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Naamah tome 3 sur 3
EAN : 978B0058PYF6C
Grand Central Publishing (29/06/2011)
2.62/5   4 notes
Résumé :
Returning to Terre d'Ange, Moirin finds the royal family broken. Wracked by unrelenting grief at the loss of his wife, Queen Jehanne, King Daniel is unable to rule. Prince Thierry, leading an expedition to explore the deadly jungles of Terra Nova, is halfway across the world. And three year old Desirée is a vision of her mother: tempestuous, intelligent, and fiery, but desperately lonely, and a vulnerable pawn in a game of shifting political allegiances.

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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
Et voilà le dernier tome de la série ! D'un côté, cela met longtemps à démarrer, j'avais cru qu'ils partiraient pour l'Amérique tout de suite, mais d'un autre côté, cela ne répète pas l'auteur du tome 7 où le destin de Moirin servait de Deus Ex Machina. Ici, cela a beau être prévu par les dieux, elle a aussi de bonnes raisons personnelles d'y aller et il faut bien les exposer !

Je n'aime toujours pas la romance Moirin/Bao, mais ça ne me gache pas le tome, c'est leur problème. Qui n'est pas un problème, en fait, qui se passe globalement très bien, et tant mieux pour eux.

Maintenant, qu'on me laisse raconter tout ce que j'ai aimé dans ce tome. Déjà, l'Amérique du Sud comme cadre ! Des versions fantasy des Aztèques, des Incas, des Indiens d'Amazonie, des cultures écrites de façon intéressante ! J'approuve d'ailleurs beaucoup un des actes du méchant.

Et ils ont un Shahrizai dans le groupe principal ! Qui a les meilleures répliques (même si je le trouve sous-exploité sur la fin) ! Et les points laissés en plan des tomes 7 et 8 sont enfin fermés - j'aime beaucoup ce qu'ils font avec le langage des fourmis, et avec... le fantôme, va-t-on dire, pour ne pas spoiler.

J'étais surprise de voir si peu de tension sexuelle entre Moirin et Raphaël, mais en même temps c'est logique. Les effets secondaires du, hum, super-pouvoir de masochisme de Phèdre sont une tendance très forte au Syndrome de Stockholm - elle ne laisse jamais cela passer devant ses objectifs, mais elle a tendance à être amoureuse de ses méchants. Moirin n'a pas cela.

Aussi, j'ai toujours trouvé que cet auteur écrivait très bien les moments où tout se passe bien et le bonheur en général, ce qui fait une happy end très réussie. Donc, globalement, je suis contente de la fin.
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Il m'aura finalement fallu près de deux ans avant de lire ce roman après les deux premiers de la série, ce qui montre bien qu'aussi sympathique soit-elle à lire, elle n'égale pas les deux premières trilogies de Jacqueline Carey.

Moirin vient tout juste de rentrer d'Inde en Terre D'Ange pour y retrouver un royaume défait par la mort de sa reine et le départ de son Dauphin vers le Nouveau Monde dans l'objectif de conclure un traité commercial avec ce dernier. L'héroïne va finalement être amenée à repartir (encore !) en navire vers l'Amérique, accompagnée d'une poignée de personnages plus sympathiques par leur ascendance que par leurs vraies qualités (exception faite peut-être de Balthazar Shahrizai).

La rencontre avec les Indiens du Mexique et du Pérou ne se fait pas sans heurt, puisque ceux-ci adorent autant la mort que les D'Angelins adorent l'amour...

S'il est agréable de découvrir une autre partie du monde, les défauts que l'on retrouvait dans les autres tomes ressurgissent encore ici : Moirin est bien trop puissante, magique, infaillible. Certains passages semblent une simple adaptation des romans précédents (possibilité de renoncer à son don, importance des femmes dans la société où elles sont les seules clairvoyantes, faveurs accordées en échange d'une nuit, damnation du parfait compagnon...). C'est frustrant. Très frustrant !

Finalement, mis-à-part les personnages de Bao, Balthazar et Désirée, tout semble un peu surfait, et on ne retrouve pas la profondeur et la subtilité des deux premières trilogies...Peut-être parce que dans ces dernières, les héros étaient sans cesse contraints, les méchants n'étaient finalement pas si méchants que ça, et les mythes et légendes réellement creusés. Ici, les héros décident de leur destinée, qui se dessine au fil "d'intuitions".

La fin m'a également déçue, faisant un peu trop figure de consécration ultime du personnage principal.

Je suis difficile avec ce roman qui demeure très agréable à lire et que j'ai lu en une seule journée, malheureusement, il n'atteint pas (dois-je le redire encore ?) l'excellence des premiers romans de Jacqueline Carey.
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Achtuatli led me toward a large structure. At a distance, I thought it a gazebo of sorts, but as we drew nearer, I saw that it was an aviary built of wood and wicker, filled with growing trees. There must have been a hundred birds since leaving Bhodistan.
"See there?" He pointed to a bird with emeral-green feathers and a ruby breast. It perched on a branch, regarding us with big round eyes. Splendid green plumes as long as my forearm trailed from its tail. "That is the quetzal. It is a sacred bird".
I glanced at Achtuali's headress, recognizing the plumes, and lifted one hand involuntarily to touch the feathers on my own.
"Yes," he said as though in answer to an unsasked question. "It is an honor to wear them."
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Balthasar shook his head, his face pale beneath the sun's tan. "You're sick Raphael. Sick with madness. And the healer within you knows it. It's what stays your hand, and keeps you from slaying your countrymen." His voice was filled with terrible compassion. "Raphael I beg you, listen to me. It's not too late to turn away from this path. Pray to Blessed Elua for forgiveness, to Kushiel for mercy, and to Eisheth for healing."
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It was a shirt skirmish. It ended with the Jaguar Knight upended and sprawling on the floor of the throne-room, undone by unfamiliar tactics and weapons, the butt of Bao's steel-laced bamboo staff hovering over his vulnerable throat.
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