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EAN : 9782070209859
Gallimard (19/04/2002)
3.5/5   1 notes
Résumé :
Michaux
Première parution en 1959
Collection Pour une bibliothèque idéale (n° 5), Gallimard
Parution : 15-01-1969
N'APPARTIENT PLUS AU CATALOGUE DE L'ÉDITEUR DEPUIS 2005
192 pages, sous couverture illustrée, 110 x 165 mm
Genre : Biographies
Thème : littérature
Catégorie > Sous-catégorie : Littérature française > Biographies
ISBN : 2070303047 - Gencode : 9782070303045 - Code distributeur : A30304
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Biographie très personnelle de ce lecteur assidu et connaisseur de Michaux, qui priviégia la lumière intérieure aux feux de l'extérieur. L'accent a été mis sur la genèse de certaines oeuvres, citations à l'appui, et sur ses grandes quêtes vers la spiritualité, une biographie pas comme les autres :

"C'est que voilà une étude atypique, et très personnelle de Robert Bréchon, peut-être l'oeuvre longtemps temporisée de ce défi ‘d'écrire sur lui' que lui aurait un jour lancé Michaux. Honnête, l'auteur n'a pas hésité à confier que « je n'ai jamais été l'un de ses proches. Peut-être n'ai-je pas été assidu ? (p.19) », et il fut un lecteur assidu de l'écrivain, un fidèle même, charmé au point d'avoir voulu donner sa version du personnage, rien moins que « son Michaux » dont il cite d'ailleurs force passages qui lui tiennent à coeur. Voici donc le Michaux de Robert Bréchon, tel qu'il le perçut, et tel qu'il voulut le donner à connaître, tout en se référant de manière récurrente à d'autres ouvrages, telle la première biographie consacrée à Michaux, celle de Jean-Pierre Martin ( Gallimard, 2003 )"
Lien : http://artslivres.com/ShowAr..
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
« ce qui semble dominer, c’est un refus de l’amour, une méfiance à l’égard des femmes, à l’égard des emballements de la chair et de ce qu’on appelle le cœur (p.62) »

La jeune fille de Budapest (Henri Michaux)

Dans la brume tiède d'une haleine de jeune fille, j'ai pris place
Je me suis retiré, je n'ai pas quitté ma place.
Ses bras ne pèsent rien. On les rencontre comme l'eau.
Ce qui est fané disparaît devant elle. Il ne reste que ses yeux.
Longues belles herbes, longues belles fleurs croissaient dans notre champ.
Obstacle si léger sur ma poitrine, comme tu t'appuies maintenant.
Tu t'appuies tellement, maintenant que tu n'es plus.
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Je vis un arbre dans un oiseau (Henri Michaux)



Celui-ci le réfléchissait tout entier et une brise infiniment légère en assouplissait seulement l’extrême bord des feuilles.
L’oiseau était immobile et grave.
C’était un matin clair, sans soleil, un matin qui ne dévoile rien encore de la journée à venir, ou très peu.
Moi aussi, j’étais calme.
L’oiseau et moi, nous nous entendions, mais à distance, comme il convient à des êtres d’espèce animale, ayant eu, sans retour possible, une évolution parfaitement divergente.
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