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Les Rois maudits tome 1 sur 7
EAN : 9782253011019
249 pages
Le Livre de Poche (01/05/1973)
  Existe en édition audio
4.39/5   3192 notes
Résumé :
"Tous maudits, jusqu'à la treizième génération !" : telle est la funeste malédiction que le chef des templiers, depuis les flammes du bûcher, lance au visage de Philippe le Bel, roi de France. Nous sommes en 1314 et la prophétie va se réaliser : pendant plus d'un demi-siècle, les rois se succèdent sur le trône de France, mais n'y restent jamais bien longtemps. D'intrigues de palais en morts subites, de révolutions dynastiques en guerres meurtrières, c'est la valse d... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (244) Voir plus Ajouter une critique
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sur 3192 notes
Les Rois Maudits… Ce titre me laisse encore rêveur tant il est aussi simple et percutant que bien trouvé ! Beaucoup ont découvert cette oeuvre par la série télévisée de 1972, d'autres grâce à celle de 2005 ; personnellement, j'ai découvert les Rois Maudits grâce la bibliothèque familiale et par goût précoce pour les romans historiques.
Je ne sais pas si, dès le départ, Maurice Druon visait une hexalogie, mais toujours est-il que, dans ce premier tome, il met en place la trame qui soutiendra l'intrigue jusqu'à la fin du sixième. Il met avant tout en scène des conflits politiques : la lutte pour le trône de France, la joute familiale pour le comté de Flandres, la balance du pouvoir entre Papauté et royauté, des discordes de cour, de marchands, de conspirateurs, etc. Bref, du complot et du politique à tout-va tout au long de ces pages, le Roi de fer, Philippe IV le Bel, jouant le rôle de clé de voûte de ce premier opus car autour de lui s'articule chaque récit qu'il soit secondaire ou principal ! Point de grandes batailles épiques pour autant, il ne faut pas tout confondre. En effet, Maurice Druon joue davantage sur la simplicité relative des arrière-salles et des bas fonds que des champs de bataille classiques. de même, le style suit ce principe en adoptant un ton direct et des tournures simples. L'ensemble est percutant et se lit avec grand plaisir, du moment qu'on accepte de prendre un petit cours d'histoire de temps en temps.

Toujours est-il qu'avec ce premier tome, Maurice Druon pose magnifiquement les bases de sa série phare pour plusieurs tomes sans qu'il y ait trop besoin de tirer sur la corde : l'auteur travaille ses personnages au corps et leur personnalité à tous évolue intelligemment sans extrémisme ou facilité, principe dont beaucoup de scénaristes ou auteurs d'aujourd'hui devraient s'inspirer au lieu de nous livrer caricatures de personnages et autres fanatiques sans aucune explication.
Mon intérêt de jeune lecteur et de passionné de l'Histoire m'a, enfin, toujours ramené vers les dernières pages de cet ouvrage. Là, pour le plus grand bonheur de ceux que ça intéresse, se mêlent notes historiques et répertoire biographique : de quoi remettre pleinement ce roman historique dans son contexte. Une riche idée pour un plus énorme ! Tout nous pousse alors à vite enchaîner sur le tome suivant, La Reine étranglée, qui vient déjà combler nos attentes sur les intrigues du premier tome. Une saga forte dès le départ !

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Maurice Druon - Les Rois maudits, tome 1 : le Roi de fer - 1955 : "Ami entends-tu...", en écrivant les paroles du chant des partisans avec son beau-père Joseph Kessel, Maurice Druon entrait dans l'histoire. C'est aussi grâce à l'histoire qu'il allait connaitre la gloire littéraire avec cette chronique en sept volumes d'un siècle sombre et désespéré qui portera dans les longs combats pour la succession du trône de France les germes de la guerre de cent ans. Philippe VI dit le bel est un roi renommé pour sa beauté mais aussi pour sa froideur et son implacable sévérité. Il est quand s'ouvre ce livre au fait de sa gloire, la France grâce à lui est la première puissance européenne. En s'appuyant sur la bourgeoisie pour gouverner son royaume il s'est mis à dos la noblesse dont le leader n'est autre que son propre frère Charles de Valois. Mais les barons se tiennent à carreau garrotés par cette main de fer dans un gant en acier. Tout à plier devant lui y compris les templiers un ordre issu des croisades devenu tellement puissant qu'il prête de l'argent au trésor du roi lui-même. Philippe le Bel pour gérer les immanquables déficits de l'état trouve alors un moyen pratique de payer ces dettes, il élimine purement et simplement les membres de l'ordre sous l'accusation terrible d'hérésie. le procès attenté à ces hommes innocents est une mascarade montée de toutes pièces par les services royaux. Comble de l'infamie, pour clôturer ce lourd dossier Jacques de Mollay le dernier grand maître est brûlé vif sur l'île de la cité. Tout le propos de la saga tient dans la malédiction que celui-ci va proférer en mourant adjurant Philippe le Bel, guillaume Nougaret son ministre chargé des basses oeuvre et le pape à paraître devant le tribunal de dieu avant la fin de l'année. Dominant de la voix le bruit des flammes qui le gagnent il maudit la descendance du roi jusqu'à l'extinction de la race. Il faudra des milliers de pages pour expier en écrit la fin d'une lignée forte de plusieurs siècles d'existence. La décadence commence quand un scandale sexuel éclabousse ses fils et héritiers du trône ouvrant ainsi cette période de perturbation prédit par le dernier des templiers qui amènera la fin des capétiens après cinq cents ans ininterrompus de domination sur le royaume. "Les rois maudits" c'est aussi le combat homérique que se livre Robert et sa tante Mahaut pour le comté d'Artois, affrontement qui va rythmer la série avec son cortège de fourberie, de meurtres et de trahisons. "Le roi de fer" est l'archétype du roman historique car rarement on aura lié de manière aussi parfaite la grande histoire et les petits sentiments humains. le moyen-âge décrit ici rendait par sa sobriété caduque les représentations apocalyptiques de nombreux auteurs aveuglés par les enluminures cruelles et spectaculaires des livres de l'époque. Bien sûr c'était un monde difficile et obscure mais l'intelligence humaine avait plus qu'on le pensait droit aux chapitre au milieu des croyances et des superstitions arriérées... une ouverture de choix pour une série légendaire
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Chapeau bas Monsieur Druon!
Quel roman passionnant et quel écrivain fabuleux ! Je comprends le succès de cette épopée historique.
Maurice Druon nous ouvre les portes d'un monde médiéval fascinant et nous projette dans une ambiance plutôt sombre où les intrigues et les personnages (réels pour la plupart) sont captivants, les lieux et descriptions très cinématographiques.
Avec son talent de conteur, de sa plume élégante, il nous livre un récit fluide et exempt de toute lourdeur, une experience immersive dans un Moyen Âge à l'ambiance parfaitement rendue et au souci de véracité qui laisse admiratif.

La fresque débute dans les premières années du XIVeme siècle alors que Philippe le Bel dit « le roi de fer » vient d'ordonner l'arrestation des Templiers dont il convoite la fortune. Une décision arbitraire entraînant leur anéantissement. Faussement accusés d'hérésie et d'avoir des moeurs dépravés, après sept ans de persécutions les Templiers seront exécutés de manière barbare signant la fin tragique de l'Ordre.
Cependant alors que leur grand maître Jacques de Molay est sur le point d'être brûlé vif, il profère du haut du bûcher une malédiction contre ses tortionnaires y compris Philippe le Bel et toute sa descendance jusqu'à la treizième génération. Sortilège soufflé au milieu des flammes qui scellera le destin de la lignée des capétiens et le sort de ses bourreaux dans l'année qui suit.

C'est le début d'une palpitante fresque historique mêlant prophétie, complots, haine, amour, sorcellerie, manipulations, ruses de cour, exécutions violentes…des aventures pleines de suspense où l'on croise un roi impitoyable et calculateur, des chevaliers courageux, d'autres plus vils, des conseillers opportunistes, des princesses condamnées pour crime d'infidélités, des amants suppliciés, des messagers secrets, des empoisonneurs...
Un véritable page turner au scénario riche et bien ficelé dont le tour de force est d'être parvenu à rendre aussi vivants et intéressants des personnages historiques le tout porté par un souffle romanesque puissant.
Maurice Druon, avec une grande facilité, tisse des intrigues qui nous captivent de bout en bout
Vite, vite, vite, la suite
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Ce premier volume, introduction d'une saga qui en compte sept, est également à mon sens l'un des plus savoureux. Il a l'avantage de planter le décor, s'appuyant sur la persécution des chevaliers du Temple par Philippe IV dit le Bel, roi de France, souverain intransigeant et avide qui ne voit pas d'un mauvais oeil de faire disparaître définitivement un Ordre dont la richesse et la puissance font de l'ombre à son propre trône.

1314 : vient le dénouement tragique du dernier procès contre le grand maître des Templiers et ses comparses, devant les mener au bûcher. de là, découle une incroyable trame haute en couleurs et riche en intrigues : des têtes couronnées, une malédiction, les appétits débridés des grands feudataires du royaume, des passions humaines, des reines amoureuses et jalouses, la soif du pouvoir, les calculs politiques... Tout est là, réuni pour vous faire vivre une aventure exceptionnelle, parfaitement servie par la plume agile et précise de Maurice Druon.

Largement saluée par la critique et mise à l'honneur par plusieurs adaptations télévisées, la présente oeuvre dégage une séduction et une puissance qui laissent peu de lecteurs indifférents.

Ne passez pas à côté !
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On ne présente plus la célébrissime série de Maurice Druon … Dire que c'est un petit bijou de littérature historique est un minimum (en tout cas selon mes critères personnels)
Alors que je l'avais déjà lu deux fois, je me suis laissé tenter une troisième fois sous une forme inédite pour ma part : le format audio. Bien m'en a pris car cette « relecture » sous cette forme est vraiment un moment de plaisir, bien plus que je ne l'avais escompté….
Ah, retrouver l'ambiance de cette période qui marque la fin du règne des capétiens…Retrouver le truculent et bouillant Robert d'Artois… Que du bonheur, il faut le dire !
Il faut dire que Maurice Druon a tellement bien fait revivre ces personnages historiques que l'on ne peut être que marqué par la fin des templiers et cette terrible malédiction lancée du bucher au roi et à sa descendance, au pape, à Nogaret… Et en parallèle, l'histoire d'adultère de deux brus du roi Philippe le Bel qui aboutira d'ailleurs quelques années plus tard à la fameuse loi salique (mais chut, nous n'en sommes encore qu'au premier tome !)

Bref, en conclusion, je rajouterais qu'il est des livres qu'on ne se lasse pas de lire et relire et cette série en est bien la preuve !



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Citations et extraits (201) Voir plus Ajouter une citation
Geoffroy de Charnay n'était plus qu'un objet qui noircissait, crépitait, se gonflait de bulles, s'effondrait lentement dans la cendre, devenait cendre.
Des femmes s'évanouirent. D'autres s'approchaient de la berge, à la hâte, pour aller vomir dans l'eau, presque sous le nez du roi. La foule, d'avoir tant hurlé, s'était calmée, et l'on commençait à crier au miracle parce que le vent, s'obstinant à souffler dans le même sens, couchait les flammes devant le grand-maître, et que celui-ci n'avait pas encore été atteint. Comment pouvait-il tenir si longtemps ? Le bûcher de son côté paraissait intact.
Puis, soudain, il y eut un effondrement du brasier et, ravivées, les flammes bondirent devant le condamné.
- Ca y est, lui aussi ! s'écria Louis de Navarre.
Les vastes yeux froids de Philippe le Bel, même en ce moment, ne cillaient pas.
Et tout à coup, la voix du grand-maître s'éleva à travers le rideau de feu et, comme si elle se fût adressée à chacun, atteignit chacun en plein visage. Avec une force stupéfiante, ainsi qu'il l'avait fait devant Notre-Dame, Jacques de Moley criait :
- Honte ! Honte ! Vous voyez des innocents qui meurent. Honte sur vous tous ! Dieu vous jugera.
La flamme le falgella, brûla sa barbe, calcina en une seconde sa mitre de papier et alluma ses cheveux blancs.
La foule terrifiée s'était tue. On eût dit qu'on brûlait un prophète fou.
De ce visage en feu, la voix effrayante proféra :
- Pape Clément !... Chevalieer Guillaume !... Roi Philippe !... Avant un an, je vous cite à paraître au tribunal de Dieu pour y recevoir votre juste châtiment ! Maudits ! Maudits ! tous maudits jusqu'à la treizième génération de vos races !...
Les flammes entrèrent dans la bouche du grand-maître, et y étoufférent son dernier cri. Puis, pendant un temps qui parut interminable, il se battit contre la mort.
Enfin il se plia. La corde se rompit. Il s'effondra dans la fournaise, et l'on vit sa main qui demeurait levée entre les flammes. Elle resta ainsi jusqu'à ce qu'elle fût toute noire.
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Tout en mangeant, Guccio raconta la tempête qu'il avait essuyée, en s'y donnant un rôle avantageux. Il y avait là un homme arrivé de la veille, qui s'appelait Boccacio, ou Boccace, et qui était voyageur pour le compte de la compagnie Bardi. Il venait lui aussi de Paris, et avait assisté avant son départ au suplice de Jacques de Molay ; il avait, de ses oreilles, entendu la malédiction, et il se servait, pour décrire cette tragédie, d'une ironie précise et macabre, qui enchantait la tablée italienne. C'était un personnage d'une trentaine d'années au visage intelligent et vif, avec des lèvres minces, et un regard qui semblait s'amuser de tout. (...)
Se souvenant des conseils de son oncle, Guccio fit parler son compagnon, qui d'ailleurs ne demandait que cela. Le signor Boccace semblait avoir beaucoup vu. Il était allé partout, en Sicile, en Vénétie, en Espagne, en Flandre, en Allemagne, jusqu'en Orient, et s'était tiré avec habileté de bien des aventures ; il connaissait les moeurs de tous ces pays, avait son opinion personnelle sur la valeur comparée des religions, méprisait assez les moines, détestait l'Inquisition. Il paraissait aussi s'intéresser aux femmes ; il laissait entendre qu'il en avait pratiqué beaucoup, et connaissait sur une foule d'entre elles, illustres ou obscures, de curieuses anecdotes. Il faisait peu de cas de leur vertu, et son langage s'épiçait, à leur propos, d'images qui rendaient Guccio songeur. Un esprit libre, ce signor Boccace, et tout à fait au-dessus du commun.
"J'aurais aimé écrire tout cela si j'avais eu le temps, dit-il à Guccio, toute cette moisson d'histoires et d'idées, que j'ai récoltées au long de mes voyages.
- Que ne le faites-vous, Signor ? " répondit Guccio.
L'autre soupira, comme s'il avouait quelque rêve inexaucé. (...)
En comparaison du pont de Londres, le Ponte Vecchio, à Florence, ne semblait qu'un jouet, et l'Arno, auprès de La Tamise, qu'un ruisselet. Guccio en fit la remarque à son compagnon.
"C'est quand même nous qui apprenons tout aux autres peuples", répondit celui-ci.
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- Elles vous haïssent.
- Il est vrai que, pour ma part, je ne les ai guère aimées, dès le début, et sans savoir pourquoi, répondit Isabelle.
- Vous ne les aimez point parce qu'elles sont fausses, ne pensent qu'au plaisir et n'ont point le sens de leur devoir. Mais elles, elles vous haïssent parce qu'elles vous jalousent.
- Mon sort n'a pourtant rien de bien enviable, dit Isabelle en soupirant, et leur place me semble plus douce que la mienne.
- Vous êtes une reine, Madame ; vous l'êtes dans l'âme et dans le sang ; vos belles-sœurs peuvent bien porter couronne, elles ne le seront jamais. C'est pour cela qu'elles vous traiteront toujours en ennemie.
Isabelle leva vers son cousin ses beaux yeux bleus, et d'Artois, cette fois, sentit qu'il avait touché juste.
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Un pas de deux cents livres ébranla le plancher.
L’homme qui entra avait six pieds de haut, des cuisses comme des troncs de chêne, des poings comme des masses d’armes. Ses bottes rouges, de cuir cordouan, étaient soufflées d’une boue mal brossée ; le manteau qui lui pendait aux épaules était assez vaste pour couvrir un lit. Il suffisait qu’il eût une dague au côté pour avoir la mine de s’en aller en guerre. Dès qu’il apparaissait, tout semblait autour de lui devenir faible, fragile, friable. Il avait le menton rond, le nez court, la mâchoire large, l’estomac fort. Il lui fallait plus d’air à respirer qu’au commun des hommes. Ce géant avait vingt-sept ans, mais son âge disparaissait sous le muscle, et on lui aurait donné tout aussi bien dix années de plus.
Il ôta ses gants en s’avançant vers la reine, mit un genou en terre avec une souplesse surprenante chez un tel colosse,
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De ce visage en feu, la voix effrayante proféra :
"Pape Clément!... Chevalier Guillaume!... Roi Philippe!... Avant un an, je vous cite à paraître au tribunal de Dieu pour y recevoir votre juste châtiment ! Maudits ! Maudits ! tous maudits jusqu'à la treizième génération de vos races!..."

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