fille. Théo ne maque pas du tout ses mots et est très sarcastique. J'adore ! Elle semble avoir un tempérament plutôt dur mais cela cache aussi une timidité et un côté réservé. le fait de tenir ce carnet de bord l'aidera à évoluer et à se transformer. Elle deviendra plus accessible, plus sociable avec les autres. Un autre personnage très attachant dans ce livre est celui de Takeshi qui est pour moi l'incarnation de la sagesse et de l'amitié pure même s'il conserve très bien une part de mystère sur lui et sa vie.

En ce qui concerne le style et l'écriture de ce livre j'ai totalement adhéré au concept ! L'écriture est très fluide et très aérée. le livre se lit très facilement et nous happe dès les premières pages. Il est totalement impossible de le lâcher une fois la lecture commencée. La mise en page plutôt particulière est très agréable et les diverses illustrations nous permettent vraiment de nous imaginer les personnages, les différents décors et évènements,…

J'ai énormément apprécié ce livre. Vous n'êtes pas sans savoir que je suis une fervente amatrice de tout ce qui à attrait au Japon. Il y a de nombreuses références aux mangas, à la musique, aux jeux vidéos, à la culture japonaise. de quoi me combler ! Mais pas de panique pour les personnes ne connaissant pas trop le monde japonais il y a un petit lexique à la fin du livre qui vous aidera à comprendre tous les termes employés lors de votre lecture. Mais j'avoue que la lecture est plus facile si les termes sont connus à la base car il n'est pas toujours plaisant de devoir constamment se rendre à la fin du livre et d'interrompre sa lecture pour comprendre.

Un premier tome qui sera pour moi un énorme coup de coeur ! Ce livre m'a fait sourire. Tous les ingrédients qui me font craqués sont au rendez-vous ! Humour, jeune fille rebelle mais qui cache une timidité, sarcasme, culture japonaise, dessins au style manga,… Que du bonheur ! J'ai passé un excellent moment avec ce livre et je ne peux que vous le conseiller ! Vous adorerez surement ! Encore une petite chose: vivement le tome 2 !
Lien : http://addictionbooks.wordpr..
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Ce roman se présente sous la forme d'un journal illustré ; Théo nous prévient qu'il n'y aura ni rose ni paillettes. On sent dès les premières pages toute sa colère et son anticonformisme. Elle essaie chaque jour de faire le point sur ce qui s'est passé, ce qu'elle a ressenti, mais n'arrive pas toujours à s'y tenir. Elle gribouille des dessins dans les marges pour illustrer ses humeurs et les bêtises de son chat. J'aime beaucoup le coup de crayon de Sinath et c'est surtout pour elle que j'ai eu envie de tester cette saga. J'ai été néanmoins déçue, non par la qualité des illustrations mais par leur répétition. On en fait rapidement le tour et après plusieurs utilisations de la même image, le concept perd de son charme et de son originalité. La plume d'Éléonore Cannone s'adapte bien à la vision d'une adolescente prise à rebrousse-poil et nous plonge en toute simplicité au coeur de son quotidien.

Théo est en classe de troisième dans un collège catholique très sélect et bien pensant. En pleine crise d'adolescence, elle n'en supporte pas l'ambiance stricte et les consignes rigides, et n'est pas non plus d'accord avec ses parents sur le choix du lycée à intégrer l'année prochaine. Alors elle se rebelle en adoptant un look androgyne, en coupant ses cheveux très courts et en les teignant en noir corbeau. Ses vêtements sombres et troués et ses bagues tête de mort dérangent partout où elle passe mais c'est pourtant seulement ainsi qu'elle se sent elle-même. Loin de se préoccuper des garçons, du maquillage et de la mode, Théo(dora) est une otaku : elle adore les mangas, les jeux-vidéo, le rock visual kei,… Si elle le pouvait, elle dessinerait tous les jours du matin au soir.

Elle n'a qu'un seul ami : Samuel, gentil et effacé, qu'elle doit souvent défendre lorsqu'il se fait malmener par leurs camarades de classe. Ses tendances à la confrontation et les bagarres qui s'ensuivent ne viennent pas arranger son dossier scolaire côté comportement. Car côté examens, Théo est très intelligente et travailleuse. Ses parents brillent par leur absence. Quand ils sont là, soit ils se disputent, soit ils sont d'une totale indifférence à son égard. L'ambiance glaciale de la maison est heureusement illuminée par Rosario, la femme de ménage, très maternelle avec Théo et elle-même maman de Leandro, un garçon avec qui Théo chahute et s'entend à merveille. Mais ses parents s'entêtent à formater leur progéniture, envers et contre tout. Théo ne manque de rien -ils sont aisés- mais souffre beaucoup de leur manque de communication.

Résultat des courses : on l'envoie rapidement consulter un psy. À la sortie de la première séance, elle rencontre un mystérieux asiatique, Takeshi. Elle sautera les séances suivantes dans l'espoir de le revoir ; des fois son plan fonctionnera, d'autres pas. Takeshi est aussi insaisissable qu'un courant d'air mais apporte beaucoup à la jeune fille. Il s'intéresse de près à ses dessins, l'encourage à se lancer dans une bande-dessinée, la conseille et la guide. Elle l'imagine tour à tour mangaka, puis yakuza, elle se pose mille questions à son sujet et évoluera beaucoup à son contact. Il deviendra son mentor dans bien des domaines.

Avec tout ça, Eléonore Cannone nous brosse un portrait complet de son héroïne : Théo est une adolescente cynique et désabusée, qui cherche à comprendre où est sa place mais aussi d'où elle vient. Malheureusement, le récit est assez brouillon, il manque un fil conducteur pour vraiment se prendre au jeu. Il s'agit d'un journal intime, certes, mais enchaîner sans arrêt des grommellements se révèle assez répétitif, voire indigeste. le contexte gagne néanmoins en profondeur et Théo trouvera des réponses à ses questions, même si ce n'est pas forcément celles auxquelles elle s'attendait.

« Dans ma bulle » s'est révélé être une lecture sympathique malgré ses défauts. le sens de la répartie de Théo dynamise le tout et même s'ils manquent de diversité, les dessins apportent un vrai plus au roman. Léger et percutant à la fois, il saura séduire le public visé par l'éditeur (à partir de 12 ans). Mieux vaut cependant être initié au monde du manga et aux termes japonais rattachés aux centres d'intérêt de Théo pour en apprécier pleinement la saveur. J'imagine que pour les néophytes, devoir sans arrêt se référer au lexique en fin de tome ne doit vraiment pas faciliter l'immersion dans l'univers. Je ne me précipiterai pas sur le second tome, mais ayant envie d'en apprendre plus sur l'avenir de Théo, je pense tout de même lire la suite à l'occasion.
Lien : https://dragonlyre.wordpress..
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Je suis complètement tombée sous le charme de Théo et de son journal! Eléonore Cannone nous présente ici un roman complètement atypique, j'ai même envie de dire un ovni dans le monde du roman pour ado... En effet, elle marie avec tendresse, humour et imagination l'histoire d'une ado mal dans sa peau - qui se pose des tas de questions sur son passé, sur son présent, sur qui elle est réellement - et le monde des mangas.

Ce roman est présenté comme étant le journal intime de Théo. Suite à un petit conflit dans son collège, ses parent désirent qu'elle consulte un psychologue. En effet, depuis quelques temps, son comportement a énormément changé : de blonde elle est devenue très brune, elle s'habille tel un personnage de manga, elle s'enferme dans sa chambre et même si elle est bonne élève, elle consacre tout son temps libre à sa passion : les mangas! A l'issue de sa première séance avec le psychologue, elle va rencontrer Takeshi, un vieux japonais assez mystérieux... Cette rencontre ne va durer que quelques instants mais un petit quelque chose se déclenche chez Théo, elle va se mettre à rédiger ce petit carnet où elle va raconter ses envies, ses émotions, son ressenti... mais elle va aussi décider d'écrire son propre manga... Cette auto analyse va durer plusieurs semaines, et cette rencontre va changer sa vie d'ado.

Vous allez me dire où est l'originalité? Des journaux intimes d'ado mal dans sa peau il y en a d'autres! L'originalité est le thème du manga. L'auteure transmet à son personnage sa passion du manga et de la civilisation japonaise. Il est rempli de référence culturel spécial manga (Black Butler, Black Jack, Clamp, cosplay, Ghost in a shell...). D'ailleurs un petit lexique a été imaginé par l'auteure en fin d'ouvrages!

Pour compléter l'ambiance, des illustrations "mangas" sont parsemés dans tout le récit ce qui le rend dynamique, vivant. Ces illustrations ont été réalisées par Sinath. Ces dessins complètent parfaitement l'ambiance manga voulu par l'auteure! J'aime beaucoup sa couverture. D'ailleurs, elle m'avait attiré en libraire! Elle est fraîche, claire, expressive et elle se démarque bien par rapport aux premières de couvertures assez sombres en vogue actuellement!

J'ai vraiment apprécié la plume d'Eléonore Cannone. Ce journal est à la fois tendre, pleins d'émotions, drôle et énigmatique! Maintenant, je n'ai qu'une envie: lire la suite!!!
Lien : http://wp.me/p1VR1N-7p
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Théo, en classe de 3e 1 dans un collège catholique très strict, tient un "carnet intime" sur son ordinateur. Signe particulier : relate dans celui-ci son année scolaire particulièrement mouvementée, entre des parents aux abonnés absents (sauf pour se disputer entre eux), un meilleur ami champion en gaffe mais pas dans les disciplines scolaires et un tempérament explosif. Défendre son meilleur ami Samuel c'est bien, le faire à coup de poing, surtout dans un établissement catholique huppé peut vous attirer de gros ennuis, et ce n'est pas Théo qui vous dira le contraire.
Notre jeune diariste ne passe pas son temps à se regarder le nombril. Ce qui est raconté et dessiné dans son carnet est tout d'abord fort réjouissant, fort captivant. La bande-son m'a également beaucoup plu, contemporaine sans se vouloir absolument en phase avec l'actualité. Un roman qui s'ouvre par un morceau de Placebo, dont ma meilleure amie et moi fûmes de grandes fan ne pouvaient que me séduire. Je ne vous parle pas (trop) non plus de Kyo, que Théo a sauvé d'une mort horrible (mais infligée à de trop nombreux félins). Ce charmant félin, à qui une dépression a été diagnostiquée,n'est pas en reste pour commettre quelques bêtises ou vivre des amours impossibles.
Théo a de nombreux objectifs : ne pas terminer sa scolarité dans un établissement catholique en est un et comme ses notes vont de juste moyennes à excellentes dans ses matières de prédilection, il lui faut louvoyer pour atteindre ce but. Autre objectif : échapper à ses séances avec une charmante psychologue qui se fiche de son mutisme mais empoche l'argent de la séance. Une rencontre avec un vieux japonais (à l'âge de Théo, tout est relatif) lui permet de donner le change et change son destin : en lui montrant ses dessins, Théo voit confirmer sa vocation de mangaka.
La narration est particulièrement subtile et agréable. Si vous n'êtes pas fan de manga (ou si, comme moi, vous êtes parfaitement ignare sur la question), rassurez-vous : le récit est suffisamment fluide et enjoué, les notes de fin suffisamment nombreuses pour que vous vous découvriez soudain l'envie d'explorer un peu plus ce genre littéraire. Les illustrations, bien placées, participent pleinement à la construction de l'intrigue (mention spéciale pour celui où l'on voit Théo, Samuel et Kyo en train de regarder un film).
Si la maturité de Théo est exceptionnelle, en dépit d'interrogations bien de son âge, il faut en chercher la cause dans un passé qui lui sera peu à peu dévoilé. Sa vie et celles de ses parents ne sont pas les seules à comporter des zones d'ombre que ce soit celle de son ami japonais ou des parents de son ami Samuel.
Vivement la suite !
Lien : http://le.blog.de.sharon.ove..
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Je viens de terminer le Carnet de Théo, lu d'une traite. Il m'a fallut un bon moment avant de comprendre que Theo, en réalité Théodora est une fille. L'auteur se fait d'ailleurs un plaisir de nous tromper à ce sujet. J'ai vraiment beaucoup aimé le concept, ce mélange entre journal intime et manga. N'étant pas très calée en culture manga, j'étais bien contente de trouver le petit dictionnaire en fin d'ouvrage.
La lecture est agréable, le style, lié au caractère bien trempé de Théo, est plutôt bon et l'humour bien présent.
Les personnages sont excellents et je me suis prise d'affection pour eux.
En résumé, un très bon premier tome du carnet de Théo, de belles illustrations qui m'incitent à lire la suite de ses aventures.
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critiques presse (1)
Ricochet
25 novembre 2011
Emouvant, drôle, bien écrit et surprenant, ce premier tome a toutes les qualités pour capter l’attention du jeune adolescent et l’inciter à suivre la vie de Théo. Des questions restent en suspens, l’émotion grandit et, aux dernières pages, le jeune lecteur n’aura qu’une envie : s’emparer du tome 2 au plus vite.
Lire la critique sur le site : Ricochet
Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
Mes parents ne se sont pas foulés. Eux aussi m'ont offert de l'argent plutôt qu'un vrai cadeau.

Conclusion, je suis riche.

Conclusion bis, personne ne s'intéresse à moi. Personne ne connaît mes goûts. Tout le monde s'en fout!

Surprise! Samuel m'a offert les premiers tomes de Paradise Kises. Dès qu'il est parti, j'ai consulté le résumé de ce shôjo sur le Net. "La très sérieuse lycéenne Yukari n'a qu'une obsession : réussir son entrée à l'université. Son assiduité aux études n'a d'égale que sa phobie excessive des gens. Aussi, quand un garçon tente de l'aborder, puis qu'un travesti lui barre la route, elle s'effraie au point qu'elle s'évanouit." Du vrai, du pur, du lourd!
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Voilà, tu sais tout maintenant. Je me suis lancée dans l'écriture de ce carnet sur les conseils d'un vieux Japonais amateur de mangas.

Mouais.

Quoi mouais?

Non, non, rien. Ce n'est pas une mauvaise idée. La seule difficulté est de s'y tenir.

Je vais le faire. T'as vu tout ce que j'ai déjà écrit!

Tu étais sur ta lancée et tu avais envie de raconter ta rencontre avec ce vieux japonais. J'espère juste que tu vas continuer, c'est tout.

On dirait que t'as des doutes.

Non, non... Mais je te connais. Je sais que la routine c'est pas vraiment ton truc.

Peut-être. Sauf que là je suis grave motivée.

Mmm... Pour l'instant...
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Docteur Haertus
Le seul médecin qui, quand une mère (la mienne) s’inquiète parce que son enfant (moi) refuse d’avaler son verre de lait au petit-déjeuner et tente chaque matin de l’y forcer, se tourne vers l’enfant en question (toujours moi) et lui suggère :
– Tu n’as qu’à vomir ton lait sur ta maman une bonne fois pour toutes et je te promets qu’après elle ne t’ennuieras plus avec ça !
Et vous voudriez que je renonce à un médecin de cette qualité ? Plutôt crever !
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Comme vous me l’avez conseillé, je me suis lancée dans un vrai projet. Je n’ai pas encore d’histoire, ni rien… mais bon… euh… voilà… j’ai commencé par dessiner mon personnage principal. Cette semaine, je compte m’attaquer aux personnages secondaires.
- Déjà ?
- Ben ouais… ai-je hésité.
- Mais votre personnage principal… que fait-il ? Comment- s’appelle-il ? Quel est son but ?
-Euh… Pour l’instant, je n’en ai aucune idée, ai-je reconnu.
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Mon carnet n'a rien à voir avec un journal intime version kawaï. J'ai une aversion sans nom pour les trucs de nanas en général et pour l'étalage des sentiments en particulier. C'est un carnet d'impressions, un carnet de réflexions. En plus, je compte scanner mes meilleurs dessins et les y insérer. Un genre de tableau de bord, quoi !
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