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EAN : 9782848764573
228 pages
Philippe Rey (01/10/2015)
4.17/5   12 notes
Résumé :
Depuis plus d'un demi-siècle, Dominique Fernandez a tissé un lien intime avec Rome, une complicité qu'il souhaite partager ici. Dans ce texte alerte et foisonnant, tel un Cicérone animé d'un véritable amour de l'urbs, il nous raconte les hauts lieux du monde antique, comme le Forum romain, la via Appia ou le Colisée ; évoque les figures puissantes et d'un raffinement extrême que furent Néron et Hadrien ; ouvre les palais de la Renaissance et les villas entourées de ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
Je ne connais pas de meilleur guide que Dominique Fernandez pour préparer notre prochain voyage à Rome. J'ai de merveilleux souvenirs de Palerme et d'Agrigente après lecture du Radeau de la Gorgone , de Naples avec Porporino , j'ai le Voyage en Italie à portée de main. Nous avions emporté Rhapsodie roumaine en Roumanie , préparé un voyage en Russie....

Avec la recommandation de Keisha j'ai téléchargé le Piéton de Rome sur ma liseuse ; ainsi je l'aurai sous la main pendant notre séjour.
Fernandez propose tout d'abord des promenades antiques. Forum, voie sacrée. A l'origine de la ville, au croisement du cardo et du décumanus se "trouvait une fosse faisant communiquer l'univers des vivants et des morts. par dessus, on élèvait un temple à Vesta". Cette référence originelle m'enchante! ainsi que son interprétation du labour du périmètre de Rome par Romulus avec une charrue attelée à une vache et un boeuf "A chaque sexe était assignée une mission distincte. Cette discrimination initiale a légitimé deux mille ans de servitude féminine..."

Il entraîne le lecteur sur la Via Appia. Rencontre entre entre Saint Pierre et Jésus "Quo Vadis?" . J'en profite pour télécharger le roman de Sienkievicz. Je décide d'y faire au moins un brin de promenade. la Domus Aurea me tente "labyrinthe et gigantisme"...
au mausolée d'Hadrien- le château Saint Ange - qui ne sera pas trop loin de notre gîte , puis au Panthéon - incontournable ! j'ai bien peur que nous n'ayons pas le courage d'aller à la villa Hadriana, bien excentrée à une trentaine de km de Rome. Je l'aurais au moins parcourue en lecture! Souvenir d'Antinoüs, j'ai relu l'an passé les Mémoires d'Hadrien de Marguerite Yourcenar.

Une promenade inédite pourrait nous conduire au cimetière où sont enterrés, Shelley, Keats et Severn et enfin Gramsci . Envie de ressortir le DVD des Nuits de la Cabiria qui attend son tour sur l'étagère des films-cultes...et qui a été tourné dans les environs.

Le Piéton de Rome est beaucoup plus qu'un guide de promenades archéologiques ou artistiques! Les chapitres suivants nous font rencontrer les intellectuels romains, écrivains qu'iil fréquentait en 1957 : Elsa Morante, Pasolini, Moravia, Bassani, Calvino, Carlo Levi....et bien d'autres. Réceptions chez Wladimir d'Ormesson. le livre prend un tour mondain. Il nous fait rencontrer un étrange personnage, "Cyclope dans son antre" ou jettatore, écrivain maudit, amateur d'art : Mario Paz. Ma curiosité aiguisée, j'ai cherché sa Casa della vita traduite en français, malheureusement indisponible!

"Y a-t-il encore des écrivains, des personnages de cette stature à Rome ou dans l'Italie?

demande Fernandez qui s'interroge aussi sur la léthargie intellectuelle pendant l'ère Berlusconi. Il raconte la soirée à l'Opéra de Rome le 12 mars 2011 avec la représentation de Nabucco sous la direction de Mutti qui improvisa une harangue et fit chanter le public O mia patria, si bella e perduta.

La promenade du piéton, ou du touriste, reprend par collines, Palais, villas,et jardins, et églises. Je note, surligne, mais vous ferai grâce de mon inventaire de merveilles à visiter.

Au détour d'un chapitre Dominique Fernandez rend visite à un peintre Fabrizio Clerici - surréaliste, grand voyageur, un personnage qui m'intrigue. Par hasard j'ai trouvé sur Internet la Toile Il sonno romano dont il est question ici.

Passage obligé : Vatican avec les oeuvres de Michel-Ange, de Bernin et de Canova. Occasion unique : il a eu la chance de monter sur l'échafaudage où les restaurateurs s'affairaient à nettoyer la Chapelle Sixtine. La passion ds Romains pour la sculpture ne s'est jamais démentie, en passant Fernandez cite deux statues que j'ai eu la chance d'admirer en Sicile et qui m'on laissé une très forte impression : le Satyre dansant de Marara del Vallo et l'éphèbe de Mozia. Il note que " le culte de l'homme nu est bien le trait le plus constant du génie romain", de l'Antiquité jusqu'à aujourd'hui.

"Michel-ange, Caravage et le Bernin, on les croise partout" écrit-il et il propose un itinéraire pour chacun de ces artistes.

"Pour Michel-Ange, la tâche est facile. Ce qui compte est concentré à Saint-Pierre"démarre à S. Luigi des Francesi, passepar la place Navone puis le corso Umberto, le Capitole, le Vatican et la gallerie Borghese...l'itinéraire est indiqué dans le détail ainsi que les oeuvres les plus importantes. j'ai vraiment envie de le suivre.

Il propose également un itinéraire Bernin qui me tente bien.

Pour finir, il recense obélisques et fontaines.

J'ai lu avec grand plaisir cette promenade littéraire qui appelle d'autres lectures, surtout Stendhal et comme je l'ai dans la liseuse je pourrai relire sur place les analyses des oeuvres.



Lien : http://miriampanigel.blog.le..
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Comment résister à cette couverture et à ce titre qui sont autant d'invites à la flânerie dans l'une des plus belles villes qui soient ?
En ce qui me concerne, c'est avec un réel plaisir que j'ai marché dans les pas de Dominique Fernandez. Son érudition alliée à l'évidente passion qu'il voue à Rome m'ont permis de me projeter avec délices dans cette ville dont je foulais avec ravissement le pavé il y a encore quelques semaines.

«ROMA est l'inverse exact d'AMOR», prend soin de nous avertir l'auteur, en guise de préambule. Ceux qui n'y auraient jamais mis les pieds savent désormais à quoi s'en tenir !
Chaque chapitre de ce récit nous propose un itinéraire thématique permettant de poser un regard particulier sur les innombrables trésors de cette ville : fontaines, églises, palais, oeuvres picturales, bien évidemment... Mais ce qui fait la saveur de ces commentaires, c'est qu'ils s'enrichissent des souvenirs personnels de l'auteur et de la mise en perspective qu'il propose constamment. Ainsi, lorsqu'il évoque par exemple l'architecture baroque, il convoque historiens et écrivains pour rappeler que celle-ci est longtemps restée ignorée des visiteurs : au XIXe siècle, on se rendait à Rome pour y découvrir les traces encore perceptibles de l'Empire romain. A cette époque, le Bernin n'était rien...
L'auteur nous fait découvrir les quartiers de cette ville à travers les yeux de Fellini ou de Pasolini ; il nous offre d'entendre la mémorable sortie que fit Ricardo Muti à l'encontre de la politique de Berlusconi à l'Opéra de Rome le 12 mars 2011, à l'occasion du 150e anniversaire de l'Unité italienne ; il nous invite à la table des grands auteurs italiens qui, dans les années 60, se retrouvaient dans des trattorias pour des déjeuners où la conversation était, précise-t-il, « toujours brillante et instructive »...
Pour ma part, les pages consacrées à la Rome impériale et à « l'itinéraire Caravage » sont celles que j'ai préférées.

A la lecture de chaque phrase, on mêle ses propres expériences et ses propres souvenirs de Rome, et on se prend à regretter d'être passé à côté d'un détail qui n'a pas échappé à la sagacité de l'auteur : autant de raisons d'y retourner, si on avait toutefois besoin pour cela d'une quelconque justification...

Est-il possible de se rendre à Rome sans y connaître des moment de grâce ? Croiser le regard d'un jeune garçon assis sur le bord d'un trottoir et voir son visage s'illuminer d'un sourire radieux ; arriver à la villa Medicis un soir de mai, à la tombée de la nuit, et y être accueilli par des lucioles conférant ainsi à ce lieu déjà fascinant un caractère ensorcelant ; être vaincu par des heures de déambulation sous le soleil déjà ardent d'un mois de juin et s'endormir sur un banc de la villa Borghese ; voir ses fils à leur tour s'extasier devant L'enlèvement de Proserpine et admirer cette sublime sculpture en les écoutant raconter l'histoire de cette antique divinité avec leurs mots d'enfants...
Chacun rapporte de cette ville ses images et ses histoires...

Au terme de cette lecture, je n'ai qu'une envie, bien sûr, retourner à Rome pour goûter au bonheur sans cesse renouvelé de me laisser envoûter par ses charmes éternels...
En attendant, il reste le cahier central de ce livre proposant quelques très belles photographies de Ferrante Ferranti, et tous les merveilleux souvenirs que j'ai rapportés de mes voyages...

Lien : http://delphine-olympe.blogs..
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A lire sa bibliographie en fin de volume, qui mieux que Dominique Fernandez pouvait proposer cette promenade romaine?

Dans le premier chapitre que je juge parfaitement introductif, Dominique Fernandez expose bien les difficultés de l'exercice:
"Bêtifier sur les monuments célèbres n'est pas plus sot que ricaner des éloges hyperboliques dont une dévotion de plusieurs siècles les a enturbannés. Il faut conserver la tête froide et l'esprit non prévenu; se garder aussi bien de dénigrer les splendeurs prônées par tant de renommés thuriféraires (...), que de se faire le énième commis-voyageur d'un prêt-à-porter culturel pour touristes nigauds. Je réduirai donc Rome aux quelques impressions fortes, et personnelles, que j'en ai reçues au cours de mes nombreux séjours.
Certains lieux, pourtant illustres, paraîtront négligés, parce que l'auteur les a visités par devoir, sans y éprouver d'émotion. Une telle pompe entoure certains des monuments les plus fameux (...) qu'elle décourage d'y ressentir quelque chose qui ne soit pas convenu. C'est là un des malheurs du voyage à Rome : un excès de faste et de puissance gâche par endroits ce qu'on voudrait trouver beau, si l'on n'était rebuté par tant de morgue et de grandiloquence.(...)
Autre obstacle : comment penser par soi-même, devant des oeuvres commentées cent fois par les meilleures plumes?"

Un long passage que j'ai aussi destiné à montrer combien la plume de l'auteur est élégante, et croyez-moi, lorsqu'il décrit et détaille elle est tout aussi agréable et précise.

Parcourant et visitant Rome depuis une cinquantaine d'années, Dominique Fernandez est un guide idéal; certains chapitres pourraient d'ailleurs servir de 'vrai' guide, ne manquent même pas le nom des rues à suivre. Bien évidemment ses choix de préférences et de détestations sont personnels mais fort variés, à chacun d'approuver ou non.

Le palais de Néron, restauré et ouvert en 2000 (enfin, ce qu'il en reste) mais ça devait être superbe!

Fresques de la Domus Aurea de Néron qui inspirèrent les artistes du 16ème siècle
Cette basilique San Clemente est "le quatrième étage d'autres édifices enfouis sous terre."


http://www.centreaccueilrome.com/basiliques/saint-clement
"Je ne connais pas en Europe d'édifice plus hideux."

Monument à Victor Emmanuel
Dominique Fernandez n'oublie pas la culture ("Rome est devenue un désert culturel, où même l'opéra vient de se déclarer en faillite")(Sa description de la soirée à l'opéra du 12 mars 2011, avec Ricardo Muti, m'a fortement impressionnée) mais il évoque les écrivains et cinéastes qui ont fait la grandeur de l'Italie, tout en n'étant pas originaires de Rome! Fernandez en a connu et fréquenté un bon nombre, Pasolini, Moravia, ...

Un livre assez court (230 pages) que j'ai pris plaisir à parcourir, en dépit de certaines énumérations parfois longues si on n'est pas in loco et d'évocations d'éphèbes peints ou sculptés qui auraient pu être plus rares... (mais bon, l'art est ce qu'il est!)(et Caravage et Michel Ange des p'tits malins)
Lien : http://enlisantenvoyageant.b..
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C'est toujours un plaisir que de se laisser guider ;
de se laisser prendre par la main ;
de se laisser divaguer ;
de s'abandonner à rêver ;
D'ouvrir ou rouvrir les yeux sur des détails qui nous auraient échappés.

Dominique Fernandez a cette force d'écriture qui vous happe instantanément, vous fait quitter votre quotidien pour vous emmener dans des déambulations érudites.
Dans le piéton de Rome, il se fait guide touristique et littéraire de luxe mêlant l'histoire de l'art, à ses souvenirs personnels, à la découverte de la Cité Éternelle.

Appellation qui est née à l'époque impériale, l'urbs aeterna du poète Tibulle sera reprise par Ovide, Virgile et Tite-Live, pour glorifier la puissance d'Auguste et cette vision magnifiée va traverser les âges, devenant la métaphore du pouvoir suprême.
Et c'est ce cheminement que suit l'auteur qui transmet son adoration pour Rome tout au long de chapitres consacrés à la Rome antique (très belles visites de la Domus Aurea de Néron, et de la Villa Hadriana), au Tibre qui a bien changé au fil des temps, aux collines, aux villas et jardins, au Vatican. Il ne manquera pas par moment d'égratigner certaines dérives ou travers.

La Rome baroque n'est pas en reste, le contraire serait étonnant avec Dominique Fernandez, avec ses statues, ses églises, ses places et ses fontaines.
Il nous replonge aussi dans la Rome des années cinquante et soixante, avec l'évocation de dîners réunissant les grands écrivains de cet âge d'or, dolce vita : Moravia, Morante, Pasolini, ...
Mention particulière pour les itinéraires sur le Caravage et le Bernin qui a eux seuls sont aussi magnifiques que ce qu'ils décrivent.

Le piéton de Rome se déguste comme une bonne pâtisserie, comme le dit l'auteur "Nulle part mieux qu'à San Clemente on n'a le sentiment que Rome est faite de couches de civilisations différentes empilées au même endroit", tel un millefeuille. Un feuilletage millénaire, dans une cité dont l'histoire est aussi éternelle que les feuilles que nous laissent ses écrivains.
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Dominique Fernandez est certainement le français qui connaît le mieux Rome. Alors, rien de tel, lorsque l'on part passer une semaine dans la ville éternelle, que d'emporter dans son bagage ce bouquin. Un vrai complément, documenté et subjectif, des traditionnels guides de voyages.

En compagnie de Dominique Fernandez, on est comme avec un ami qui explique les choses que l'on voit, mais aussi celles que l'on ne voit pas, l'explicite et l'implicite. de la Rome antique à la Rome actuelle, et selon des thématiques propres à cette ville le lecteur est porté à la rencontre de personnages et de faits.

Hadrien que l'on croise partout, l'ombre d'Italo Calvino au café Rosati, Bernin qu'on apprend à connaître, le Caravage, Raphaël, Mussolini, le poids de l'Eglise, le rôle du Vatican ... quel délice !

Et les fontaines, et les statues, et les obélisques, chaque instant du piéton de Rome est agrémenté de commentaires qui ne sont pas que des analyses explicatives mais également des opinions, des points de vue, des partis pris.

Bravo (au sens italien du terme) et merci pour ces moments partagés.
Lien : http://animallecteur.canalbl..
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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Rome n'a donc guère changé depuis 1950, c'est l'auteur de ces lignes qui a changé. En 1950, je ne voyais, comme tout être humain, quel qu'il soit, en tout temps, que ce que j'étais, à mon insu, programmé pour voir. Nul n'est à l'abri de cette cécité : les exemples de Goethe et de Stendhal, ces esprits si lucides et indépendants en apparence, montrent à l'évidence, pour notre consolation, que personne ne réussit à être dégagé de son époque, personne à être vraiment original.
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Le mélange - chez Scipione Borghese comme chez Ferdinand de Médicis, mais ce ne sont pas les seuls - d'énergie criminelle et de passion pour les beaux-arts, est le trait le plus fascinant de cette époque. L'admiration pour les chefs-d’œuvre justifiait le poison, le poignard, le pistolet, l'escroquerie, toutes les formes d'abus. Si l'Italie de la Renaissance a laissé une empreinte aussi profonde dans l'histoire, c'est grâce à des personnalités de ce calibre.
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Ce qu’il y a de plus beau et caractéristique est resté cependant intact : le labyrinthe de vieilles rues entre le Panthéon et la via Giulia, les murs chargés de lierre, le murmure amical des fontaines, le jardins ombragés d’arbres centenaires, les parcs semés de ruines, les collines qui servent de piédestal à un palais ou de refuge à un monastère.
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La chapelle Branda est un rarissime exemple à Rome de cette simplicité linéaire et de cette élégance si caractéristiques du Quattrocento toscan. On mesure ce qui sépare le génie romain du génie florentin. A Florence, prévalent le dessin, la mesure, la grâce ; à Rome, dominent la volonté de puissance et l'exhibitionnisme volumineux.
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Le centre historique se réduit à quelques hectares ; le piéton de Rome a tôt fait d'en prendre la mesure et de se familiariser avec ces "pierres" et avec ces "Pietà". Périmètre restreint, immense champ de découvertes.
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