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EAN : 9782919547449
250 pages
Editions Rue Fromentin (14/01/2016)
3.5/5   62 notes
Résumé :
Joan, 64 ans, est confortablement installée dans la première classe d'un avion. Elle voyage vers Helsinki où son mari, un écrivain très célèbre, unanimement considéré comme un génie, doit recevoir une prestigieuse récompense pour l'ensemble de son oeuvre. Tout va donc pour le mieux dans ce couple respecté de tous. Et pourtant... dans cet avion, à c e moment précis, Joan vient de décider de quitter son mari. Elle repense à leur rencontre dans le New York du début des... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (19) Voir plus Ajouter une critique
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Mon avis porte sur l'adaptation de ce roman par Björn Runge :

Aux yeux du monde, Joan (Glenn Close) et Joseph Castleman (Jonathan Pryce) donnent l'image du couple parfait. Elle, l'épouse dévouée qui débarrasse son talentueux mari de toutes les contingences matérielles afin qu'il s'épanouisse dans son art. Lui, qui est devenu l'un des plus grands auteurs américains peut-être même le plus grand.

Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si une nuit, ils reçoivent un appel du Comité Nobel. Joseph Castleman vient d'être choisi pour recevoir la plus prestigieuse récompense, soulignant la reconnaissance de ses pairs, le Prix Nobel de littérature. La stupéfaction passée, les voilà tous deux sautant et riant debout sur le lit comme aux jeunes années de leur mariage.

Interviews, photographes, les enfants sont également mis à contribution. Leur fille enceinte, quelle plus belle image du bonheur peut-on offrir, la descendance est assurée et leur fils David (Max Irons). de son côté, le sourire est plus crispé. Il faut dire qu'il écrit et que son père a du mal s'y intéresser. Mépris du maître à l'égard de l'élève ? Bataille d'égos ? Simple rivalité père-fils ? Finalement le trio embarque pour Stockholm.

Dans l'avion, un journaliste un peu fouille-merde (Christian Slater) qui se verrait bien biographe officiel de l'auteur de renom est là pour jeter un peu d'huile sur le feu. On sent bien que quelque chose cloche mais quoi exactement ?

Joan a prévenu, elle refuse que Joseph la cite dans le discours couronnant son sacre.

De petites phrases en flashbacks, on ne tarde pas à comprendre de quoi il retourne. Aidé par le journaliste sans scrupule, le fils va comprendre lui aussi. Il va repenser à tous ces moments où gamin, son père s'occupait de lui tandis qu'il fallait laisser maman tranquille, enfermée dans son bureau. Et pourquoi son père demande à sa mère quand il ne se rappelle plus du personnage d'un de « ses » livres…

Vous avez compris ? ;)

Si l'effet de surprise quant à la révélation n'est pas vraiment là, on s'en doute depuis le début, l'histoire reste pourtant pleine de suspense et on a envie de savoir comment tout ça va finalement se dénouer.

Joan a supporté beaucoup, l'ombre, l'indifférence et les tromperies à répétitions de son mari. On sent que le vernis commence à craquer, qu'elle arrive au bout d'un cycle. Quand, lors de la cérémonie de remise du Prix Nobel, Joseph passe outre et décide de la remercier, la coupe est plein, Joan explose !

C'est sans doute ma scène préférée de ce film à la réalisation maîtrisée. Glenn Glose y est incroyable, son jeu parfait. On la voit donner le change puis se décomposer.

Moment qui m'a rappelé la scène finale de la saison 1 de sa série Damages lorsque assise seule sur sa terrasse, elle réalise toutes les abjections qu'elle a commise pour parvenir à ses fins et quel monstre elle est finalement. Son visage passe par toutes sortes d'expressions et le dégout de soi la fait éclater en sanglots.


Pour les amateurs de fils et filles de, à noter les présences de Max Irons, fils de Jeremy Irons, dans le rôle de David, le fils, et Morgane Polanski, fille de Roman Polanski et Emmanuelle Seigner, dans un second rôle. Pour les amateurs de séries, à noter celle d'Elizabeth McGovern (la Comtesse de Grantham dans Downton Abbey) dans le rôle d'une auteure dont la rencontre avec Joan sera décisive sur son avenir.


S'il entend se poser comme l'un des meilleurs films de l'année, je ne dirai pas que c'est un grand film mais un des derniers bons films sortis ces derniers mois, adapté du roman de Meg Wolizer, L'Épouse, publié chez Grasset.

On pense à Colette et Willy bien entendu et on pense à toutes ces femmes qui agissent dans l'ombre sans la moindre reconnaissance.

Un Golden Globe bien méritée pour une Glenn Close remarquable en route pour l'Oscar ?

Bande-annonce sur le blog !

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Femme de. Muse de. Ombre de. « The wife », la doublure.
Il n'est pas simple d'être l'épouse américaine d'un écrivain à succès et d'accompagner, un pas en retrait, sa carrière à travers les années 60 et 70 qui laissent encore peu de place aux femmes, en particulier dans le monde de la création littéraire.
Et pourtant ce mari égotiste et volage, tonitruant et séducteur, Joan sait ce qu'il lui doit, comment son effacement à elle a porté sa percée lumineuse à lui.
Aussi, à soixante quatre ans, après quarante ans de vie commune, dans l'avion qui les mènent en Finlande vers le prix littéraire prestigieux qu'il doit recevoir, lui, elle décide de le quitter.

Meg Wolitzer, que je lis pour la quatrième fois, a un talent particulier pour dépeindre avec une mélancolie teintée d'acidité ces personnages de femmes hésitantes aux bords de leur propre vie ; on en retrouvera en effet plus tard dans « the uncoupling » et dans « les intéressants », deux romans à mon humble avis plus aboutis.
Car si le portrait plutôt fouillé de ce couple attachant évoluant dans le milieu intellectuel d'un Greenwich Village au cachet très seventies est plaisant à découvrir, le roman manque un peu de rythme et le lecteur se prend, comme l'héroïne dans sa vie, à se demander qu'il vient faire dans cette histoire et finit, l'oeil distrait, par s'ennuyer un peu.

Reste toutefois des tranches de vie américaine subtilement croquées et réalistes, et une révélation finale qui donne un nouveau sel au roman.
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Joan est déterminée. À soixante-quatre ans, elle est enfin prête à quitter son mari. Et c'est dans les airs, en vol pour la Finlande que cette décision sans appel a surgi. Jo Castelman, son époux depuis une quarantaine d'années va recevoir dans quelques heures le prestigieux prix Helsinki, honorable récompense (« Ce n'était pas non plus le Prix Nobel, bien sûr. On se situait là quelques crans plus bas. Ce prix Helsinki était en somme un cousin un peu arrogant qui avait étoffé sa réputation au fil du temps, grâce au levier fort simple de l'argent... ») saluant sa belle et longue carrière d'écrivain à succès.
Ce voyage est l'occasion pour Joan de dérouler le fil de leur vie ; leur rencontre à l'université – elle l'étudiante douée, lui le professeur d' « écriture créative » – leur liaison – Joe est mariée et père d'une petite fille – leur fugue amoureuse, une vie d'amour et d'eau fraîche – entraînant inévitablement un divorce –, leur passion pour la littérature, leur mariage, leurs enfants, la succession de best-sellers – Joan qui avait un talent indéniable pour l'écriture renonce très vite et devient malgré elle la principale source d'inspiration de son mari, toujours à ses côtés lors de lectures, réceptions et autres recherches documentaires –, le petit monde de l'édition – monde machiste par excellence –, la place de l'écriture dans leur existence – au détriment de leur progéniture – , les infidélités de Joe, ses oeuvres de charité à elle...
Des souvenirs teintés de cynisme, de regrets et d'amertume. Joan dresse un portrait acéré de son mariage avec une grande lucidité.
Un roman foisonnant. Meg Wolitzer conte une vie de couple n'hésitant pas à égratigner au passage la société américaine et ses travers avec brio. J'ai beaucoup aimé le personnage de Joan, une femme prodigieuse qui passe du second plan au premier plan au fur et à mesure de la lecture, se mettant à nu, enlevant son habit d'épouse – et de doublure - pour avoir au final le plus beau rôle.
Lien : https://lesmotsdelafin.wordp..
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Il suffit de lire le titre du roman de Meg Wolitzer pour comprendre que le secret qui « cimente » le couple formé par Joan et Joe n'en est pas un puisqu'on le devine dès le début. A moins d'être complètement crétin...
Joan, étudiante plutôt douée, est promise à une belle carrière dans l'univers de la littérature lorsqu'elle tombe amoureuse de Joe, son professeur de creative writing, un homme marié et père d'une petite fille.
Dans un premier temps, sa position de muse officielle lui sied parfaitement (il dit d'elle : elle se charge du baby-sitting de mon ego). Abandonnant l'université et un job dans l'édition, elle se consacre à bâtir l'oeuvre de son époux. Une quarantaine d'années plus tard, alors que le couple se rend à Helsinki pour que Joe reçoive le prix éponyme, Joan a pris sa décision : elle va le quitter. Imperceptiblement, elle est passée de la passion au mépris pour cet homme égocentrique et infidèle.
Avec un goût prononcé pour les métaphores, Meg Wolitzer décrit avec finesse, cruauté et humour le lent délitement de l'amour. Avec un souci du détail, elle dépeint avec réalisme la médiocrité et la banalité du quotidien tout en magnifiant la magie des rites et des habitudes qui se passent de la parole. On pourrait appeler cela de la complicité si le ménage fonctionnait sur un plan d'égalité. Mais, aux États-Unis dans les années 1950, la femme est victime d'une misogynie diffuse qui concerne même les milieux considérés comme les plus éclairés. Au mieux, elle est un faire-valoir, au pire, elle est transparente. le manque de reconnaissance peut conduire au suicide. Mettre fin à ses jours, c'est ce qu'a choisi l'épouse de Lev Bresner, récipiendaire du Prix Nobel pour avoir fait de la mémoire de la Shoah un véritable business... Joan, elle, a choisi de se venger de l'indifférence de Joe. Et elle le fait de belle manière, ressassant comme un mantra, les années de désillusion et d'idéaux perdus.
Dans La doublure, les personnages ne sont pas sympathiques, ils sont vrais. Et c'est cette sincérité qui nous les rend si proches. Parce qu'ils nous ressemblent avec leurs travers et leurs faiblesses. Joe est narcissique, distant avec ses enfants, mais Joan est lâche d'avoir attendu toutes ces années pour briser une union fondée sur le mensonge et la duperie.
Petite remarque adressée à l'éditeur : ce texte contient trop de fautes d'orthographe !

EXTRAITS
- Quand vous observez le côlon de votre mari en pleine action, quand vous voyez son sphincter étoilé se rétracter de timidité, quand vous suivez l'amble du baryum cheminant dans cette interminable tuyauterie humaine, alors vous savez qu'il vous appartient vraiment, et que la réciproque est vraie.
- Et maintenant il était vieux, avec une hétérogreffe porcine (quel que soit le mode de découpe, c'était toujours de la viande de porc), une prothèse organique en guise de valvule fichée dans le coeur comme un clou de girofle.
- Elle ne comprenait pas ce que c'était que le luxe du familier, du connu : le même dos saillant sous les couvertures, et la même touffe de poils dans la même oreille. L'époux. Une figure qui ne vous inspirait jamais aucun élan, qui ne vous mettait jamais dans tous vos états, mais simplement vous viviez à côté de lui, dans l'enfilade des saisons qui s'empilaient comme des briques tartinées d'un épais mortier gluant. Un mur conjugal se dressait entre vous deux, un lit matrimonial, et vous vous y couchiez avec gratitude.
- Laisse-moi m'en aller maintenant, que je n'aie plus à me réveiller tous les matins de la prochaine décennie avec ta figure satisfaite, avec ton estomac bien rempli qui te prive de la vue sur ton pénis recroquevillé, en position d'attente.
Lien : http://papivore.net/litterat..
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Cet ouvrage a paru une première fois en 2005 et s'appelait "L'épouse" dans une autre traduction.
La narratrice, 64 ans mariée depuis une quarantaine d'années, mère de trois enfants adultes, prend la décision irrévocable, de quitter son mari lors d'un vol pour Helsinki. Son mari, écrivain reconnu et unanimement admiré, doit recevoir un prix prestigieux même s'il n'a pas la même cote que le prix Nobel de littérature. Ce long vol international est l'occasion pour la narratrice de revenir sur sa vie depuis sa rencontre avec son mari alors qu'elle était une jeune fille et était son élève d'anglais. Lui est marié et père d'une petite fille encore au sein. La jeune femme qu'elle était, tombe éperdument amoureuse de ce beau jeune homme brillant orateur et charmeur qui a l'ambition de devenir romancier et est persuadé d'en avoir le talent. Il se trouve qu'après la rupture d'avec la mère de son bébé, il fait paraître effectivement un roman largement inspiré de son histoire personnelle, qui obtient un succès retentissant et inattendu.
A partir de cet événement, Joe devient écrivain à succès et se pavane dans le rôle du Grand Ecrivain dans tous les medias et conférences littéraires, et profite de toutes les occasions de vivre des aventures sexuelles torrides.
Son épouse, elle vit plus ou moins bien la vie de l'épouse de l'homme célèbre avec ses avantages matériels, et ses inconvénients affectifs et conjugaux.
Dès le début du récit on se demande comment ce professeur, imbu de lui-même et sans talent de plume, peut devenir la coqueluche du microcosme littéraire newyorkais.
Ce roman, agréable à lire et bien construit, est un prétexte pour nous dépeindre justement, je suppose, ce microcosme dans les années 60 et suivantes. Essentiellement masculin et misogyne, Joan, l'épouse parfaite, nous parle avec finesse de la place des compagnes de ces messieurs.
Pourtant malgré les qualités de l'auteure, je trouve le livre pas très profond, peu intéressant, un roman qui n'apporte pas grand chose aux lecteurs, même quand ce sont des lectrices.
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critiques presse (1)
Telerama
03 février 2016
Wolitzer dé-tisse toute la tapisserie des renoncements, des fatigues du deuxième sexe, moins dressé aux combats de coqs que le premier. C'est drôle et triste.
Lire la critique sur le site : Telerama
Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
« Tout le monde a besoin d'une épouse. Même les épouses. Les épouses soignent, elles veillent. Leurs oreilles sont deux instruments jumeaux très sensibles, des satellites qui captent le moindre soupçon de mécontentement. Les épouses apportent le bouillon, nous apportons les trombones, nous nous apportons nous-mêmes, avec nos corps malléables et chauds. Nous savons exactement quoi raconter aux hommes qui, pour une raison ou une autre, ont le plus grand mal à prendre régulèrement soin d'eux-mêmes ou de qui que ce soit d'autre. « Écoute, leur affirmons-nous. Tout va bien se passer. » Et ensuite, comme si nos vies en dépendaient, nous nous en assurons. »
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« Et moi, blonde, mince, vieillissante mais préservée dans l'acidité d'un long mariage. Les sucs conjugaux me maintenaient en vie, me permettaient de tenir le coup. Joe et moi nagions tous les deux dans le bocal. Et j'y nageais seule, chaque fois qu'il sortait embrasser les tendres parties de Merry Cheslin. Et ensuite, épuisé, il revenait toujours nager vers moi. »
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« Les textes que j'avais écrits n'avaient rien à voir avec la littérature de ces messieurs. La prose des hommes se répandait dans la page, s'étalait paresseusement comme quelqu'un qui prendrait un bain, se raserait, bâillerait, s'étirerait. Dans leurs fictions, les romanciers mâles inventaient des néologismes : « phallomatérialisme », « éro-tectonique ». Ils écrivaient eux-mêmes, sans même se donner le mal de modifier les détails autobiographiques. À quoi bon ? Ils n'avaient pas peur de se frotter à des alter-ego ; ils n'avaient pas peur d'avoir un ego. Ils tenaient le monde dans leur main, avec tout son contenu. »
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Je ne lui avais pas posé la question par véritable inquiétude, mais par réflexe conjugal. (…) Est-ce que ça va ? Cela s’inscrit dans le cadre du contrat. Ce sont des choses qui se font, car ainsi vous laissez entendre que cela vous tient à cœur, que vous êtes attentive, alors qu’en réalité vous seriez plus immergée dans l’ennui le plus imparable et le plus profond.
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Moi, je ne tenais pas le monde dans ma main. Personne ne me l’avait proposé. Je ne voulais pas devenir « femme écrivain », peintre du monde dans des couleurs d’aquarelle, ou, à l’inverse, une dingue, une casse-couilles, une raseuse épuisante.
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Vidéo de Meg Wolitzer
Chaque vendredi matin, Valérie Expert vous donne rendez-vous avec Gérard Collard pour leurs coups de c?ur... Voici les références des livres présentés dans l'émission du vendredi 13 septembre 2019 :
Rhapsodie des oubliés Sofia Aouine aux éditions De La Martinière https://www.lagriffenoire.com/1012823-divers-litterature-rhapsodie-des-oublies.html
Se taire de Mazarine Pingeot aux éditions Julliard https://www.lagriffenoire.com/1012898-divers-litterature-se-taire.html
Les derniers jours de Marlon Brando de Samuel Blumenfeld aux éditions Stock https://www.lagriffenoire.com/1011538-divers-litterature-les-derniers-jours-de-marlon-b.html
Nos vies consumées de Janet Hobhouse et Anouk Neuhoff aux éditions Rue Fromentin https://www.lagriffenoire.com/139469-divers-litterature-nos-vies-consumees.html
La persuasion des femmes de Meg Wolitzer et Jean Esch aux éditions Rue Fromentin https://www.lagriffenoire.com/1006965-divers-litterature-la-persuasion-des-femmes.html
Combien de pas jusqu'à la lune de Carole Trébor aux éditions Albin Michel https://www.lagriffenoire.com/1013506-romans-pour-enfants-combien-de-pas-jusqu-a-la-lune-.html
Patouf l?écolier de Jeanne Lagarde aux éditions du Toucan https://www.lagriffenoire.com/?fond=produit&id_produit=1014882&id_rubrique=1
Poum de Jeanne Lagarde aux éditions du Toucan https://www.lagriffenoire.com/?fond=produit&id_produit=1014883&id_rubrique=1
Porcelet l'intrépide de Jeanne Lagarde aux éditions du Toucan https://www.lagriffenoire.com/?fond=produit&id_produit=1014884&id_rubrique=1
Patouf va au bal Jeanne Lagarde aux éditions du Toucan https://www.lagriffenoire.com/?fond=produit&id_produit=1014885&id_rubrique=1
Le petit chaperon rouge de Jeanne Lagarde aux éditions du Toucan https://www.lagriffenoire.com/?fond=produit&id_produit=1014887&id_rubrique=1
Un soupçon de sucre - 90 recettes gourmandes pour découvrir les sucres autrement de Trish Deseine et Virginie Garnier aux éditions De La Martinière https://www.lagriffenoire.com/?fond=produit&id_produit=1014892&id_rubrique=1
Le douzième chapitre de Jérôme Loubry aux éditions Livre de Poche 9782253259923
La culture décontractée !!!!! ABONNEZ-VOUS A NOTRE CHAINE YOUTUBE ! http://www.youtube.com/user/griffenoi... (merci) La boutique officielle : http://www.lagriffenoire.com
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