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Le Comte de Monte-Cristo tome 2 sur 2
EAN : 9782070405923
1454 pages
Gallimard (26/08/1998)
4.53/5   3378 notes
Résumé :
1838. Un seigneur étranger, le comte de Monte-Cristo, intrigue le grand monde parisien par son faste extraordinaire, ses manières, raffinées et fantasques, la jeune femme orientale qui vit dans son ombre. Qui – hormis peut-être la belle et mélancolique comtesse de Morcerf – pourrait reconnaître en lui le pauvre marin Dantès, arrêté à Marseille vingt-trois ans plus tôt ? A travers les péripéties d’une vengeance implacable, c’est le Paris de Balzac qui revit dans ce s... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (104) Voir plus Ajouter une critique
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{Cet avis concerne le texte intégral}

Énorme.
C'est vraiment le mot qui me vient spontanément à l'esprit après cette lecture.

Énorme par le volume.
Plus de 1 500 pages.

Énorme par le contenu.
Nous sommes là en présence d'une de ces oeuvres qui semblent dicter les règles de l'académisme romanesque. Une écriture si belle, un style si évocateur et une narration si maîtrisée forcent définitivement le respect.

Énorme par le thème.
Cette vengeance d'Edmond Dantès, que le lecteur fait sienne au fil des pages, éveille en lui des émotions fortes, parfois opposées, et s'érige en archétype incontesté de la Vengeance. Qui ne pense pas au comte de Monte-Cristo lorsqu'on évoque la vengeance ? Et quand on se rappelle que Dumas et Maquet se sont inspirés de faits véridiques, la fascination croît encore !

Énorme par ses développements.
Ici, le bât blesse un peu, avouons-le. Publié en feuilletons comme une majorité de romans-fleuves du XIXème siècle, "Le comte de Monte-Cristo" souffre de longueurs que personnellement j'aurais bien découpées à grands coups de ciseaux, parfois rageurs. Telles des boites gigognes, les aventures s'imbriquent tellement les unes dans les autres qu'elles m'ont souvent évoqué des chemins détournés quand j'aurais apprécié des raccourcis. Toutefois, pas question de sauter une page ou de délaisser ne serait-ce qu'un paragraphe, il faut boire la coupe jusqu'à la lie (ou plutôt sonner l'hallali sur les malfaiteurs).

Énorme par le drame.
Ici aussi un point plutôt négatif en ce qui me concerne. J'ai beau être familière de la littérature de cette période et connaître les dogmes des courants romanesques, quand c'est trop, c'est trop. Nombre de situations m'ont lassée par leur caractère "too much". Trop de larmes, trop de simagrées, trop de circonlocutions, trop de gros sabots parfois aussi. Ainsi, contrairement à beaucoup d'autres lecteurs, je n'ai pas du tout aimé le final, pourtant très attendu. Pourquoi faire autant souffrir et lambiner ce pauvre Morrel quand Dantès tient dans ses mains les clés de son bonheur ? La justification du comte sur ce point m'a parue bien fumeuse...

Mais enfin, malgré ces quelques inconvénients, le roman reste passionnant et mérite largement le voyage. Et puis, c'est du Dumas, c'est comme ça ; ces petits travers, on les retrouve d'ailleurs un peu dans chacun de ses romans.
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Le vengeur est à Paris. L'entame de ce second tome est l'installation de la première étape de cette vengeance. Laquelle consiste d'abord à ruiner le banquier Danglars grâce au mariage de sa fille avec un jeune escroc devenu le prince Andrea Cavalcanti grâce aux faux papiers préparés avec minutie par le comte de Monte-Cristo.

Habitué au train d'enfer du premier tome, le second fait parfois languir le lecteur avec ces préparations de vengance qui prennent le pas sur l'action et les aventures que l'on trouvait auparavant. A l'image de ce premier chapitre, ces ambiances de salon peuvent parfois peser.

Cette réserve mise à part, si le lecteur patiente un peu, il est récompensé quelques pages après, où l'on retrouve les personnages peu recommandables du premier tome dans les hautes sphères de la société parisienne, dans des lieux de pouvoir.
Ainsi, 24 ans après sa mise en prison, Edmond Dantès revoit ses ennemis et la toujours splendide Mercédès mariée à l'ignoble Fernand, devenu comte de Morcef au prix de multiples trahisons.

Il rencontre aussi Villefort, celui qui l'avait fait emprisonner au Château d'If, devenu à présent procureur du Roi à Paris.

Mais, un quart de siècle après, personne ne reconnaît Edmond Dantès. Il sait modifier son apparence et se présente sous de multiples identités sauf la vraie. Seulement, il ne pourra berner Mercédès, l'amour de sa prime jeunesse.

Avec un dénouement haletant, le lecteur est aussi amené à un questionnement sur le coût humain d'une telle vengeance!
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Ça y est.
Je viens de refermer ce tome II, et je crois pouvoir dire sans exagérer que j'ai refermé avec lui une partie de moi. Comme pour le tome I, ma critique sera ni raisonnée ni rationnelle. Je laisserais simplement libre cours à mes sentiments, et Dieu sait qu'il y en a beaucoup.
Par où commencer ? le fond ? la forme ? Je ne sais pas.
Ah, quelle belle idée m'a pris ce jour de janvier ou j'ai décidé d'emprunter le Comte de Monte-Cristo à la bibliothèque... Si j'avais su l'impact qu'il aurait sur moi je l'aurais lu il y a des années.
Y a-t-il un seul défaut dans ce roman ? Y a t-il une seule chose qui le ternisse aussi minime soit-elle ? Je cherche et je ne vois pas. Chaque mot, chaque phrase, chaque lieu, chaque scène, chaque personnage, chaque dialogue, chaque description, tout absolument tout m'a transcendé, tout m'a heurté de plein fouet, en pleine figure et en plein coeur. Tout m'a chamboulée. Tout a été grandiose.
Alexandre Dumas est-il un génie ? le soleil se lève t-il à l'est ?
Mais essayons de retrouver nos esprits et de revenir à ce fameux tome II. On entre de plain pied au coeur de la gigantesque vengeance orchestrée par Edmond, on en voit les rouages s'enclencher et on s'en délecte délicieusement. On avance avec Edmond, mais aussi avec Maximilien, Valentine, Albert et tous les autres personnes qui gravitent autour de lui dans cette nouvelle "vie" parisienne qu'il s'est construite. Et à beaucoup d'entre eux on s'attache.
Néanmoins on a qu'une hâte ; découvrir de quelle manière Edmond va-t-il anéantir Fernand, Danglars et Villefort. Mais en même temps qu'on ne veut pas voir cette histoire se terminer, ni quitter cette merveilleuse aventure, on est pressé de voir leur chute. Et une fois celle-ci arrivée — un par un, car Edmond est minutieux —, on se sent apaisé que justice soit enfin faite.
Edmond lui, ne se sent pas tout a fait apaisé, parce que certains imprévus sont venus se glisser dans son plan rodé, et lui l'âme pure qu'il est, ça l'atteint. Alors il essaie de trouver d'autres bienfaits à accomplir, ne se rendant pas compte qu'il en a déjà tant fait et tant donné, et que les dommages collatéraux survenus ne sont que le fait des méchants eux-mêmes.
Et puis les deux dernier chapitres ont fini de m'achever. Cette fin où l'on retrouve cette innocence qui définissait tant Edmond au début, où l'on voit dans son coeur plus encore qu'auparavant, et on est bouleversée mais heureux qu'il ait enfin trouvé l'amour et la paix auprès d'une personne dont on ne soupçonnait pas l'importance au début de l'histoire (et lui on plus).
Je pourrais parler de ce roman en long en large et travers des heures durant tellement il m'a remué, bouleversé, enchanté, charmé. Dumas a construit avec une extraordinaire virtuosité et une maitrise implacable l'un des plus grands romans de la littérature française. Car il y absolument tout est dans ce roman.
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Le deuxième tome de le comte de Monte-Cristo nous plonge dans la phase plus ou moins philosophique de la vie de Dantès, celui-là qui vient de s'évader de la prison après 14 ans d'emprisonnement. Celui-là qui découvre à nouveau la lumière après de longues années d'obscurité.Comment se réintégrer dans la société dans de pareilles circonstances.

Mais à chaque chose malheur est bon, voici que pendant sa captivité, Dantès rencontre l'abbé Faria, son voisin de prison qui non seulement va lui apprendre les sciences, les langues et la philosophie, il va aussi lui ouvrir les secrets d'un grand trésor enfouis dans les grottes de l'île Monte-Cristo...

De même que Dantès se servira de la dépouille de l'Abbé Faria. Celui-ci, appelé le vieux fou, va mourir d'une crise d'apoplexie, pour sortir de la prison, Dantès occupera bien sûr la place du mort...

Après des recherches assidues dans les grottes de Monte-Cristo, le fugitif découvre le grand trésor...

Alors il devient Simbab le marin, le riche homme qui épargne la mort et la honte au généreux Mr. Morrel qui connait un sérieux déficit financier et un sérieux déficit de la conscience, et la ruine de sa famille...

Le riche homme viendra au secours de Caderousse avec un morceau de diamant contre, d'une manière intelligente, la véracité sur le complot monté par lui et son équipe contre Dantès...

Simbab le marin deviendra le comte de Monte-Cristo, celui qui achète cette île et en fait sa propriété privée ...on entend parler de lui, le grand fortuné, et aussi le grand humaniste, il vient en aide quand il le faut à toute âme qui en a besoin en faisant claquer sa fortune....

Mais tout ne fait que commencer...

La vengeance de notre comte se prépare tout doucement...comme un bon élève du vieux fou de l'Abbé Faria...

Comme toujours, ça se lit avec engouement!!!
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Le second volume du Comte de Monte Cristo, tout aussi magistral que le précédent, nous montre comment la mécanique implacable et méticuleusement préparée dans le premier opus se met en route, sans que rien ne puisse arrêter cette impitoyable vengeance.
Chacun leur tour, méthodiquement, ceux qui ont trahi Edmond Dantès rencontrent des avanies imprévues, qu'ils croient à tort être de simples mésaventures, qui les mènent rapidement à leur perte.
Caderousse, Morcerf, Villefort, Danglars suivent la même trajectoire fatale.
Pour autant, bien que ce roman ait pu être mal considéré au XIXème Siècle, peut-être parce qu'il décrit une impitoyable vengeance qui ignore les préceptes de pardon prônés par la religion, ne nous montre pas moins qu'une vengeance, si elle peut soulager de prime abord, n'en laisse pas moins un goût amer et un sentiment de vacuité.
Le fond de cette histoire est particulièrement riche et il est servi par une langue soignée, des phrases ciselées et un vocabulaire riche qui fait regretter que certaines tournures soient tombées en désuétude.
On dévore ce second tome, car même si on connaît la fin, on n'en est pas moins happé par ce tourbillon intense et par un suspense savamment entretenu.
Une oeuvre admirable qui compte parmi les meilleurs romans que l'on puisse avoir entre les mains.
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Citations et extraits (156) Voir plus Ajouter une citation
Quand à vous, Morrel, voici tout le secret de ma conduite envers vous : il n'y a ni bonheur ni malheur en ce monde, il y a la comparaison d'un état à un autre, voilà tout. Celui là seul qui a éprouvé l'extrême infortune est apte à ressentir l'extrême félicité. Il faut avoir voulu mourir, Maximilien, pour savoir combien il est bon de Vivre.
Vivez donc et soyez heureux, enfants chéris de mon coeur, et n'oubliez jamais que, jusqu'au jour où Dieu daignera dévoiler l'avenir à l'homme, toute la sagesse humaine sera dans ces deux mots :
Attendre et espérer !
Edmond Dantès,
Comte de Monte-Cristo.
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Le 24 février 1815, la vigie de Notre−Dame de la Garde signala le trois−mâts le Pharaon, venant de Smyrne, Trieste et Naples. Comme d’habitude, un pilote côtier partit aussitôt du port, rasa le château d’If, et alla aborder le navire entre le cap de Morgion et l ’île de Rion.
Aussitôt, comme d’habitude encore, la plate−forme du fort Saint−Jean s’était couverte de curieux ; car c’est toujours une grande affaire à Marseille que l’arrivée d’un bâtiment, surtout quand ce bâtiment, comme le Pharaon, a été construit, gréé, arrimé sur les chantiers de la vieille Phocée, et appartient à un armateur de la ville. Cependant ce bâtiment s’avançait ; il avait heureusement franchi le détroit que quelque secousse volcanique a creusé entre l’île de Calasareigne et l’île de Jaros ; il avait doublé Pomègue, et il s’avançait sous ses trois huniers, son grand foc et sa brigantine, mais si lentement et d’une allure si triste, que les curieux, avec cet instinct qui pressent un malheur, se demandaient quel accident pouvait être arrivé à bord. Néanmoins les experts en navigation reconnaissaient que si un accident était arrivé, ce ne pouvait être au bâtiment lui−même ; car il s’avançait dans toutes les conditions d’un navire parfaitement gouverné : son ancre était en mouillage, ses haubans de beaupré décrochés ; et près du pilote, qui s’apprêtait à diriger le Pharaon parl’étroite entrée du port de Marseille, était un jeune homme au geste rapide et à l’oeil actif, qui surveillait chaque mouvement du navire et répétait chaque ordre du pilote.
La vague inquiétude qui planait sur la foule avait particulièrement atteint un des spectateurs de l’esplanade de Saint−Jean, de sorte qu’il ne put attendre l’entrée du bâtiment dans le port ; il sauta dans une petite barque et ordonna de ramer au−devant du Pharaon, qu’il atteignit en face de l’anse de la Réserve.En voyant venir cet homme, le jeune marin quitta son poste à côté du pilote, et vint, le chapeau à la main, s’appuyer à la muraille du bâtiment.
C’était un jeune homme de dix−huit à vingt ans, grand, svelte, avec de beaux yeux noirs et des cheveux d’ébène ; il y avait dans toute sa personne cet air calme et de résolution particulier aux hommes habitués depuis leur enfance à lutter avec le danger.
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Ce qui annonçait l’extrême habileté de l’intendant et la profonde science du maître, l’un pour servir, l’autre pour se faire servir, c’est que cette maison, déserte depuis vingt années, si sombre et si triste encore la veille, toute imprégnée qu’elle était de cette fade odeur qu’on pourrait appeler l’odeur du temps, avait pris en un jour, avec l’aspect de la vie, les parfums que préféraient le maître, et jusqu’au degré de son jour favori; c’est que le comte, en arrivant, avait là, sous sa main, ses livres et ses armes; sous ses yeux ses tableaux préférés; dans les antichambres les chiens dont il aimait les caresses, les oiseaux dont il aimait le chant; c’est que toute cette maison, réveillée de son long sommeil comme le palais de la Belle au bois dormant, vivait, chantait, s’épanouissait, pareille à ces maisons que nous avons depuis longtemps chéries, et dans lesquelles, lorsque par malheur nous les quittons, nous laissons involontairement une partie de notre âme. (p. 767)
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Cette réponse, et surtout le ton dont elle était faite, serrèrent le cœur du pauvre Morrel, mais une compensation lui était ménagée : en se retournant, il vit à l'encoignure de la porte une belle et blanche figure dont les yeux bleus dilatés et sans expression apparente s'attachaient sur lui, tandis que le bouquet de myosotis montait lentement à ses lèvres.
Ce salut fut si bien compris que Morrel, avec la même expression de regard, approcha à son tour son mouchoir de sa bouche ; et les deux statues vivantes, dont le cœur battait si rapidement sous le marbre apparent de leur visage, séparées l'une de l'autre par toute la largeur de la salle, s'oublièrent un instant, ou plutôt un instant oublièrent le monde dans cette muette contemplation.
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Tous les fruits que les quatre parties du monde peuvent verser intacts et savoureux dans la corne d’abondance de l’Europe étaient amoncelés en pyramides dans les vases de Chine et dans les coupes du Japon. Les oiseaux rares avec la partie brillante de leur plumage, les poissons monstrueux étendus sur des larmes d’argent, tous les vins de l’Archipel, de l’Asie Mineure et du Cap, enfermés dans des fioles aux formes bizarres et dont la vue semblait encore ajouter à la saveur de ces vins, défilèrent comme une de ces revues qu’Apicius passait, avec ses convives, devant ces Parisiens qui comprenaient bien que l’on pût dépenser mille louis à un dîner de dix personnes, mais à la condition que, comme Cléopâtre, on mangerait des perles, ou que, comme Laurent de Médicis, on boirait de l’or fondu.
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5:35 - Générique
RÉFÉRENCE BIBLIOGRAPHIQUE : Jean Delacour, Tout l'esprit français, Paris, Albin Michel, 1974.
IMAGES D'ILLUSTRATION : Jean Cocteau : https://filmforum.org/film/jean-cocteaus-orphic-trilogy-testament-of-orpheus Armand Salacrou : https://lotincorp.biz/creation-affiches-publicitaires-etats-des-lieux-ville-douala-1/ Pierre Reverdy : https://lamediathequepatrimoine.files.wordpress.com/2022/09/p5-pr-jeune.jpg Maurice Chapelan : https://www.cambridgescholars.com/news/item/book-in-focus-the-poems-and-aphorisms-of-maurice-chapelan Félicité de Lamennais : https://en.muzeo.com/art-print/felicite-robert-de-lamennais-ecrivain/ary-scheffer Jules Noriac : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jules_Noriac#/media/Fichier:Jules_Noriac_Nadar.jpg Jean de la Bruyère : https://www.ecured.cu/Jean_de_La_Bruyére#/media/File:Bruyere.jpg Henri Duvernois : https://www.delcampe.net/en_GB/collectables/programs/theatre-des-nouveautes-paris-la-guitare-et-le-jazz-de-henri-duvernois-et-robert-dieudonne-1928-1929-1034826850.html Frédéric II : https://www.calendarz.com/fr/on-this-day/november/18/frederick-ii-of-prussia Saint-Évremond : https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_de_Saint-Évremond#/media/Fichier:Charles_de_Marquetel_de_Saint-Evremond_by_Jacques_Parmentier.jpg Louis-Désiré Véron : https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis-Désiré_Véron#/media/Fichier:Louis_Véron_-_engraving_-_Mirecourt_1855-_Google_Books.jpg Romain Coolus : https://picclick.fr/Portrait-Romain-Coolus-René-Max-Weill-Scénariste-Cinéma-225296515824.html#&gid=1&pid=1 Comte de Voisenon : https://www.abebooks.fr/art-affiches/Claude-Henry-Fusée-Voisenon
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