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Isabelle Troin (Traducteur)
EAN : 9782352940227
Bragelonne (26/01/2007)
3.67/5   106 notes
Résumé :
Regardez-moi ! Regardez l'orc !
Je lis dans vos yeux la peur et la haine. Vous me voyez comme un monstre, un prédateur des ténèbres, un démon dont vous parlez pour effrayer vos enfants. Une créature à traquer et à abattre comme une bête.
Le moment est venu de prêter l'oreille à la bête, et de savoir qu'elle vit aussi en vous. Vous me craignez, mais je mérite votre respect. Maras-Dantia était notre royaume, celui des nains, des elfes et des autres races... >Voir plus
Que lire après Orcs : L'intégrale de la trilogie suivi de La RelèveVoir plus
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Orcs, c'est une trilogie de Fantasy dans un autre monde, avec ses créatures extraordinaires, ses codes et ses scènes clichés. Mais avant tout, voyons l'auteur.
Stan Nicholls est un auteur britannique qui est né en 1949. Cette trilogie Orcs est son oeuvre la plus connue, mais pas la seule, ayant écrit beaucoup d'autres choses en fantasy. Il est d'ailleurs, semble-t-il, doué d'un égo particulièrement démesuré suite à cette série. Je ne vais pas trop en dire sur l'auteur, au risque de devenir médisant, mais j'avoue qu'il est assez particulier.

Donc nous avons un roman qui propose de prendre comme point de vue principal les méchants des aventures de Fantasy classique : les orcs. Bon, pour l'instant il faut dire que la démarche n'est pas neuve, l'idée de donner du charisme au méchant est une idée qui date d'il y a un moment tout de même (relisez les vampires de Anne Rice qui en propose une autre approche en 76) lorsqu'il écrit sa trilogie, fin des années 90 et début des années 2000. Mais bon, il propose par là une idée qui peut être très intéressante bien exploitée.

Eh bien … Elle ne l'est pas. Comprenez bien mon propos : dans la fantasy, quelques classiques sont instaurés comme codes. Par exemple, les elfes tirent à l'arc, les hommes se battent surtout à l'épée et les nains à la hache. Ils vivent dans les montagnes, les elfes dans la forêt. Les dragons sont des créatures énormes et très vieilles, et crachent du feu. Ce sont là des codes généraux qu'utilise la majeure partie des auteurs sauf dans quelques cas (notamment les parodies). Lorsqu'un auteur se propose donc de faire des orcs les personnages principaux, on est en droit d'avoir des gros guerriers, un peu bourrin, mangeant de la viande et violent, sauvages, etc … Ce qui n'empêche d'ailleurs pas d'en faire des personnages très agréables.
Mais là, Stan Nicholls va nous pondre des orcs romantiques. Oui, vous lisez bien, des orcs romantiques. Des orcs qui s'interrogent sur le sens du monde et de leurs actions, sur la futilité de leurs gestes etc … Je ne sais pas pour vous, mais Conan le Barbare qui réfléchirait à la question du bien et du mal ça ne passe pas du tout. Mais bon, admettons. Supposons que l'auteur veuille faire quelque chose de plus profond.


Déjà, prenons l'histoire. Une compagnie d'orcs, nommée Les Renards, est aux ordres d'une créature puissante, sorte de sorcière, nommée Jennesta, qui règne sur une grande partie des terres. Oui, il y a plusieurs grands dirigeants, des humains convertis à une religion monothéiste, les Unis, et d'autres polythéistes (les Multis). Dans tout ça, les orcs servent la maîtresse qui est particulièrement méchante et ne fait que les utiliser. Lors d'une mission, échouant en se faisant piquer ce qu'ils devaient ramener, ils décident de devenir paria et de s'enfuir. Jusqu'à là c'est bon.
On note déjà qu'il y a beaucoup de clichés (et en le lisant c'est encore pire), puisque absolument tout est téléphoné, pire qu'un blockbuster américain. On sent venir à des kilomètres les actions, le conflit Multi/Unis est une tentative bien maladroite d'afficher son point de vue sur la religion (en clair les Unis sont des méchants pas beau du début à la fin, aucune question sur leur foi et leur conversion). Mais en plus, l'histoire va proposer quelque chose d'incroyablement cliché : les héros immortels.
Soyons bien d'accord : je ne cours pas forcément après les récits du genre Game Of Throne qui tue un personnage principal par livres (même si cela est sacrément plus prenant et intéressant) mais quand les héros passent environ 1/3 des livres à se battre dans des mêlées à 1 contre 10, quand ils font des chevauchées désespérées qui réussissent tout le temps, qu'on a trois morts (ou dans ces eaux-là) au final, alors qu'ils se font poursuivre par absolument tout le monde dans l'univers crée, c'est franchement lassant. À la limite, pour le héros, je ne dis pas, mais absolument tous ceux qui font partie des Renards semblent partir avec neuf vies.

Ensuite, je dois dire que Stan Nicholls à fait le choix d'un monde crée de toute pièce. C'est honorable de ne pas reprendre un monde tout fait, et de faire le gros travail de création. Je suis d'accord, mais là je me demande si c'était vraiment nécessaire. le monde n'a absolument rien d'original. Mais vraiment rien. C'est juste plat : Unis = méchant (forcément), la maîtresse du début est une magicienne aux super pouvoirs qui les recherche tout au long mais en le suivant … avec son armée (alors qu'un bon sort à distance et on n'en entend plus parler). Ensuite, les humains sont les méchants. Soit, c'est un parti pris. Mais là, c'est pitoyable. le profil de l'humain : intégriste religieux principalement. Je veux bien qu'on ait ses idées, mais affirmées avec autant de force (d'autant qu'il les rend également très cons), c'est juste lassant.
En fait, je crois que le gros problème du récit, c'est que Stan Nicholls veut absolument enfoncer ses idées et pour cela va chausser des souliers ferrés. Et quand on veut me forcer, j'ai tendance à résister.

Après, l'histoire se lit. L'enchaînement est fluide et logique, mais par contre (encore !) les ficelles utilisées sont d'une grosseur énorme. Il faut trouver cinq artefacts sacrés (que tout le monde connaît, mais que personne n'a eu idée de rassembler bien évidemment) qui possèdent un étrange pouvoir qu'il faut découvrir. Devinez qui va le découvrir ? (si vous ne voyez pas, la lecture vous semblera plus intéressante). On ajoute également des idées douteuses (les protagonistes se font des fixes à la drogue tout au long sans qu'il ne soit mentionné que c'est peut-être un peu douteux) et des clichés (le héros à des visions d'un autre monde qui semblerait plus beau et qu'il a l'impression de pouvoir rejoindre). le final d'ailleurs est trèèèèès cliché également et sans la moindre surprise. Tout est convenu et téléphoné. En plus, la fin clôt le sort des héros, mais aucune indication n'est faite pour le sort du monde. C'est très énervant.

Et en sus, nous avons des gueules classiques de chez classiques : le héros fort, bon, brave, inquiet pour les siens, la fille brave, forte et courageuse (et accessoirement la seule), le vieux sage, l'étranger qui veut se faire accepter (ici c'est un nain), le héros grande-gueule et plutôt casse-pieds (et qui en prend plein la figure tout au long du récit) mais avec un grand coeur au final (indice : il se dispute tout le temps avec celui qui veut se faire accepter mais est quand même son ami). Bref, absolument rien de neuf sous le soleil. Vraiment rien.

Du coup, que dire de la trilogie Orcs ? Elle est dans un schéma type de la fantasy, usant et abusant des codes, voulant faire des innovations mais qui ratent largement leurs buts. L'intrigue est trop linéaire, tout est téléphoné. Lorsque vous avez fini le livre, il n'y a rien à en tirer de vraiment concret, sur les réflexions ou simplement d'imagination.
Cela dit, le récit est correct en termes d'écriture, fluide et intéressant. Il est parfaitement lisible, et ne perd pas ses lecteurs, ni avec les lieux ni avec les personnages. Un bon équilibre à été trouvé également avec les points de vue, mais absolument pas exploité. L'ensemble est clairement dispensable.
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1. La compagnie de la foudre :

Stan Nicholls c'est du lourd du très lourd même niveau Fantasy, car l'auteur nous prend complètement à contre pieds avec ses héros Orcs. Chaque personnage à son caractère propre et amène différentes nuances dans cette aventure. Ici on n'est pas dans la médiocrité de l'aventure des nains écrit par Markus Heitz qui ferait bien d'en prendre de la graine.

Les Orcs de Stan Nicholls sont splendides une sorte de bande à la donjon de Naheulbeuk qui font ce qu'il faut quand il le faut, mais qui ont toujours le don de ce mettre dans un merdier pas possible.

On est directement plongé dans l'aventure avec la scène d'ouverture, bataille oblige. Stan Nicholls prend un soin tout particulier à ses scènes d'action, chaque personnage à son rôle à jouer dans cette aventure. Des personnages tels que Styker, Coilla, Haskeer et Jup le nain (nain bien meilleur que ceux de Makus Heitz), font de cette aventure une grande épopée comme on les aime tant. La bonne époque de Bragelonne quand il publiait des romans de qualité.

Ce premier tome à 100 à l'heure donne le ton pour cette trilogie haute en couleur. Des scènes épiques en veux-tu en voilà, comme par exemple la fameuse scène où les Orcs passent entre les deux armées humaines pour échapper à leurs poursuivants acharnés. Dieu que c'est bon de lire une aventure comme celle-ci.

2. La légion du tonnerre :

Toujours dur d'écrire le second tome d'une trilogie car c'est une sorte de pont entre le premier et le dernier tome, il faut donc faire attention à ce que ce pont résiste.

Rien à dire je trouve que Stan Nichholls s'en sort avec brio. Cela est surtout du au suspense qu'il a laissé plané après le premier tome. Avec Coilla qui se fait capturer et Hasker qui part complètement en vrille.

Ce second tome repart donc sur des chapeaux-de-roue. Avec des Renards complètement déchaînés. Les Orcs de Stan Nicholls collent tellement bien à qu'on attend de ces créatures. Toujours dans les ennuis jusqu'au cou, ils doivent faire appel à toute leur force brute pour se sortir des pires difficultés.

La scène clé de cette aventure est bien entendu la scène de l'auberge où ça se bagarre ferme face aux esclavagistes. Un roman qui met en avant plein de thème essentiel qu'on attend d'une bonne histoire. Certes c'est toujours un peu téléphoné, mais c'est tellement bien amené et bien écrit qu'on passe sur ce petit bémol.

Encore un parcoure sans faute pour le Grand Stan Nicholls adulé par le grand David Gemmell, et ça c'est quand même une belle référence que l'auteur sort du lot...

3. Les guerriers de la tempête :

Il est temps pour moi de refermer le livre de cette fantastique trilogie. Après un honorable deuxième tome, Stan Nicholls signe ici une perfection pour conclure sa trilogie des Orcs. Une fois de plus c'est un sans faute avec ce troisième titre.

Je dirais même plus on va au-delà de la perfection avec ce dernier livre. Les personnages toujours autant en place nous en donne le tournis tellement l'action est présente dans cette ultime livre.

Ici nous avons enfin l'explication pourquoi ces orcs mais surtout Stryker sont au dessus des autres membres de leur race au niveau de leur intelligence. Ceux qui ont dénigré le premier tome auraient enfin compris pourquoi ces orcs avaient l'air aussi humain dans leur comportement.

Un final comme on les aime, on se serait presque cru dans le gouffre de Helm tellement cette bataille épique est bien construite. Des rebondissements en veux-tu en voilà avec des orcs qui ne doutent jamais de rien. La touche magie prend enfin sa vraie place dans cet ultime tome. C'est le temps aussi des règlements de compte avec l'armée de fanatiques humains, des trois mercenaires et Jennesta; qui faisaient bien pâle figure à côté de la bande de Stryker.

Les Orcs c'est quand même les plus fort…

Conclusion :

Ma version de ce livre c'est le tirage des 10 ans de Bragelonne, une superbe couverture qui avait pas mal de gueule à l'époque. Mais le livre à plutôt mal vieilli après plusieurs lectures et relectures. Bragelonne c'est un peu comme une Ferrari avec un moteur de deux chevaux. C'est-à-dire c'est qu'une fois acheté qu'on voit les défauts. Cette maison d'édition mise sur la quantité et non sur la qualité c'est bien connu. Leurs couvertures, même si toujours aguicheuses, résistent moins bien que d'autres maison d'édition. Sûrement font-ils des économies en utilisant des techniques moins couteuses (dommage pour nous) qui leur permet d'engranger plus d'argent.

Pour le reste cette trilogie des orcs reste un modèle du genre où on à pas le temps de s'ennuyer une seule seconde. On fini d'ailleurs le livre sur une nouvelle s'appelant La relève qui nous donne une idée assez précise sur ce qu'était l'ambiance dans le groupe à sa formation. Ou alors c'est une version de la nouvelle vie dans un autre univers de notre charmante bande d'orcs. Bref une histoire plaisante comme on en fait plus, les vieux auteurs c'est quand même autre chose que ceux de maintenant…
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Edit du 04 Février 2019 :
Orcs - Tome 1
La Compagnie de la foudre

Sans le savoir, j'ai lu la suite "La Revanche des Orcs" avant le début. Je découvre les débuts des Renards. Ces fameux orcs qui prennent leur destin en main.
J'apprécie les dialogues et les descriptions du monde dans lequel les personnages évoluent.
Ces personnages qui ont tous un fort caractère.
Les scènes de combats sont, à mon goût, interminables dans leurs descriptions.
Certaines scènes sont d'une violence gratuite et pas nécessaires pour assurer la progression du récit. Je prends pour exemple la perversion de la méchante principale.
Les peuples restent inédits, par rapport à mes précédentes lectures.

Edit du 23 Février 2019
Orcs - Tome 2
La Légion du tonnerre

Les Renards poursuivent leur aventure à travers la terre de Maras-Dantias. Il y a une carte au début du livre, ce qui est pratique pour se repérer, contrairement à la trilogie y faisant suite.
Cette partie contient aussi des scènes de combats toujours trop longues à mon goût.
Jusqu'à en constituer un chapitre pour une bagarre.
Un plus grand nombre de lieux du continent sont explorés en comparant les événements du premier tome. Il y a des peuples divers du monde de la "fantasy". Des peuples témoins d'un monde, leur monde, qui se détériore.

Edit du 03 Mars 2019
Orcs - Tome 3
Les Guerriers de la tempête

Les Renards achèvent leur aventure. Certains mystères sont expliqués et d'autres questions restent en suspens.
Certains personnages disparaissent du livre sans que nous sachions ce qu'ils deviennent après le passage des orcs. Ce que j'ai déjà souligné dans la critique de "La Revanche des Orcs".
Beaucoup d'éléments sont peu détaillés dans cette trilogie.
L'auteur a peut-être choisi de se concentrer uniquement sur les péripéties de la compagnie des Renards. Des anti-héros.
Le sort du monde, dans lequel se déroule l'histoire, semble un éléments secondaires. Tout comme le destin des peuples croisés au fil des chapitres.
C'est dommage, la plupart des peuples avaient un potentiel. Ils méritaient plus de consistance.
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Lorsqu'une compagnie de mercenaires Orcs tombe sur une cache de drogue au retour d'une mission primordiale, ils sont loin de se douter que c'est pour eux le début d'une course incessante qui va définitivement changer la face du monde.

Comme on peut s'y attendre, on a droit ici à un roman bruyant, nerveux, violent, mais on y découvre aussi une facette des orcs bien différente de ce qui nous avait été présenté jusqu'à lors en fantasy. On s'attache alors de plus en plus à cette bande de renégats, et on tremble pour eux dans leur fuite en avant de plus en plus périlleuse.

Tout cela nous donne donc un excellent roman, reconnu par de nombreux prix, et superbement mis en valeur par la belle intégrale des 10 ans de Bragelonne.
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j'ai Acheté cette intégrale en 2010 dans le cadre de l'opération "10 ANS - 10 ROMANS - 10 EUROS" lancés par Braguelonne et reconduite depuis tous les ans.
Je m'étais fais la réflexion qu'a ce prix ce ne serait pas grave si je n'aimais pas, mais contre toutes attente je me suis laissé emporter par le récit, ou pour une fois se sont les Orcs les héros.
Bon, c'est sur que cette compagnie se sort indemne de situations ou n'importe qui aurait laissé des plumes, mais c'est bien raconté et contrairement a d'autres je n'ai pas fait le rapprochement avec le génocide perpétré contre les indiens d'Amérique.
Merci à Isabelle Troin qui en a assuré la traduction.
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Regardez-moi ! Regardez l'orc ! Je lis dans vos yeux la peur et la haine. Vous me voyez comme un monstre, un prédateur des ténèbres, un démon dont vous parlez pour effrayer vos enfants. Une créature à traquer et à abattre comme une bête. Le moment est venu de prêter l'oreille à la bête, et de savoir qu'elle vit aussi en vous. Vous me craignez, mais je mérite votre respect. Maras-Dantia était notre royaume, celui des nains, des elfes et des autres races aînées, longtemps avant que votre espèce vienne le saccager. Longtemps avant que vous dévoriez notre magie et violiez l'âme de notre monde. Ecoutez mon histoire. Regardez couler mon sang et remerciez les dieux que ce soit moi et pas vous qui doive manier l'épée. Remerciez les orcs nés pour se battre et destinés à ramener la paix !
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Sans répit, les fidèles d'Hobrow continuaient à affluer. Grimaçant sous sa barbe, le nain les tua l'un après l'autre.
Haskeer fit pleuvoir un déluge de coups meurtriers sur ses deux premiers adversaires. mais le second lui arracha son épée avant de s'écrouler. il eut donc les mains vides pour affronter un nouveau guerrier armé d'une pique.
Ils se disputèrent l'arme, les jointures blanchies . Bandant ses muscles , Haskeer enfonça le manche de la pique dans le ventre de l'humain, qui lâcha prise. Puis il lui plongea la pointe barbelée dans les entrailles.
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Souvenez-vous de l'océan. Si vous préleviez un peu de son eau dans votre main,et que vous fixiez votre attention dessus, cela signifierait-il que le reste a finit d'exister ?
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La connaissance est neutre. Ni bonne ni mauvaise en soi. Elle sert la lumière ou les ténèbres en fonction de celui qui la manipule.
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Fantasy au Petit-Déjeuner épisode 22 consacré à la saga "Orcs" de l'auteur anglais Stan Nicholls.
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