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Les frères Malory tome 5 sur 10
EAN : 9782290034651
252 pages
J'ai lu (01/06/2011)
3.63/5   31 notes
Résumé :
Vingt-cinq mille livres, messieurs ! Allons, pas d'autre offre ? Vingt-cinq mille, une fois... Deux fois... Trois fois... Adjugée ! Tous les regards convergent vers Audrey. C'est une somme énorme, même pour une créature aussi ravissante... Mais pour assouvir leurs caprices, certains gentlemen dépravés sont prêts à payer un prix exorbitant. D'autant plus que la virginité de la jeune fille qui vient d'être vendue aux enchères est garantie...
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
Franchement, l'un des pires tome de la saga. La relation entre les Derek et Audrey commence de façon vraiment sordide et je n'ai pas du tout aimé la façon dont il la traitait. Je n'ai pas, non plus, cru deux secondes au changement de leurs sentiments. Heureusement que les autres Malory étaient là.
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e suis bien embêtée pour écrire un billet sur ce livre.
Je ne suis pas emballée par l'héroïne, Derek est un héros charmant, jeune et beau (en même temps avec cette auteure, ils sont tous à beaux à se damner) qui sauve l'héroïne d'un dangereux pervers. J'ai trouvé l'histoire pas très trépidante, l'humour n'est pas présent (Derek au contraire de ses oncles n'a pas de réparties ni de l'humour à revendre) et ma foi, je n'ai pas grand chose à rajouter.
Ce livre se lit plus parce que c'est le tome 5 d'une saga de 10 au dernier décompte que pour l'histoire en elle-même.....
Lien : http://patacaisse.wordpress...
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xd
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Derek se rendit compte, un peu tard, que sa remarque était désobligeante. Pourtant, Audrey le regarda droit dans les yeux, sans se sentir le moins du monde insultée.
- Moi-même je trouvais ce coloris criard. C'est l'un des modèles choisis par Mme Westerbury d'après vos recommandations.
Derek en rougit de confusion. Il avait confié à la couturière qu'Audrey était sa maîtresse et Mme Westerbury en avait sans doute déduit qu'il souhaitait voir porter à la jeune femme des toilettes extravagantes, en rapport avec sa condition.
- Le décolleté est aussi trop osé, ajouta Audrey en boutonnant son manteau. (Comme Derek voulait vérifier, elle secoua la tête.) Non, je ne vous le montrerai pas.
- Osé ? répéta-t-il.
- Oui.
Elle soupira en le voyant déboutonner son manteau. Derek put constater qu'elle disait vrai. Finalement, cette robe ne serait pas forcément la première chose que remarqueraient les gens - les hommes, en tout cas.
Il referma son manteau et entraîna Audrey vers la voiture. Elle s'attendait à un commentaire qui ne vint pas. Cependant, Derek avait décidé de modifier son programme : il commencerait par un détour chez la couturière.
Arrivé devant la boutique, il laissa Audrey dans la voiture, le temps de dire un mot à Mme Westerbury.
- J'ai ordonné quelques modifications pour vos prochaines robes, expliqua-t-il ensuite.
Ils se dirigeaient chez son notaire, qui réclamait sa signature pour un document, quand Derek ordonna subitement au cocher d'arrêter les chevaux. La voiture n'était pas encore immobilisée qu'il avait déjà sauté à terre. Par la vitre, Audrey le vit rattraper un couple de passants entre deux âges.
Frances s'était arrêtée à l'appel de Derek. Son compagnon continua de marcher, comme s'il ne voulait pas être vu avec elle.
- J'ignorais que vous étiez en ville, Frances, dit Derek en la saluant.
- J'avais... euh... certaines affaires à régler. J'ai profité du mariage d'Amy pour prolonger mon séjour.
Derek haussa les sourcils.
- Pourtant, je ne vous ai pas vue à la maison ?
- Peut-être n'y es-tu pas assez souvent ?
Il sourit.
- C'est vrai. Ces derniers temps je me suis souvent absenté. Pourtant, Roberts n'aurait pas manqué de me prévenir de votre présence.
- En fait, je loge à l'hôtel, avoua Frances.
- Pourquoi ?
- Je ne souhaitais pas habiter avec Jason.
Derek hocha la tête.
- Mon père nous a annoncé votre divorce, ce matin.
Son regard s'éclaira soudain.
- C'est donc qu'il accepte ?
- Vous ne le saviez pas ?
- Non. Il n'a pas jugé utile de m'en avertir. (Elle soupira.) Pour être franche, je ne l'ai pas revu depuis le jour où nous en avons parlé. Comme il sait où me joindre, je suppose qu'il ne va pas tarder à me prévenir.
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Quand, par hasard, ils ouvraient la porte, les visiteurs qui n'avaient pas la chance d'être membres ou amis de la famille étaient en général accueillis par un tonitruant: " Qu'est-ce que vous venez foutre ici ? " Sauf lorsque le visiteur était une lady. Les ladies étaient automatiquement attirées à l'intérieur et la porte refermée derrière elles avant même qu'elles aient eu le temps de donner leur nom.
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— [...] J'espère qu'ils n'auront pas trop versé de sang, dans le fumoir. J'ai peur de ne pas pouvoir récupérer les tapis.
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